Dans notre pays en pleine déliquescence, où le pouvoir politique socialiste croit pouvoir régner en maître en détruisant nos traditions séculaires contre la volonté du peuple, il arrive parfois quelques signes : les enseignants, soutien traditionnel des socialistes et de leurs alliés, semblent se réveiller. 3 exemples nous montrent qu'il subsiste, parmi les professeurs, des consciences et des résistances à faire connaître :
- La bronca qu'a déclenchée la réforme des rythmes scolaires montre que les enseignants ne sont plus prêts à subir n'importe quoi de la part du PS, même si ce dernier leur offre des dizaines de milliers de postes pour tenter d'acheter leur coopération dans des réformes délirantes,
- Le "Collectif Racine", qui rassemble "les enseignants avec Marine Le Pen", connaît un succès de plus en plus important. Henri Dubost, dans son émission "Le libre journal de l’Identité" sur Radio Courtoisie, a même rappelé que les enseignants constituent "un vivier" de voix important pour Marine Le Pen.
- Un syndicat, le Snalc, appelle à lutter contre la théorie du genre, et va jusqu'à mettre en cause nommément Thomas Hollande, le fils du président. Emmanuel Protin, qui est l'attaché de presse du syndicat, membre du bureau national, et ancien vice-président du Snalc-Créteil, a en effet fustigé la théorie du gender sur Radio Courtoisie. Il a dénoncé "le lobbyisme à l'intérieur de l'éducation nationale" de la part des LGBT et de leurs soutiens, qui cherchent à imposer à nos enfants des théories comme celle du gender.