Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

La mentalité primitive et ses expressions modernes

Qu'un Européen peu scrupuleux leur apporte un tonneau de tafia, et aussitôt, sans perdre une minute, ils se jettent sur ce poison pour s'en gorger jusqu'à tomber ivres morts. Crédules, obscènes, frivoles, paresseux, menteurs, ils déshonorent l'espèce humaine.
Charles Richet.
Nous vivons sur le cadavre putréfié de la France de jadis. Sidérés par le syndrome du bougisme hystérique, abrutis par des stimuli alimentaires, sexuels, pornographiques et stupéfiants incessants, administrés par la très aliénante télévision (objet par excellence de l'assujettissement des individus scotchés sur leur canapé de mort), les Français (à la francité inconsciente) ne se rendent même plus compte des conditions de l'effroyable écosystème dans lequel ils vivent. Comme assis sur un tas de détritus ou sur la dépouille d'un animal suintant de pus, l'individu sous neuroleptiques télévisuels avale sans broncher les poisons psychiques déversés par leurs maîtres. Il se complaît dans la fange produite par un Système qui englobe tout, qui salit tout, qui altère tout, qui empoisonne tout. Progressivement déféqués, les excréments au milieu desquels baignent les Hexagonaux sans âme provoquent chez eux, d'une manière indolore, anosmie, agueusie et cécité. Les voilà fin prêts pour disparaître, déjà étouffés, dissous par le méconium du monde-prison qui vient. La télévision et les outils annexes de propagande servent en premier lieu de tampon entre l'individu (la personne nécessairement esseulée par ce Système jaloux) et les métamorphoses monstrueuses subies par une société au point de rupture. Bref, les moyens de diffusion propagandistes sont tout à la fois incitateurs de décadence et chloroforme embrumant les effets de ladite décadence, un peu comme ces psychopathes appréciés des cinéastes torturant atrocement leurs victimes en leur susurrant de gentils mots... de réconfort. Chaque jour est-il bon de s'interroger sur les effets réels et profonds de leur infernale télévision décortiquant le cerveau de ses innombrables victimes. Combien de temps le régime politique en place survivrait-il à la disparition de la télévision ? Et le Système ? Et son Engeance mortifère ? Combien de temps ? Combien de temps l'autochtone mettrait-il pour se réveiller ? Combien de temps supporterait-il ainsi le monde hideux qui l'entoure sans cet objet maléfique, totem des foyers, destiné à distordre la réalité ? Regardons froidement autour de nous et estimons à sa juste proportion le nombre de jeunes gens, de chômeurs ou de retraités qui recherchent inconsciemment les effets anxiolytiques de la télévision qui ruinent littéralement les capacités critiques et de réaction de l'indolent téléphage. Le sourire de telle présentatrice demeurée apaisera l'automobiliste mis en danger dans la journée par un chauffard d'origine incontrôlée. La propagande ethno-masochiste du 20h fera digérer les blessures, les vexations quotidiennes qui ont mortifié le cœur et souvent le corps de Français sans défense à la merci d'exotiques tortionnaires. Les explications alambiquées d'experts certifiés conformes persuaderont, souvent tard le soir, au paroxysme de la fatigue du téléspectateur, la petite ménagère pâle estomaquée devant des comportements bizarres et violents, que tout s'arrangera avec le temps et que les incivilités des Autres ne sont rien comparées à l'extrême souffrance qui habite ces gens « un peu » différents...
Le développement fulgurant de la mentalité primitive
Étonnant phénomène qui gangrène la France, hier si "cartésienne" (dans le sens vulgaire du terme), spirituelle, fine, intelligente. Celui du développement de l'irrationalité tribale telle que cette grossière imbécillité dépeinte au début du siècle dernier par le sociologue juif Lucien Levy-Bruni (cousin d'Alfred Dreyfus et esprit relativement libre jusqu'à l'avènement de l'anti-fascisme intellectuel dans la première moitié du vingtième siècle) dans son fameux ouvrage La mentalité primitive. Un livre dans lequel le savant prétend démontrer la spécificité remarquable de l'esprit des "Sauvages" d'Afrique ou d'Océanie qui se caractériserait donc par une irrationalité fondamentale expliquant cette propension tribale à tout corréler à la magie et aux forces telluriques mystérieuses pour le moins conjecturelles. On pensait cette façon de penser disparue, l'idolâtrie révolue... Las, nous assistons aujourd'hui à une lamentable avancée de l'irrationalité brute et axiologique. Étrange évolution ou plutôt involution sociologique dans un indigénat judéo-maçonnique qui assène à tous les petits élèves de l'école salement républicaine les slogans laïcards les plus violents et qui s'échine incessamment à ringardiser la religion et la "crédulité" de nos ancêtres. Leurs "Lumières", leur psychanalyse,  leur  civisme,  leur "science", leurs idéologies ne sont-ils pas utilisés (et parfois créés dans ce sens) pour casser religion  et  appartenances  religieuses ? Leur but avoué fièrement tout récemment par un Jacques Attali euphorique ? Transformer en lupanar postmoderne les nations du monde et en particulier la France, cible et proie de choix. « La France doit devenir un hôtel...». Une zone de transits nomades où tout est relatif, tout est démonétisé dans un monde désenchanté. Un territoire intégralement dévolu à la consommation, à la prostitution, au mélange des races... et à la violence d'importation. L'objectif d'Attali n'est plus très loin : l'esprit de nos aïeux se meurt dans une France ouverte aux quatre vents violentée chaque jour un peu plus par ceux qui prétendent la diriger. Mais la mentalité primitive, d'importation celle-là, s'amplifie. Ici observe-t-on la multiplication d'espèces de rituels  Vaudou, ailleurs des fausses messes au cours desquelles des corps boudinés et enfiévrés s'agitent en danses macabres. Là encore, de ténébreux individus s'adonnent à la pratique du sacrifice et à l'écoulement du sang humain pendant que d'autres énergumènes (qui sont censés être sensés... et nos égaux !) cuisinent des pénis de je ne sais quelle bestiole africaine ou sniffent de la poudre de gonades de zébu dans l'espoir d'accroître magiquement leurs sacro-saintes capacités sexuelles. D'autres, enfin, n'ont pour désir que la possession de la femme autochtone, rousse ou blonde de préférence.
La prolifération de la cigale au détriment de la fourmi
La mentalité primitive se caractérise-t-elle également par une puérilité persistante (à l'âge adulte), une insouciance invétérée et un manichéisme réflexif mis en exergue il y a un siècle par le prix Nobel de médecine Charles Richet ? C'est parfois ce que l'on peut penser en observant attentivement les comportements spontanés des populations "banlieusardes" ou néo-parisiennes et primo-arrivantes à la suite d'événements subjectivement heureux ou malheureux effleurant leur épiderme. On se rappelle à ce propos des incroyables scènes de liesse collective dans certains squats de l'Est parisien à la suite de l'intervention militaire française au Mali où l'on voyait alors des allogènes pratiquer la danse du ventre pour exprimer leur soulagement... Performance relativement esthétique accompagnée des cris hystériques de grosses femmes joviales et exaltées à l'écoute desquels l'on discernait (sans l'accent) des « Merci la France, merci la France »... Cette même France (sans l'accent) qui fut hier encore, à Joué les Tours, tour à tour abhorrée puis louée par de drôles agités arborant des drapeaux fort exotiques. En août dernier, une vidéo équivoque procédait à la victimisation de deux jeunes femmes africaines qui auraient été maltraitées par la police dans cette localité. Rien n'est alors dit (et ne sera dit) sur les circonstances de cette échauffourée... Le but étant, encore une fois, de stigmatiser la France blanche. Illico presto les demoiselles, sous le statut de victime, portaient plainte contre les agents responsables d'un "racisme" insondable et apparaissaient aux yeux du média complice comme des anges du vivre-ensemble républicain. Aussitôt les familles, les amis, les voisins, les frères et les sœurs des plaintives s'approprièrent les rues de Joué les Tours pour faire partager leur joie aux locaux. En faisant visiblement mouche puisque l'on aperçoit dans un reportage journalistique (entendre propagandiste) immortalisant cette liesse colorée quelques autochtones se trémousser au rythme du tamtam des djembés ghanéens.
Une criminalité ludique ?
L'été sera chaud, pronostiquaient quelques météorologues (et sociologues) il y a quelques mois. Il le fut. C'est pourquoi, tout naturellement, les Lyonnais (ou résidents lyonnais) se sont précipités dès le début du mois de juillet dans les piscines municipales ou communautaires de Lugdunum et de sa région afin de fuir les morsures du soleil estival. Les baigneurs pensaient faire preuve de sagesse en fréquentant ces complexes aquatiques où ils espéraient trouver une fraîcheur et une quiétude salvatrices. Grossière erreur et naïveté puérile... La majorité des piscines publiques du Rhône furent contaminées par de gros bacilles enragés qui agressèrent les familles placides et les adolescents caucasiens. Je ne sais cependant si l'on perçoit correctement les éléments violents en question sur les clichés publiés par le journal antiraciste Le Monde du 4 août dernier, où l'on constate par ailleurs de jeunes Africains courir aux abords de la piscine ; ce qui est formellement interdit pour des raisons évidentes de sécurité, soit dit en passant. Les autorités ont doublé le nombre d'agents de sécurité, augmenté d'un tiers les effectifs en maîtres-nageurs, incité la police nationale à visiter davantage les alentours des piscines, mais rien n'y fit. Les violences s'intensifièrent jusqu'aux premiers rafraîchissements climatiques qui mirent (provisoirement) fin aux véritables émeutes insufflées par des chances pour la France. Ainsi en juillet et août, des dizaines de jeunes « très nouvelle France » attaquèrent à plusieurs reprises des piscines municipales ! Attaques indubitablement organisées puisque les belligérants prirent d'assaut plusieurs complexes en lançant des centaines de cailloux de taille non négligeable sur des bassins en plein air ! Le 6 juillet, les policiers durent utiliser leur Flash-Ball pour protéger une population pâle prise en otage par une prolifique violence. Trois jours plus tard, une centaine de délinquants juvéniles (que l'on ne présente plus) refusa de quitter les bassins de la piscine du Rhône traumatisant des employés peu préparés à ce genre de guérilla urbaine. La mesure principale préconisée par les petits politiciens locaux dans l'espoir de combattre efficacement la délinquance aquatique nous laisse sans voix : l'augmentation des tarif s pour dissuader les baigneurs extérieurs... Alors que la plupart des néo-barbares visés ici resquillent toujours d'une manière ou d'une autre pour faire trempette !
Décidément, on a du mal à appréhender cette mentalité et à l'accepter même lorsqu'elle ne nous touche pas directement. Il y a quelques jours dans un supermarché de la belle ville de Colomiers une saynète extraordinaire (à nos yeux tout du moins) témoignait de cet étrange fonctionnement cérébral. Une fillette d'origine gabonaise de 10 ans à qui la maman avait demandé d'aller chercher très vite les courses manquantes dans le magasin courut le long des caisses quand elle croisa le « compagnon de la cousine de sa mère » (sic), lui-même gabonais, soudainement irrité... Sans raison, par jeu, il frappa à sept reprises le crâne de la gosse devant une clientèle abasourdie. Assommée, il la releva en la tirant par une oreille... Le tribunal bouleversé par le chômage du boxeur ne lui infligea que quelques mois de sursis. Peut-être que notre clémente institution a-t-elle également jugé bon de ne point juger ce qu'elle ne comprenait pas ?
Ces agitations simiesques ne sont bien sûr rien comparées aux événements qui ensanglantent depuis des mois et des années la nouvelle Necropolis, Marseille et ses environs. Les commentateurs maquillés parlent de règlements de compte, de spirale de la violence, de crimes organisés, évoquent les conditions socio-économiques désastreuses de la cité phocéenne (quid de son immigration à croissance exponentielle épinglée dès les années 1930 par Lucien Rebatet ?), la drogue, l'argent facile... Certes, ces éléments sociologiques participent-ils à nourrir le phénomène de l'ultra-violence qui touche une grosse partie des Bouches-du-Rhône, et probablement ont-ils joué un rôle dans sa genèse, mais leurs effets sont démultipliés par un phénomène qui a déjà été étudié dans les quartiers afros et latinos états-uniens : le goût du crime pour le crime cultivé dans une configuration idoine. « Pour la première fois, déclarait l'ancien juge d'instruction et nouveau romancier André Fortin dans Le Monde du 22 août, je me demande s'il n'y a pas un phénomène d'émulation criminologique à Marseille », ou en d'autres mots (et d'ailleurs la plupart des derniers assassinats marseillais ne seraient pas spécifiquement des règlements de compte) si cette succession de crimes et de canardages n'était tout simplement pas l'expression d'une mentalité primitive mise à nue par de longues années de violence glorifiée. Heureusement, cette mentalité spécifique (pour ne pas utiliser un autre adjectif) peut engendrer des comportements plus doux comme à Trappes ou à Saint-Denis où les autorités de notre indigénat pensent encore qu'avec le couvre-feu de 20 heures, "on" peut calmer la masse des quartiers... Un nouvel habitant de Saint-Denis témoignait le 28 août dernier pour le journal Le Parisien : « On voit des groupes déjeunes, des verres de vodka à la main, passer quasiment toute la nuit dans des salons de coiffure (sic) »... Pendant que des merlans et des maquereaux d'un nouveau genre absorbent les fumées magiques de leur crack à quelques encablures de là... Tout allait bien jusqu'à ce couvre-feu qui, selon le sociologue Christian Mouhanna possédant, au moins, cette faculté de nous faire rire, « risque de casser la vie sociale »...
François-Xavier Rochette Rivarol 5 septembre 2013

Les commentaires sont fermés.