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Moins d’immigrés = moins d’insécurité = moins d’impôts, par Pieter KERSTENS

 

Chacun a pu constater ces derniers mois un nombre spectaculaire d’occupations illégales, d’agressions, de meurtres et d’émeutes, partout en Europe. La très grande majorité de ces « troubles à l’ordre public » sont dus à des étrangers issus de pays lointains, mais qui nous sont imposés par les gourous du « vivre ensemble » ou les charlatans du « pluriethnique ».

 

 

Certains de ces bonimenteurs à l’exemple d’Angela Merkel, de David Cameron et de Nicolas Sarközy avaient avoué que la société multiculturelle était un véritable échec. Pourtant rien n’a changé et la plupart des gouvernements européens s’obstinent à diluer leurs peuples dans un melting-pot à base d’immigration invasion.

 

On pourrait donc définir cette politique de véritable génocide de nos nations. Et rares sont ceux qui osent s’y opposer. POURQUOI ? N’est-il pas grand temps de réagir ?

 

 
En cette période de vaches maigres où tous les pays européens cherchent désespérément à équilibrer leurs budgets, avant de pouvoir réduire leurs dettes publiques, nous n’avons pas encore vu mesure structurelle importante qui permettrait d’enrayer les déficits.

 

 

À tous les argentiers qui planchent sur les finances de 2013 et 2014, on pourrait suggérer de stopper l’afflux de clandestins d’abord, puis de limiter fortement l’immigration dans son ensemble et enfin de rapatrier dans le pays de leurs aïeux les millions d’individus qui n’ont aucune raison de séjourner en Europe et ce, aussi longtemps que le chômage ne sera pas stabilisé sous les 3% de la population active. Nos compatriotes n’ont-ils pas la priorité ?

 

 

Et il ne faudrait pas prétexter que les nationaux refusent un travail dégradant aux yeux de certains. Pas plus tard que le 7 août dernier, des chômeurs aragonais m’ont raconté que des patrons dans la région de la Rioja (célèbre pour ses vins) préféraient donner du boulot à des Marocains (illégaux ?) plutôt qu’à des Espagnols, car ces immigrés acceptaient de travailler à moitié prix pour cueillir le raisin !

 

 

Ces aragonais se plaignaient aussi de la multitude de vols et d’agressions commis par les gitans, ces « gens du voyage » mais réels pickpockets qui pourrissent le quotidien des citadins de la ville de Jaca. Là comme ailleurs, le laxisme des autorités est patent.

 

 

Les bonnes âmes qui claironnent dans les médias que l’on ne doit pas stigmatiser un tel ou une telle, seraient mieux inspirées de quitter leur écran durant quelques temps et d’aller constater de visu sur le terrain ce qu’endure chaque jour la majorité de la population. Et ceci ne concerne pas seulement Marseille, Trappes ou le « 9.3 », mais toutes nos provinces et au-delà de l’hexagone…

 

 

Les conséquences de cette immigration non désirée ont un coût exorbitant dans les différents budgets de l’État (sécurité sociale, enseignement, culture, justice ou intérieur…) et c’est ici qu’il faut agir afin de réduire le déficit, rétablir la loi et l’ordre sur la voie publique et pouvoir enfin rabaisser la pression fiscale à un niveau acceptable par tous.

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