Grands dieux ! Voir la Russie homophobe accueillir ces Jeux olympiques pourtant fondés par le plus gay des peuples : la Grèce antique !
Paradoxe, disent-ils. Grands dieux ! Voir la Russie homophobe accueillir aujourd’hui ces Jeux olympiques pourtant fondés par le plus gay des peuples : la Grèce antique ! D’ailleurs, à voir la délégation grecque arborer si ostensiblement, à Sotchi, des gants aux couleurs de l’arc-en-ciel, on croit comprendre qu’elle se sent l’héritière d’une sorte de destinée gay-friendly, celle d’une nation qui, au nom de l’ancienne Lesbos comme de l’actuelle Mykonos, aurait un rôle naturel à jouer dans la défense des intérêts LGBT.
De même, dans un spot récent, l’Institut canadien pour la diversité et l’inclusion concluait : « Les JO ont toujours été un peu gay. Battons-nous pour qu’ils le restent. » Au Huffington Post, on met dans un même panier Socrate et Foucault.