Le vendredi 23 octobre 2015, plus de 1300 « migrants » ont été évacués des camps parisiens dont celui du lycée Jean Quarré devenu ingérable et ont été éparpillés dans 45 centres d’hébergements situés en région parisienne ou en province.
150 de ces clandestins ont débarqué à Champcueil, un village de 2 800 habitants de l’Essonne où ils errent dans les campagnes aux alentours provoquant inquiétude et révolte chez les habitants de ce territoire rural.
Ces clandestins sont pour la très grande majorité d’entre-eux d’origine africaine. Où sont donc les fameux syriens qui fuient la guerre ? Le samedi 24 octobre 2015, le Front National de l’Essonne organisait un rassemblement devant la mairie de Champcueil puis devant le centre d’accueil pour protester contre l’invasion migratoire de la commune.
Plus de 50 personnes étaient présentes sous les slogans du Front National : « 100 % Front National, 0 % Migrants » « Les nôtres avant les autres » : citoyens, élus FN de l’Essonne, militants du Front National mais aussi des militants de Génération Identitaire.
Le Préfet de l’Essonne, complice de cette invasion migratoire avait envoyé sur place 2 camionnettes de Gendarmerie afin de réaliser quelques contrôles d’identité, alors que les clandestins errent sans surveillance policière dans les campagnes.
Une première fois interrompue dans sa conférence de presse par l’arrivée des gendarmes, Audrey Guibert (Secrétaire départementale du FN et tête de liste aux élections régionales dans l’Essonne) a dénoncé la submersion migratoire de la France et en particulier de l’Essonne organisée par l’UMPS, elle a rappelé l’alliance entre « Les républicains » et l’UDI (parti ouvertement favorable à l’invasion des migrants en Europe et à une immigration incontrôlée) d’où le « silence gêné » de Valérie Pécresse ( tête de liste LR en Ile-de-France) sur la question migratoire en Ile-de-France et l’invasion des clandestins dans nos campagnes franciliennes.
Les habitants sur place ont confirmé leurs inquiétudes et leur opposition à cette arrivée massive de Clandestins souvent porteurs de maladies comme c’est le cas à Calais (gale, tuberculose…)
Les tensions montent dans les campagnes de l’Essonne face à cette invasion migratoire que les Français ne veulent pas. Un sondage RTL du 1er septembre 2015 démontrait que 81 % des sondés y étaient opposés
Par ailleurs, en date du 9 octobre 2015, 73 % des Français étaient opposés à assumer fiscalement le coût de l’accueil des « migrants »
« CHAMPCUEIL NE SERA PAS CALAIS ! »
Franck Guiot pour NovoPress
Commentaires
A 2800 habitants, on n'est plus "un village", mais une "bourgade". Vive la langue française.