Le Colonel de gendarmerie #MichaelDIMEO est attaqué par les syndicats policiers pour avoir dit la vérité sur les violences policières dans le documentaire de #BFMTV du 8 avril sur les images filmées le 1er décembre 2018 où on voit des CRS rouer de coups des manifestants alors qu’ils sont à terre et sans défense à l’intérieur du Burger King des Champs Elysées.
Interrogé en regardant ces images, le Colonel de gendarmerie Michael DI MEO confirme qu’il s’agit de violences policières.
Ce jour-là, il commandait un groupement de gendarmes mobiles, ce jour-là à Paris, il était sur le terrain et contredit le ministre de l’intérieur #CASTANER qui a nié l’existence de ces violences policières et a déclaré le 15 janvier 2019 « Je ne connais aucune policier, aucun gendarme, qui ait attaqué des gilets jaunes.
Le Colonel Di Meo affirme le contraire, vidéo à l’appui et il risque d’être sanctionné par Castaner pour cela.
Cet officier supérieur qualifié par le général Bertrand Cavallier de "grand professionnel du maintien de l’ordre dans toutes ses dimensions – doctrinal, déontologique et tactique.
Un colonel de gendarmerie dit haut et fort la vérité.
Cela ne plaît pas à la police, le secrétaire national de l'UNSA-Police, David Michaux déclare "nos amis de la gendarmerie auraient pu avoir la décence d'attendre la fin de l'enquête avant de nous mettre en cause, surtout de manière aussi directe", et que les propos de ce colonel "ne vont pas arranger les relations entre gendarmes et policiers".
Ce syndicat de police met en porte à faux le Colonel ii Méo et ne supporte pas qu’on dise la vérité sur les dérapages violents de la police.
Il rend responsable le colonel des mauvaises relations entre la gendarmerie et la police alors que le Colonel Di Méo a été interrogé en tant que spécialiste du maintien de l’ordre.
La police utilise les syndicats pour attaquer un seul homme, gendarme, alors qu’ils savent parfaitement que la gendarmerie n’a pas le droit de répondre car elle n’a pas de syndicat.
Ce sont des méthodes qui reviennent exactement à ce qu’on voit partout dans les manifestations, attaquer des gens honnêtes, sans qu’ils puissent avoir de défense.
Le Colonel Di Méo ne pourra pas se défendre, il ne répondra pas, c’est un militaire, qui a de la dignité et de l’honneur, c’est un gendarme.
Il risque d’être sanctionné par la hiérarchie pour avoir dit la vérité sur les violences policières au lieu de couvrir celles-ci.
En réalité, les gendarmes ne cautionnent pas les comportements violents injustifiés contre les manifestants et les chiffres démontrent que ce ne sont pas les gendarmes mais majoritairement les policiers qui sont mis en cause dans les violences contre les manifestants.
Les chiffres fournis par le très sérieux magazine « L’essor de la gendarmerie » sont clairs :
L’inspection générale de la Gendarmerie nationale (IGGN) a été saisie seulement 10 fois par des plaintes pour des violences contre des manifestants contre 199 fois pour l’Inspection générale de la Police nationale (IGPN), soit des pourcentages respectifs de 4,8 % pour la Gendarmerie et de 95,2 % pour la Police.
La majorité saisines concernent l’utilisation par les forces de l’ordre du lanceur de balles de défense de 40 mm (LBD-40), soupçonné d’avoir provoqué des dizaines de blessures graves comme des éborgnements.
Selon la sénatrice Jacqueline Eustache-Brinio, pour la période allant du 17 novembre 2018 au 5 février 2019, on a dénombré 13.460 tirs de LBD-40 recensés dans la Police .
De son côté, l’IGGN évaluait à “un millier’ les tirs de LBD par des gendarmes pour la même période. Soit 93 % pour la Police et de 7 % pour la Gendarmerie.
La différence de mentalité entre police et gendarmerie éclate au grand jour et les policiers attaquent les gendarmes.
A l’heure où les policiers de la BAC gazent des enfants sur un manège, et confient l’enquête sur l’attaque de Geneviève Legay à Nice par un CRS à la femme du commandant qui a donné l’ordre d’attaquer, on doit défendre les gendarmes qui disent la vérité et qui font preuve d’honneur et de droiture.
J’appelle tous les #giletsjaunes et leurs soutiens à soutenir ce gendarme qui dit la vérité contre la police qui est majoritairement responsable des violences contre les manifestants.
Également à ce que la gendarmerie soit chargée des enquêtes contre les policiers accusés de violences policières.
Nous ne faisons plus confiance à la police.
Ce jour-là, il commandait un groupement de gendarmes mobiles, ce jour-là à Paris, il était sur le terrain et contredit le ministre de l’intérieur #CASTANER qui a nié l’existence de ces violences policières et a déclaré le 15 janvier 2019 « Je ne connais aucune policier, aucun gendarme, qui ait attaqué des gilets jaunes.
Le Colonel Di Meo affirme le contraire, vidéo à l’appui et il risque d’être sanctionné par Castaner pour cela.
Cet officier supérieur qualifié par le général Bertrand Cavallier de "grand professionnel du maintien de l’ordre dans toutes ses dimensions – doctrinal, déontologique et tactique.
Un colonel de gendarmerie dit haut et fort la vérité.
Cela ne plaît pas à la police, le secrétaire national de l'UNSA-Police, David Michaux déclare "nos amis de la gendarmerie auraient pu avoir la décence d'attendre la fin de l'enquête avant de nous mettre en cause, surtout de manière aussi directe", et que les propos de ce colonel "ne vont pas arranger les relations entre gendarmes et policiers".
Ce syndicat de police met en porte à faux le Colonel ii Méo et ne supporte pas qu’on dise la vérité sur les dérapages violents de la police.
Il rend responsable le colonel des mauvaises relations entre la gendarmerie et la police alors que le Colonel Di Méo a été interrogé en tant que spécialiste du maintien de l’ordre.
La police utilise les syndicats pour attaquer un seul homme, gendarme, alors qu’ils savent parfaitement que la gendarmerie n’a pas le droit de répondre car elle n’a pas de syndicat.
Ce sont des méthodes qui reviennent exactement à ce qu’on voit partout dans les manifestations, attaquer des gens honnêtes, sans qu’ils puissent avoir de défense.
Le Colonel Di Méo ne pourra pas se défendre, il ne répondra pas, c’est un militaire, qui a de la dignité et de l’honneur, c’est un gendarme.
Il risque d’être sanctionné par la hiérarchie pour avoir dit la vérité sur les violences policières au lieu de couvrir celles-ci.
En réalité, les gendarmes ne cautionnent pas les comportements violents injustifiés contre les manifestants et les chiffres démontrent que ce ne sont pas les gendarmes mais majoritairement les policiers qui sont mis en cause dans les violences contre les manifestants.
Les chiffres fournis par le très sérieux magazine « L’essor de la gendarmerie » sont clairs :
L’inspection générale de la Gendarmerie nationale (IGGN) a été saisie seulement 10 fois par des plaintes pour des violences contre des manifestants contre 199 fois pour l’Inspection générale de la Police nationale (IGPN), soit des pourcentages respectifs de 4,8 % pour la Gendarmerie et de 95,2 % pour la Police.
La majorité saisines concernent l’utilisation par les forces de l’ordre du lanceur de balles de défense de 40 mm (LBD-40), soupçonné d’avoir provoqué des dizaines de blessures graves comme des éborgnements.
Selon la sénatrice Jacqueline Eustache-Brinio, pour la période allant du 17 novembre 2018 au 5 février 2019, on a dénombré 13.460 tirs de LBD-40 recensés dans la Police .
De son côté, l’IGGN évaluait à “un millier’ les tirs de LBD par des gendarmes pour la même période. Soit 93 % pour la Police et de 7 % pour la Gendarmerie.
La différence de mentalité entre police et gendarmerie éclate au grand jour et les policiers attaquent les gendarmes.
A l’heure où les policiers de la BAC gazent des enfants sur un manège, et confient l’enquête sur l’attaque de Geneviève Legay à Nice par un CRS à la femme du commandant qui a donné l’ordre d’attaquer, on doit défendre les gendarmes qui disent la vérité et qui font preuve d’honneur et de droiture.
J’appelle tous les #giletsjaunes et leurs soutiens à soutenir ce gendarme qui dit la vérité contre la police qui est majoritairement responsable des violences contre les manifestants.
Également à ce que la gendarmerie soit chargée des enquêtes contre les policiers accusés de violences policières.
Nous ne faisons plus confiance à la police.