La contagion du fanatisme était inévitable. Ses dérives bellicistes prévisibles.
C’est Claude Bartolone qui le dit : « Il ne faut pas qu’on établisse de lien entre les classes populaires, les banlieues populaires et ces terroristes qui n’ont rien à voir avec ces populations qui n’aspirent qu’à vivre normalement. » 129 morts et 352 blessés plus tard, le député de Seine-Saint-Denis, candidat PS à la région Île-de-France, voudrait nous convaincre qu’il n’existe aucune corrélation entre les banlieues « sensibles » françaises et la barbarie islamiste qui a orchestré deux séries d’attentats dévastateurs en moins d’un an. Clientélisme électoral, quand tu nous tiens…
Banlieue et terrorisme : « rien à voir » ?
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