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Black-Blocs, idiots utiles de la macronie

L’image contient peut-être : 1 personne, foule et plein air
La violence d'extrême gauche, c'est comme une fourmi qui parle anglais et javanais: ça n'existe pas.
Rappelons, pour bien situer le niveau de lutte RÉELLE contre la violence RÉELLE exercée depuis des années en matière de manifestations publiques, qu’une obscure commission d’enquête parlementaire sur la lutte contre la violence des groupuscules d’extrême-droite a été montée début 2019, à la demande de la France Insoumise, en guise de hochet. 
Si vous avez connaissance de manifestations violentes, récurrentes, de mises à sac de masse, commises par ces groupes, l'Inspecteur Gadget est preneur.
Cette commission, qui s’est déconsidérée jour après jour et dont même le rapporteur LREM Adrien Morenas (c’est dire!) dénonce les dérives partisanes et la tournure de vaudeville, sert en réalité principalement à sa contestable présidente issue de l’extrême-gauche héraultaise, Muriel Ressiguier, à traquer ses opposants politiques locaux.
Cette commission s’est notamment ridiculisée en essayant (puis renonçant) d’auditionner des personnalités politiques telles que Marion Maréchal ou Marine Le Pen, mais surtout en tentant d'intégrer parmi ses membres respectables le député ex-LREM M’jid El Guerrab particulièrement au fait des questions de violence pour avoir défoncé le crâne du socialiste Boris Faure à coups de casque de moto (et toujours pas jugé et toujours député). 
Honte de rien, ils osent tout, comme chacun sait, c’est à cela qu’on les reconnaît.
Pendant ce temps, et contrairement à ce qu’affirmait péremptoirement la journaliste du Parisien Jannick Alimi hier soir en direct sur BFMTV, il N’EXISTE PAS de commission d’enquête parlementaire sur les violences d’extrême-gauche dans ce pays. 
Tout simplement. 
Aussi invraisemblable que cela puisse paraître. 
Existe pas. Môme Néant.
La seule obsession idéologique de ce régime post-socialiste est de lutter contre les «populistes» gilets jaunes ou autres Gaulois réputés réfractaires et lépreux.
La délinquance qui depuis des années sabote tous les mouvements sociaux en les radicalisant hystériquement et en saccageant les centres villes est laissée libre de croître et de prospérer. 
La seule rhétorique employée par cet exécutif vise l’extrême-droite (réelle ou putative). 
La seule obsession sans cesse rebachée est celle d’un retour fantasmagorique des heures sombres. Anne Hidalgo a été jusqu’à halluciner, pathétique Bernadette Soubirous de la post-modernité, des violences d’extrême-droite samedi sur les Champs.
Aucun combat réel n’est mené contre les véritables fauteurs de troubles blacks-blocs et antifas connus depuis des années. 
Au contraire, ils bénéficient de la mansuétude idéologique des gouvernements, soit par proximité politique, soit parce qu’ils permettent de saper en les discréditant tous les conflits sociaux. 
Et c'est à tordre le cou au mouvement des gilets jaunes qu'ils vont encore servir cette fois-ci.
Tout comme aucune action sérieuse n’a été entreprise samedi contre eux, se baladant tranquillement en centre-ville avec des disqueuses, des meuleuses, des tronçonneuses.
Alors, les moulinets, les coups de menton, les mises en scène théâtrales, les réveils tardifs et sélectifs : merci mais non merci.

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