Ambiance électrique à l'Assemblée nationale... par LeLab_E1
PARIS (NOVOpress) – Interrogé ce mardi lors des questions au gouvernement à l’Assemblée nationale, Manuel Valls a maladroitement et honteusement justifié les violences policières. Mais surtout pour dédouaner les forces de l’ordre, il a incriminé notamment le Bloc identitaire qui aurait été soi-disant un agent provocateur.
Le Bloc identitaire a répondu à Manuel Valls par le biais d’un communiqué, où il est d’abord indiqué : « Cette accusation ne repose sur rien car elle est n’est en rien la réalité. »
En effet, « aucun militant identitaire comme aucun des 1,4 million de manifestants de dimanche n’a brûlé une voiture, cassé une vitrine, pillé un magasin. Il n’y a pas eu de “débordements”. A la suite de la manifestation, des dizaines de milliers de personnes ont souhaité rejoindre, à titre individuel, entre amis ou en famille, la plus grande avenue de Paris où se trouvaient déjà des milliers de touristes. »
De plus, on peut sans peine affirmer, à la suite du Bloc identitaire, que « le gouvernement socialiste voulait des incidents. Il a délibérément parqué une foule considérable sur une avenue trop étroite. » Cependant, « cette foule s’est conduite avec une correction exemplaire et, en cela, elle a été parfaitement française. Nous parlons naturellement d’une France traditionnelle que M. Valls ne peut comprendre puisqu’il la méprise. »
Enfin, selon le Bloc Identitaire, « il importe de dire ceci : le mouvement du 24 mars n’appartient à personne. Il appartient à tous les Français dans la rue ce dimanche. Comme des centaines d’autres associations, partis, groupes, le mouvement identitaire était présent ce jour là. Il a tenu sa place comme eux et, dans ce combat fondamental, il y a de la place pour tous. »