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L’effort contraceptif contre la France de toujours

La fête fut éphémère et d’intensité modérée, pour ne pas dire un peu tristounette. Les cotillons, les confettis et les langues de belle-mère étaient, semble-t-il, remisés au placard. Le magazine Elle a, pendant que d’autres soufflaient péniblement les bougies, fermé son clapet puant. Les féministes qui avaient commémoré en 2010 les 50 ans de la commercialisation de la pilule contraceptive aux Etats-Unis, berceau de la dégénérescence sociétale, n’étaient pas d’humeur à fanfaronner : l’anniversaire de la commercialisation légale d’hormones permettant une contraception de fait dans les pharmacies hexagonales en 1963 était à peine évoquée dans les mass media, alors que sans cette distribution semi-clandestine (semi-clandestine aux yeux de la loi, puisque les produits vendus n’étaient pas destinés, disait-on, à engendrer volontairement une infertilité concomitante), jamais l’Etat n’aurait eu l’outrecuidance d’instituer la loi Neuwirth en 1967, préalable paradoxal de la génocidaire loi Veil de 1975. Oubliée ou presque l’anniversaire de la légalisation de la vente de produits si féministes… Mais qui tuent ! Entre temps (de 2010 à 2013), les promoteurs frénétiques de la pilule contraceptive ont dû admettre que leurs cachetons “miracle” pouvaient constituer un réel danger pour les consommatrices. Les pilules de troisième et de quatrième générations ont particulièrement fait la preuve de la nocivité de cette chimie vouée à l’infertilité. (Les pilules de troisième génération, triphasiques ou monophasiques, ont été mises sur le marché au cours des années 1990 avec de nouveaux progestatifs — gestodène, norgestimate, désogestrel —  ; les pilules de quatrième génération comportent le drospirénone et sont vendus sous les noms de Jasmine, Rimendia, Yaz ou Convuline). Problèmes cardiovasculaires graves entraînant la mort de certaines consommatrices. On parle de dizaines de morts mais serait-il imprudent d’imputer à la pilule de la société décadente beaucoup plus de décès que l’“on” met bien rapidement et opportunément sur le compte d’accidents imprévisibles comme d’hypothétiques ruptures d’anévrisme ? Des ruptures d’anévrisme qui touchent en premier lieu des femmes, sous pilules stérilisatrices, et tabagiques (l’association nicotine et pilule est en effet dévastatrice à plus d’un titre). En tout cas, à la suite de morts suspectes enfin médiatisées, les consommatrices de contraception tous azimuts s’inquiètent visiblement un peu plus pour leur santé et un peu moins pour leurs performances sexuelles réalisées d’ailleurs souvent avec des partenaires vaporeux. Les pilules de 3ème et de 4ème générations ne sont plus remboursées par la Sécurité Sociale mais toujours commercialisées sous la pression ou plutôt le diktat des autorités européistes ne jugeant pas ces petits poisons suffisamment toxiques pour être retirés du marché, et le marché, c’est sacré.
UN PETIT GRAIN DE SABLE DANS LA PROPAGANDE SYSTEMIQUE
Mais beaucoup de femmes ont abandonné récemment la pratique de l’absorption quotidienne de la pilule, terrorisées à l’idée d’être à leur tour foudroyées par l’un de ses effets morbides. L’élite en place s’en inquiète, et en vient à mettre en exergue bien imprudemment les conséquences directes de ce sevrage contraceptif brutal : les avortements auraient bondi de plus de 5 % depuis le début de l’année 2013. Les néo-trouillardes de la pilule utilisant pour un laps de temps indéterminé l’horreur abortive comme moyen de contraception de secours… Remarquons au passage que les commentateurs du media conforme font mine de s’attrister de ce phénomène de compensation contraceptive alors qu’ils sont habituellement les premiers propagandistes de l’assassinat intra-utérin ! Argumentant sur le caractère « absolument normal » de ladite intervention mortelle, affirmant que tout va bien, que l’aspiration du petit être est une bonne chose pour la femme libérée, insoumise, évidemment, à l’homme (blanc) détestable, niant hystériquement la vie même du bébé dans le ventre normalement protecteur de sa mère… Mais là, bizarrerie du discours conforme, il semblerait regrettable que les avortements croissent en nombre… A moins qu’il ne s’agisse d’un aveu involontaire de leur part : l’avortement, malgré les kilotonnes de blablas angéliques recouvrant sa réalité, constitue (quand même !) une monstruosité froidement exécutée. Hé oui, tous les moyens sont bons pour inciter les femmes occidentales (et franco-françaises en particulier) à assurer leur infertilité chronique ! Tel est l’objectif absolu des fonctionnaires de notre Indigénat. Les Françaises peuvent bien se transformer les unes après les autres en gaupes moites, l’important sera qu’aucun enfant ne naisse de “leur” déluge luxurieux. A ce propos n’est-il pas normal de se demander si la spectaculaire et hollywoodienne campagne de publicité pour les préservatifs déclenchée à la fin des années 1980 sous le prétexte d’une prétendue épidémie sidaïque n’était pas en réalité destinée à limiter encore un peu plus les naissances dans notre pays ? Avortement, stérilet, spermicide, condoms et l’incontournable pilule… Que les autorités (s’assurant de la bonne chute de la démographie autochtone vers un crash démographique qu’elles aimeraient irréversible) promeuvent malgré tout et de toutes leurs forces, faisant fi si ostensiblement de sa nocivité intrinsèque.
UN DEMI-SIECLE DE BOBARDS
Dans un tout récent ouvrage consacré à notre sujet, intitulé sobrement La pilule contraceptive, les auteurs Henri Joyeux (professeur en médecine et chirurgien cancérologue) et Dominique Vialard montrent bien que la dangerosité morbide de ces cachetons est tue aujourd’hui par l’immense majorité des media qui, au contraire, dans le même temps, en font une « publicité monstre ». Evoquant les dernières affaires mortelles (affaires parties des Etats-Unis où le débat est beaucoup plus bouillant qu’en France) des pilules de 3e et de 4e générations, nos auteurs présentent la réaction de la grosse industrie pharmaceutique à dégueulis contraceptif. […]
François-Xavier ROCHETTE. http://rivarol.com/Billet.html
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