Le chef des Illuminati, Adam Weishaupt affirme dans son ouvrage Le testament de Satan (1770) que le dieu de la FM est Satan.
Cette assertion est confirmée par le général sudiste de 33° degré, le sanguinaire Albert Pike dans Morals and Dogma an 1871 : « Nous disons à la foule que nous adorons Dieu. Mais il s’agit du Dieu que l’on adore sans superstition. La religion devrait être, pour nous tous initiés de hauts grades, maintenue dans la pureté de la doctrine luciférienne. Oui ! Lucifer est Dieu. » Il ajoute que seules les plus hauts grades de l’ordre connaissent le secret de la FM, tandis que les autres sont égarés dans de fausses interprétations.
Dans La Guerre occulte (1925), Paul Copin-Albancelli, Franc-maçon du 29e degré, se retire quand il adhère aux cercles internes et prend connaissance de l’essence luciférienne qui se cache derrière les « hauts grades ».
Ancien responsable de l’Eglise de Satan, converti en Christ, Bill Schnoebelen déclare dans ses vidéos : « Tous les Francs-maçons ne sont pas satanistes, mais tous les satanistes sont Francs-maçons ».
Et, nous pourrions ainsi continuer sur des pages, tout en ajoutant qui sont aussi les véritables instigateurs et financiers des guerres.
Serge de Beketch, ancien Franc-maçon repenti devant Dieu expliquait dans ses conférences que les loges couvraient la pédo-criminalité. Ce que confirme le député belge Laurent Louis en Belgique. Dans Les Secrets de l’empire Nietzschéen, Aron Monus, ancien FM, expose les crime de la FM dont celui du président équatorien Gabriel Garcia Moreno (1821-1875) qui avait interdit les loges et mis l’Eglise au cœur de l’Etat.
Bref, tout est accablant…
Plusieurs ouvrages comme ceux du théologien allemand Johan Rothkranz attestent que le mage sataniste Aleister Crowley (qui a introduit le satanisme dans le monde moderne, et qui se vante d’avoir sacrifié des enfants dans les 1910 et 1920 : cf. Magick in Theory and Practice, ch. XII : Of the bloody sacrifice and matters cognate) était un Franc-maçon du 33e grade. Il en est de même pour Helena Blavatsy, fondatrice de la sete de Théosophie au XIXe siècle.
Laurent Glauzy