Non le Pizzagate n'est pas une affaire qui a fait pschitt ou qui serait passée de mode comme s'il ne s'agissait ou qu'il ne s'était agi que d'une nouvelle marotte passagère de geeks excités. Toutes les questions soulevées par les chercheurs de vérité du monde entier depuis novembre 2016 restent sans reprises officielles. Pourquoi le propriétaire du Colmet Ping Pong, James Alefantis, fait-il partie des 50 personnes les plus puissantes de Washington DC selon un classement établi par le Washington Mag’ ? Pourquoi publie-t-il des photos scabreuses où on le voit accompagné de très jeunes enfants attachés et mis dans des positions scandaleuses ? Pourquoi l'intérieur de ce restaurant est-il empli de fresques sadiques, cannibalistes, d'enfants suppliciés ? Pourquoi tous les symboles pédosatanistes dont la signification générale a été très officiellement divulguée par le FBI sont-ils gravés, dessinés ou moulés dans cet antre où l'on joue « au ping pong » ? Pourquoi y organise-t-on des concerts sataniques (des vidéos l'attestent sur Youtube notamment) au cours desquels les chanteurs et les convives font part de leurs goûts particuliers en matière de sévices pédomaniaques ? De l'humour incompréhensible pour les ploucs provinciaux et chrétiens ? Pourquoi ce restaurant, au demeurant fort laid, est-il devenu un heu de regroupement de la clique clintonienne à Washington ? Pourquoi John Podesta, son frère Tony (tous deux collectionneurs de tableaux pédomaniaques horribles) fréquentent-ils, eux, dés délinquants sexuels notoires comme Anthony Weiner et Jef Epstein ? Pourquoi les Podesta, les Clinton et tous leurs petits copains discutent-ils parfois en langage codé utilisant le lexique de la restauration rapide pour préciser certaines informations apparemment pas très catholiques ?
Pourquoi aucune enquête n'-a-t-elle été ouverte sur l'agenda exact des frères Podesta, de Weiner et de Clément Freud, alors tous les 4 présents dans la petite ville du Portugal où fut enlevée la petite Maddie le 3 mai 2007 alors que les portraits robots correspondent traits pour traits (c'est estomaquant) aux visages de John et Tony Podesta et d'Anthony Weiner ? Pourquoi ignore-ton la cause de la mort de Clément Freud (petit-fils de Sigmund) en 2009 et pourquoi n'apprit-on que 7 ans après son trépas qu'il était un violeur d'enfants en série comme son ami Jimmy Savile ? Pourquoi les révélations de vedettes américaines sur les agissements monstrueux de pédomanes n'engendrent-elles pas l'intérêt des média mainstream ? Pourquoi ces stars immenses, selon les propres canons du média obèse, ces stars étrangement innombrables, ont-elles été si souvent victimes de la cruauté de pédomanes ? Pourquoi cette redondance pédomaniaque dans la biographie des rock stars ? Pourquoi la thématique du viol infantile, de la pédomanie, est-elle si développée dans les chansons, dans les tubes, dans les grands refrains à succès ? Nous y reviendrons mais avant de regarder de près cette particularité artistique, arrêtons-nous sur les inattendus décès de deux vedettes colossales du rock-grunge-metal mondiales.
Chris Cornell étouffé
Chris Cornell, de son vrai nom Christopher John Boyle, est mort dans la nuit du mercredi 17 au jeudi 18 mai à l'âge de 52 ans. L'ancien chanteur d'Audiolslav était pourtant sur scène quelques heures avant son décès, à Détroit où il chantait avec son ancien groupe quasi légendaire Soundgarden reformé timidement en 2010. Originaire de Seattle dans l'État de Washington, Chris Cornell avait fondé son groupe à la fin des années 1980. Ils connurent un succès phénoménal à cette époque, ouvrant les concerts des Gun's n Roses lors de leur tournée américaine ou en partageant l'affiche de festivals avec les Red Hot Chili Feppers, Çypress Hill ou encore Rage Against The Machine. Soundgarden avait obtenu deux Grammy Awards en 1995 dans les catégories meilleures performances de hard rock et meilleure performance de métal. La suite de la carrière de Chris Cornell est d'un point de vue professionnel tout à fait honorable ; il fut ainsi l'auteur de l'un des titres qui accompagne Casino Royal, l'un des meilleurs James Bond de toutes les époques. Mais son plus grand succès reste incontestablement Black Hole Sun, un titre et un clip incroyables incompris cependant du gros de son public. Donc, lorsque l'on découvrit Cornell sans vie dans sa chambre d'hôtel, la nouvelle fit l'effet d'une bombe. Une mauvaise et énorme surprise en effet pour les fans de Chris Cornell et surtout pour ses amis qui le connaissaient fort bien. Car si Chris Cornell était réputé pour être véritablement le fondateur du style grunge, avant ou devant Kurt Cobain du groupe
Nirvana, pour être une sorte d'icône d'un rock noir, parfois caricature dépressive, commercialement dépressive à l'adresse d'un public adolescent toujours un peu torturé, il était devenu, et telle était la vérité, un bon père de famille parfaitement sensé, un papa au grand cœur, un homme équilibré, resté poète mais qui avait dépassé ses tourments et ses souffrances (un homme qui n'avait jamais été diagnostiqué psychotique par ailleurs). Sa mort stupéfia d'autant plus. Il fut en effet retrouvé "suicidé", pendu à une poignée de porte avec quelque bande en coton si serrée autour du cou que le sang coulait par la bouche du malheureux quand on le retrouva. Mais aussitôt l'énorme matrice journalistique déversa la version officielle du pourquoi du comment. Chris Cornell était en pleine forme mais il était bel et bien un chanteur de rock pop et il prenait des poses grunge dépressives ce qui laissait présager un suicide. Un écorché vif se suicide nécessairement selon le média débile. Même si rien n'indiquait un tel dénouement. Point.
Chris Cornell était en forme, actif, social et poursuivait une tournée musicale très honorable qui le comblait. Et pourtant, il se serait suicidé... Le public le croit aisément : Cornell a été très malheureux de l'âge de 13 à 14 ans, et il chantait des textes tristes et glauques ; il fut donc "normal" qu'il se suicidât. Néanmoins, absolument rien n'indiqua que cette vedette sans problème (les molécules des médicaments qu'il ingéra n'étaient pas très dangereuses et il n'était même pas considéré comme un toxicomane, ce qui est finalement rare dans ce milieu qui connaît finalement très peu de suicides (le dernier en date, très controversé, - sans parler de la petite scène - est celui de Kurt Cobain en 1994) allait commettre l’irréparable. Cela arrive, entend-on, et il n'est pas nécessaire d'en faire tout un fromage !
Deux mois plus tard, même son de cloche. Chester Bennington, chanteur emblématique du groupe Linkin Park, se serait suicidé (il y a donc dix jours) à son domicile en se pendant un peu de la même façon. Le 20 juillet, jour anniversaire de son ami Chris Cornell, Chester se tue. Il n'aurait pas supporté la disparition de son collègue musicien bien qu'il fût père aimant de six enfants et que rien, là encore, ne laissait présager le pire. Cette fois, le gros média débile argua de la fragilité mentale de Chester Bennington, victime à l'âge de 7 ans de viols monstrueux qui le rendirent "dépressifs" (état légitimant un éventuel suicide). Les connaisseurs furent sceptiques cependant lorsqu'ils apprirent ce nouveau suicide. Car, là encore, même si la vedette était connue pour ses traumatismes d'enfance, tout allait bien pour lui : une famille nombreuse, une vie professionnelle active loin des frasques qui caractérisent le monde déjanté des punks toxicomanes auquel il n'appartenait absolument pas. Il se serait lui aussi tué soudainement, sans le laisser présager, à l'âge de 41 ans. Le scénario tissé par le média mainstream était cousu de fil blanc. Touché par la mort brutale de son ami, fragilisé par ses blessures, Chester se serait donné la mort sur la scène tragique du rock dur. Il ne faut pas se poser de questions, c'est l'univers de la souffrance habituellement sublimé qui a déraillé...
Chester Bennington Liquidé ?
Chester Bennington était une victime de pédomanie ; il fut violé à l'âge de 7 ans et il n'avait jamais fait mystère de cette blessure et de sa volonté d'aider les malheureux enfants souffrant dans leur âme de ce fléau infiniment pervers. Les métamorphoses du combat contre la pédomanie, l'éclatement du Pizzagate principalement, ont fait déferler des légions de chercheurs de vérité qui se sont mis à ratisser tout le champ médiatique afin de découvrir l'étendue du réseau pédomane dont la zone de Washington ne pouvait être que la face émergée de l'iceberg. Nous pouvons penser qu'un homme comme Chester Bennington fut très largement sollicité non seulement par une partie de ses fans mais par des milliers d'Américains désireux d'en savoir plus sur les agissements et l'identité des tarés pédomanes. Il l’était nécessairement, sollicité, puisqu'il avait d'autre part créé une association d'aide aux victimes de la pédomanie. Il en serait donc lui-même mort à 41 ans. Comment ?
Répétons-le, le milieu dans lequel évoluait Chester Bennington est étonnamment rempli de victimes de pédomanes. D'ailleurs le chanteur de Linkin Park a évoqué à maintes reprises ce mal dans ses compositions, et quand on gratte un peu ses textes, souvent hermétiques, on se demande s'il ne parie pas de cela dans la plupart de ses titres ! Elément que le gros média et la presse spécialisée comme Rollington Stone magazine ou en France Les Inrocks n'analysent guère. Ces journaleux sont paradoxalement bien pudiques sur la chose...
Deux hommes encombrants
Même commentaire à propos du traitement médiatique de Chris Cornell, le chanteur de Soundgarden et du tube Black Hole Sun dont l'hermétisme n'a visiblement pas "travaillé" la presse spécialisée ! Et ce n'est pas parce que Cornell lui-même fut bien taiseux sur la signification de sa chanson que les exégètes doivent l'être pareillement à ce propos, surtout aujourd'hui ! Car avec la documentation dont on dispose actuellement en matière de symbolisme, le message sous-jacent véhiculé dans Black Hole Sun saute désormais aux yeux. Le clip très noir de cette chanson est tout autant parlant quant au sujet profond abordé par Cornell ; notamment cette séquence pendant laquelle une envolée de papillons traversant le living-room d'adultes abrutis par la télévision qui symbolise la fin de l'enfance sanctionnée par un viol silencieux dans une chambre voisine. Autre question lancinante : pourquoi la presse habituellement si curieuse, si indiscrète, ne s'est-elle pas intéressée aux causes de la dépression subie par Chris Cornell au tout début de son adolescence ? Pourquoi, par ailleurs, l’énorme entreprise Clear Channel avait-elle profité du 11 septembre 2001 pour rayer de sa liste de diffusion le titre Black Hole Sun ? Rappelons que Clear Channel est propriétaire de centaines de stations de radio et de plusieurs chaînes de télévision et premier organisateur de concerts dans le monde avec Live Nation Entertainment - « Au départ organisateur de concerts, Live Nation s'est transformé par des rachats successifs en société intégrée contrôlant toute la chaîne du spectacle. Live Nation opère sur cinq métiers principaux : promotion de concerts et gestion de salles ; billetterie gestion d'artistes (contrats publicitaires, gestion de fan-clubs, produits dérivés) ; vente en ligne (vente de billets de spectacles sur les sites internet de Live Nation) ; partenariats. En 2010, Live Nation organise près de 100 000 spectacles (dont 21 000 concerts) dans près de 40 pays, rassemblant 200 millions de spectateurs. Côté au Nasdaq, Live Nation réalise un chiffre d'affaires de 5 milliards de dollars et emploie 6 500 salariés au 31 décembre 2010 » selon Wikipédia. Ces faits ont-ils un rapport avec le silence assourdissant de Chris Cornell à propos de sa chanson fétiche qui semblait indisposer les producteurs de toutes sortes bien qu'elle soit depuis sa sortie formidablement "bankable" ?
Nos deux hommes étaient-ils sur le point de révéler les secrets du secret ? Le Système pédomane (pour parler comme Vladimir Poutine) utilise toujours la même stratégie pour inciter les masses à se désintéresser de toutes ces questions. Il existe ainsi une multitude de sites Internet "louches", très officieusement conspirationnistes qui s'empressent d'ajouter au vrai du taux et du grotesque afin de discréditer tout le travail des chercheurs de vérité aux yeux du grand public. Plusieurs sites inventèrent ainsi une parenté entre l'affreux John Podesta et Chester Bennington qui serait... son fils naturel caché... Le fait que Bennington ressemble très approximativement à John Podesta suffirait à étayer cette croyance et à ridiculiser du même coup tous ceux essayant de se poser les bonnes questions. Cette idée absurde rend de facto l'hypothèse d'une émulation antipédomane qui s'est développée autour de Cornell et de Bennington peu séduisante. Elle est pourtant évidente. Cornell était proche de Bennington, mais aussi du chanteur des Gun's and roses, Axel Rose, qui fut violé à l'âge de deux ans par plusieurs membres de sa famille, de Slash, victime lui aussi de pédomanie et qui en parle dans sa chanson The Unholy, de Serj Tankian du groupe System of Down, chanteur très engagé dans des causes humanitaires (protection de l'enfance notamment). À cette aune, il est certain que l'amitié liant Cornell à Bennington reposait sur leur volonté respective d'aider les victimes de pédomanie de la meilleure façon possible. Chris Cornell avait lui aussi créé une fondation à cet effet, la fondation Vicky et Chris Cornell destinée à aider les entants abusés de 5 à 15 ans. Cette association existe depuis fin 2012 mais depuis quelques mois elle s'était rapprochée de celle dirigée alors par Bennington...
François-Xavier Rochette Rivarol du 3 août au 5 septembre 2017