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Marine Le Pen : « Je suis l’anti-Merkel ! J’en accepte l’augure ! »

Alors que Hollande, quelques minutes plus tôt, avait comparé "le souverainisme au déclinisme", la présidente du FN lui a rappelé que l’article 1 d’une Constitution qu’il était censé servir s’intitulait "de la souveraineté"…

Au milieu du ronron bien-pensant, d’une Europe à la pensée prémâchée, le réveil a sonné mercredi au Parlement européen, il a retenti pendant quatre longues minutes, vissant dans leur siège Angela Merkel et son escort boy François Hollande, qui se sont vu donner par Marine Le Pen une leçon de souverainisme, une leçon de démocratie – certains diront une leçon de courage politique.

Ce 7 octobre, en assemblée plénière à Strasbourg, madame Merkel et monsieur Hollande sont venus vanter aux représentants européens tous les bienfaits de la crise migratoire actuelle, façon Oui-Oui, Plus belle la vie.

Il s’agissait d’ancrer profondément dans les consciences anesthésiées la nécessité d’accueillir grand, d’ouvrir largement des frontières qui déjà n’existent plus, sous fond de pseudo-charité dégoulinante d’hypocrisie. Contre recherche de main-d’œuvre à bas prix.

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