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Les indignés espagnols et les promesses de la gauche zombie

La gauche anarcho-communiste fait son grand retour en Espagne, sur fond de reprise économique et de baisse du chômage. Le bilan de Mariano Rajoy est plus qu’honorable, survenant après une épouvantable gestion socialiste qui aura duré duré huit ans. Mais des affaires de corruption sont venues ternir l’image de son parti devenu… impopulaire, et une jeunesse déboussolée, mal formée, promise au chômage ou au salaire minimum de 645 euros (attendez de voir, bientôt, en France), préfère tenter l’aventure sur fond de gauchisme attardé et bien encadré par les médias, sur fond aussi de féminisme dévoyé (pensez au cinéma apocalyptique d’Almodóvar), sur fond enfin de culture imbécile et de porcherie télévisuelle, porcherie qui a décimé les neurones qui pouvaient encore subsister chez les moins de trente ans dans la péninsule. C’est foot et saucisson pour les garçons, smartphone et fitness pour les filles, en attendant la télé-réalité pour les plus beaux. Les diplômés et les plus sérieux s’en vont.

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