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  • Quand les médias cachent les violences des migrants, quelqu’un doit en parler

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    Tout comme en France et dans la plupart des pays européens, en Espagne également, des ordres sont donnés afin que les médias en général et plus particulièrement les chaînes de télévision s’abstiennent de fournir des informations sur les identités et, surtout, les origines des auteurs des crimes, agressions violentes, viols, vols, etc. afin de ne pas stigmatiser les migrants clandestins, qu’ils soient mineurs ou adultes, qui représentent un pourcentage très élevé de cette délinquance agressive.

    Ainsi, par exemple, la chaîne espagnole « Telediario 6 » a occulté la nationalité des voyous qui ont violé en groupe, à Manresa (Catalogne) une jeune fille de 17 ans qui elle-même les avait désigné à la police catalane comme étant quatre maghrébins.

    Et ce n’est pas la première fois que cette chaîne, véhiculant une idéologie d’extrême gauche, omet d’informer correctement.

    Cette jeune fille avait commis l’imprudence de se laisser convaincre, par l’un des clandestins rencontré au cours de la soirée, de le suivre dans l’appartement qu’il occupait, 17 rue de Aiguader, et c’est vers trois heures du matin que lui-même et trois complices, âgés de 18 à 25 ans, ont abusé d’elle sexuellement.

    Nombreuses sont les provinces espagnoles qui se trouvent confrontées à cette insécurité à cause des très nombreux mineurs isolés clandestins, d’origine maghrébine, qui sévissent dorénavant en toute tranquillité.

    Le responsable de la police nationale de la province d’Aragon vient d’affirmer qu’entre trois heures et quatre heures vingt du matin ses services ont été alertés à plusieurs reprises pour des vols avec violence, notamment à Zaragosse, dans le quartier de San Pablo.

    Quatre mineurs ont menacé d’un couteau une jeune fille, avenue Goya, pour lui voler son portable. Deux autres mineurs clandestins venaient de commettre plusieurs agressions violentes rue Saint-Vincent de Paul et une patrouille a pu interpeller deux mineurs à l’instant où ils allaient dérober un mobile à un adolescent, rue Aguadores.

    Vers 4 h du matin ce fut une dernière victime, pour cette même nuit, qui a été rouée de coups, également pour lui voler son portable.

    Les policiers recherchaient également cinq mineurs auteurs de nombreuses agressions et vols, sur deux adolescents qui rentraient chez eux.

    Dans la région de Valence, à Jativa, ce sont deux marocains de 25 et 31 ans qui ont été arrêtés par la police nationale après avoir abusé sexuellement d’une jeune fille, après avoir procédé à des attouchements.

    Nous avons déjà eu l’occasion, hélas, d’informer sur cette nouvelle délinquance qui frappe la péninsule ibérique depuis ces cinq dernières années, à Murcia, Llorca, Malaga et dans toute l’Andalousie. A présent cela s’étend à toutes les provinces et notamment dans le nord-est, qui est devenu le chemin le plus direct vers la France.

    Mattéo Salvini a sauvé momentanément l’Italie, qui a dû subir une délinquance identique durant des années, mais qui sauvera l’Espagne ? Tous les regards se tournent vers VOX.

    Quant à la France, nous venons de le constater ces derniers jours avec les « supporters » algériens, il est à craindre qu’il ne soit déjà trop tard !

    © Manuel Gomez pour Dreuz.info.

    https://www.alterinfo.ch/2019/07/17/quand-les-medias-cachent-les-violences-des-migrants-quelquun-doit-en-parler/

  • Climat : de grands scientifiques italiens jettent un pavé dans la mare

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    Ce texte, sous forme de pétition, a été initié par le professeur Uberto Crescenti – Professeur titulaire de géologie appliquée à l’Université G. d’Annunzio de Chieti ; Recteur de l’Université G. d’Annunzio de 1985 à 1997, président de la Société italienne de géologie de 1999 à 2005, fondateur et président de l’Association italienne de géologie appliquée et d’environnement de 1999 à 2005, fondateur et président en 2001 de l’Association italienne « géologie et tourisme ».
    Il faut lire ce texte dans son intégralité.
    Nous soussignés, citoyens et hommes de science, invitons avec force les décideurs politiques à adopter des politiques de protection de l’environnement qui soient compatibles avec les connaissances scientifiques.
    En particulier, il est urgent de lutter contre la pollution là où elle se produit, comme l’indiquent les meilleures données scientifiques. 
    A cet égard, il est regrettable que les connaissances mises à disposition par le monde de la recherche soient utilisées trop tard pour réduire les émissions anthropiques de polluants très répandus dans les systèmes environnementaux tant continentaux que marins.
    Cependant, il faut être bien conscient que le dioxyde de carbone lui-même n’est pas un polluant. Au contraire, il est indispensable à la vie sur notre planète.
    Au cours des dernières décennies, s’est répandue une hypothèse selon laquelle le réchauffement de la surface de la terre d’environ 0,9°C observé depuis 1850 serait anormal et dû aux activités humaines, en particulier à l’émission dans l’atmosphère de CO2 venant de l’utilisation des combustibles fossiles.
    C’est là la thèse du réchauffement climatique anthropique promue par le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat (GIEC) des Nations Unies, dont les conséquences seraient des changements environnementaux si graves qu’ils feraient craindre des dommages énormes dans un avenir proche, à moins que des mesures drastiques et très coûteuses soient adoptées immédiatement. 
    De nombreuses nations du monde ont adhéré à des programmes de réduction des émissions de dioxyde de carbone et une propagande de plus en plus virulente les invite à adopter des programmes toujours plus exigeants dont la mise en œuvre, très onéreuse pour les économies de ces Etats, serait, prétend-on, nécessaire à la maîtrise du climat et au « salut » de la planète.

    L’origine anthropique du réchauffement de la planète est cependant une conjecture non prouvée, déduite uniquement de certains modèles climatiques, c’est-à-dire de programmes informatiques complexes, appelés modèles de circulation générale.
    Au contraire, la littérature scientifique a, mis en évidence l’existence d’une variabilité climatique naturelle que les modèles ne sont pas capables de reproduire, variabilité naturelle de mieux en mieux vérifiée.
    Cette variabilité naturelle explique une part importante du réchauffement climatique observé depuis 1850.
    La responsabilité anthropique du changement climatique observée au siècle dernier est donc exagérée de façon injustifiée et les prévisions catastrophiques sont irréalistes.
    Le climat est le système le plus complexe sur notre planète : nous devons donc l’aborder avec des méthodes appropriées et adaptées à son niveau de complexité.
    Les modèles de simulation climatique ne reproduisent pas la variabilité naturelle observée du climat et, en particulier, ne reconstituent pas les périodes chaudes des 10 000 dernières années.
    Celles-ci se sont répétées environ tous les mille ans : on y trouve la période médiévale chaude, bien connue, la période romaine chaude, et généralement de grandes périodes chaudes pendant l’Optimum holocène [Il y a 8000 ans].
    Ces périodes passées étaient plus chaudes que la période actuelle, bien que la concentration de CO2 y ait alors été inférieure à la concentration actuelle ; elles sont liées aux cycles millénaires de l’activité solaire. Ces effets ne sont pas reproduits par les modèles.
    Rappelons que le réchauffement observé de 1900 à nos jours a, en fait, commencé en 1700, c’est-à-dire au minimum du Petit Âge glaciaire, qui est la période la plus froide des 10 000 dernières années, et qu’il correspond à un minimum millénaire de l’activité solaire que les astrophysiciens appellent minimum solaire de Maunder
    Depuis, l’activité solaire, suivant son cycle millénaire, a augmenté et réchauffé la surface de la Terre.
    De plus, les modèles ne parviennent pas à reproduire les oscillations climatiques bien connues de période 60 ans environ. 
    Celles-ci ont été responsables, d’une période de réchauffement (1850-1880) suivie d’une période de refroidissement (1880-1910), puis d’une période de réchauffement (1910-1940), d’une période de refroidissement (1940-70) et d’une nouvelle période de réchauffement (1970-2000) semblable à celle observée 60 ans auparavant.
    Les années suivantes (2000-2019) ont vu non pas l’augmentation prévue par les modèles, d’environ 0,2°C par décennie, mais une nette stabilité climatique sporadiquement interrompue par les oscillations naturelles rapides de l’océan Pacifique équatorial, appelées El Niño Southern Oscillation (ENSO), telles que celle qui a amené un réchauffement temporaire en 2015 et 2016.
    Les médias affirment également que les événements extrêmes, tels qu’ouragans et cyclones, ont augmenté de façon inquiétante. 
    Non ! Ces événements, sont , comme de nombreux systèmes climatiques, modulés par le cycle de 60 ans que l’on vient de signaler. 
    Voyons, par exemple, les données officielles depuis 1880 sur les cyclones tropicaux atlantiques qui ont frappé l’Amérique du Nord : elles montrent une forte oscillation de 60 ans, corrélée à l’oscillation thermique de l’océan Atlantique appelée Atlantic Multi-decadal Oscillation (AMO). Les pics observés pendant dix ans sont comparables pour les années 1880-90, 1940-50 et 1995-2005. De 2005 à 2015, le nombre de cyclones a diminué, suivant le cycle susmentionné.
    Ainsi, sur la période 1880-2015, il n’y a pas de corrélation entre le nombre de cyclones, qui oscille et le CO2 qui augmente de façon monotone.
    Le système climatique n’est pas encore suffisamment bien compris. 
    S’il est vrai que le COest un gaz à effet de serre, la sensibilité du climat à son augmentation dans l’atmosphère est, selon le GIEC lui-même, encore extrêmement incertaine. 
    Un doublement de la concentration atmosphérique de CO2, d’environ 300 ppm avant l’ère industrielle à 600 ppm, pourrait, dit-on, faire monter la température moyenne de la planète d’au moins 1°C à au plus 5°C.
    Cette incertitude est énorme. 
    Cependant, de nombreuses études récentes fondées sur des données expérimentales estiment que la sensibilité du climat au COest nettement moindre que celle estimée par les modèles du GIEC.
    Il est donc scientifiquement irréaliste d’attribuer à l’homme la responsabilité du réchauffement observé de 1900 à nos jours.
    Les prédictions alarmistes ne sont donc pas crédibles, puisqu’elles sont basées sur des modèles dont les résultats sont en contradiction avec les données observées.
    Tout porte à croire que ces modèles surestiment la contribution anthropique et sous-estiment la variabilité climatique naturelle, en particulier celle induite par le soleil, la Lune et les oscillations océaniques.
    Enfin, les médias ont fait passer le message qu’ il y aurait un consensus quasi unanime parmi les scientifiques sur la cause anthropique de l’actuel changement climatique et que le débat scientifique serait donc clos. 
    Et pourtant, nous devons tout d’abord être bien conscients que la méthode scientifique exige que ce soient les faits, et non le nombre de croyants qui d’une conjecture font une théorie scientifique consolidée.
    Quoi qu’il en soit, même ce supposé consensus n’existe pas. 
    Les opinions des spécialistes – climatologues, météorologues, géologues, géophysiciens, astrophysiciens – sont très variables et nombre d’entre eux reconnaissent l’importance de la contribution naturelle au réchauffement planétaire observée depuis la période préindustrielle et même au réchauffement de l’après-guerre à aujourd’hui.
    Il y a également eu des pétitions signées par des milliers de scientifiques qui ont exprimé leur désaccord avec l’hypothèse du réchauffement climatique anthropique. 
    Notamment celle lancée en 2007 par le physicien F. Seitz, ancien président de l’American National Academy of Sciences, et celle lancée par le Groupe d’experts International Non Gouvernemental sur l’évolution du climat (NIPCC), dont le rapport 2009 conclut que  » la nature, et non l’activité humaine, gouverne le climat « .
    En conclusion, vu l’importance cruciale des combustibles fossiles pour l’approvisionnement énergétique de l’humanité, nous suggérons de refuser d’adhérer à des politiques de réduction des émissions de dioxyde de carbone dans l’atmosphère sous le prétexte illusoire de gouverner le climat.
    COMITÉ DE LANCEMENT

    1. Uberto Crescenti, Professeur émérite de géologie appliquée, Université G. D’Annunzio, Chieti-Pescara, ancien Recteur magnifique et Président de la Société italienne de géologie.
    2. Giuliano Panza, Professeur de sismologie, Université de Trieste, Académicien du Lincei et de l’Académie Nationale des Sciences, connu comme le XL, Prix International 2018 de l’Union Géophysique Américaine.
    3. Alberto Prestininzi, professeur de géologie appliquée, Université La Sapienza, Rome, ancien rédacteur scientifique en chef de la revue internationale IJEGE et directeur du Centre de recherche sur la prévision et le contrôle des risques géologiques.
    4. Franco Prodi, professeur de physique atmosphérique, Université de Ferrare.
    5. Franco Battaglia, professeur de chimie physique, Université de Modène ; Movimento Galileo 2001.
    6. Mario Giaccio, professeur de technologie et d’économie des sources d’énergie, Université G. D’Annunzio, Chieti-Pescara, ancien doyen de la faculté d’économie.
    7. Enrico Miccadei, Professeur de Géographie, Physique et Géomorphologie, Université G. D’Annunzio, Chieti-Pescara.
    8. Nicola Scafetta, professeur de physique atmosphérique et d’océanographie, Université Frédérico II de Naples

    SIGNATAIRES 

    1. Antonino Zichichi, Professore Emerito di Fisica, Università di Bologna, Fondatore e Presidente del Centro di Cultura Scientifica Ettore Majorana di Erice.
    2. Renato Angelo Ricci, Professore Emerito di Fisica, Università di Padova, già Presidente della Società Italiana di Fisica e della Società Europea di Fisica; Movimento Galileo 2001.
    3. Aurelio Misiti, Professore di Ingegneria Sanitaria-Ambientale, Università la Sapienza, Roma.
    4. Antonio Brambati, Professore di Sedimentologia, Università di Trieste, Responsabile Progetto Paleoclima-mare del PNRA, già Presidente Commissione Nazionale di Oceanografia.
    5. Cesare Barbieri, Professore Emerito di Astronomia, Università di Padova.
    6. Sergio Bartalucci, Fisico, Presidente Associazione Scienziati e Tecnologi per la Ricerca Italiana.
    7. Antonio Bianchini, Professore di Astronomia, Università di Padova.
    8. Paolo Bonifazi, già Direttore Istituto di Fisica dello Spazio Interplanetario, Istituto Nazionale Astrofisica.
    9. Francesca Bozzano, Professore di Geologia Applicata, Università Sapienza di Roma, Direttore del Centro di Ricerca CERI.
    10. Marcello Buccolini, Professore di Geomorfologia, Università Università G. D’Annunzio, Chieti-Pescara.
    11. Paolo Budetta, Professore di Geologia Applicata, Università di Napoli.
    12. Monia Calista, Ricercatore di Geologia Applicata, Università G. D’Annunzio, Chieti-Pescara.
    13. Giovanni Carboni, Professore di Fisica, Università Tor Vergata, Roma; Movimento Galileo 2001.
    14. Franco Casali, Professore di Fisica, Università di Bologna e Accademia delle Scienze di Bologna.
    15. Giuliano Ceradelli, Ingegnere e climatologo, ALDAI.
    16. Domenico Corradini, Professore di Geologia Storica, Università di Modena.
    17. Fulvio Crisciani, Professore di Fluidodinamica Geofisica, Università di Trieste e Istituto Scienze Marine, Cnr, Trieste.
    18. Carlo Esposito, Professore di Telerilevamento, Università La Sapienza, Roma.
    19. Mario Floris, Professore di Telerilevamento, Università di Padova.
    20. Gianni Fochi, Chimico, Scuola Normale Superiore di Pisa; giornalista scientifico.
    21. Mario Gaeta, Professore di Vulcanologia, Università La Sapienza, Roma.
    22. Giuseppe Gambolati, Fellow della American Geophysica Union, Professore di Metodi Numerici, Università di Padova.
    23. Rinaldo Genevois, Professore di Geologia Applicata, Università di Padova.
    24. Carlo Lombardi, Professore di Impianti nucleari, Politecnico di Milano.
    25. Luigi Marino, Geologo, Centro Ricerca Previsione e Controllo Rischi Geologici, Università La Sapienza, Roma.
    26. Salvatore Martino, Professore di Microzonazione sismica, Università La Sapienza, Roma.
    27. Paolo Mazzanti, Professore di Interferometria satellitare, Università La Sapienza, Roma.
    28. Adriano Mazzarella, Professore di Meteorologia e Climatologia, Università di Napoli.
    29. Carlo Merli, Professore di Tecnologie Ambientali, Università La Sapienza, Roma.
    30. Alberto Mirandola, Professore di Energetica Applicata e Presidente Dottorato di Ricerca in Energetica, Università di Padova.
    31. Renzo Mosetti, Professore di Oceanografia, Università di Trieste, già Direttore del Dipartimento di Oceanografia, Istituto OGS, Trieste.
    32. Daniela Novembre, Ricercatore in Georisorse Minerarie e Applicazioni Mineralogichepetrografiche, Università G. D’Annunzio, Chieti-Pescara.
    33. Sergio Ortolani, Professore di Astronomia e Astrofisica, Università di Padova.
    34. Antonio Pasculli, Ricercatore di Geologia Applicata, Università G. D’Annunzio, Chieti-Pescara.
    35. Ernesto Pedrocchi, Professore Emerito di Energetica, Politecnico di Milano.
    36. Tommaso Piacentini, Professore di Geografia Fisica e Geomorfologia, Università G. D’Annunzio, Chieti-Pescara.
    37. Guido Possa, Ingegnere nucleare, già Vice Ministro Miur.
    38. Mario Luigi Rainone, Professore di Geologia Applicata, Università di Chieti-Pescara.
    39. Francesca Quercia, Geologo, Dirigente di ricerca, Ispra.
    40. Giancarlo Ruocco, Professore di Struttura della Materia, Università La Sapienza, Roma.
    41. Sergio Rusi, Professore di Idrogeologia, Università G. D’Annunzio, Chieti-Pescara.
    42. Massimo Salleolini, Professore di Idrogeologia Applicata e Idrologia Ambientale, Università di Siena.
    43. Emanuele Scalcione, Responsabile Servizio Agrometeorologico Regionale Alsia, Basilicata.
    44. Nicola Sciarra, Professore di Geologia Applicata, Università G. D’Annunzio, Chieti-Pescara.
    45. Leonello Serva, Geologo, Direttore Servizi Geologici d’Italia; Movimento Galileo 2001.
    46. Luigi Stedile, Geologo, Centro Ricerca Revisione e Controllo Rischi Geologici, Università La Sapienza, Roma.
    47. Giorgio Trenta, Fisico e Medico, Presidente Emerito dell’Associazione Italiana di Radioprotezione Medica; Movimento Galileo 2001.
    48. Gianluca Valenzise, Dirigente di Ricerca, Istituto Nazionale di Geofisica e Vulcanologia, Roma.
    49. Corrado Venturini, Professore di Geologia Strutturale, Università di Bologna.
    50. Franco Zavatti, Ricercatore di Astronomia, Univesità di Bologna.
    51. Achille Balduzzi, Geologo, Agip-Eni.
    52. Claudio Borri, Professore di Scienze delle Costruzioni, Università di Firenze, Coordinatore del Dottorato Internazionale in Ingegneria Civile.
    53. Pino Cippitelli, Geologo Agip-Eni.
    54. Franco Di Cesare, Dirigente, Agip-Eni.
    55. Serena Doria, Ricercatore di Probabilità e Statistica Matematica, Università G. D’Annunzio, Chieti-Pescara.
    56. Enzo Siviero, Professore di Ponti, Università di Venezia, Rettore dell’Università e- Campus.
    57. Pietro Agostini, Ingegnere, Associazione Scienziati e Tecnolgi per la Ricerca Italiana.
    58. Donato Barone, Ingegnere.
    59. Roberto Bonucchi, Insegnante.
    60. Gianfranco Brignoli, Geologo.
    61. Alessandro Chiaudani, Ph.D. agronomo, Università G. D’Annunzio, Chieti-Pescara.
    62. Antonio Clemente, Ricercatore di Urbanistica, Università G. D’Annunzio, Chieti-Pescara.
    63. Luigi Fressoia, Architetto urbanista, Perugia.
    64. Sabino Gallo, Ingegnere nucleare.
    65. Daniela Giannessi, Primo Ricercatore, Ipcf-Cnr, Pisa.
    66. Roberto Grassi, Ingegnere, Amministratore G&G, Roma.
    67. Alberto Lagi, Ingegnere, Presidente di Società Ripristino Impianti Complessi Danneggiati.
    68. Luciano Lepori, Ricercatore Ipcf-Cnr, Pisa.
    69. Roberto Madrigali, Metereologo.
    70. Ludovica Manusardi, Fisico nucleare e Giornalista scientifico, Ugis.
    71. Maria Massullo, Tecnologa, Enea-Casaccia, Roma.
    72. Enrico Matteoli, Primo Ricercatore, Ipcf-Cnr, Pisa.
    73. Gabriella Mincione, Professore di Scienze e Tecniche di Medicina di Laboratorio, Università G. D’Annunzio, Chieti-Pescara.
    74. Massimo Pallotta, Primo Tecnologo, Istituto Nazionale Fisica Nucleare.
    75. Enzo Pennetta, Professore di Scienze naturali e divulgatore scientifico.
    76. Nunzia Radatti, Chimico, Sogin.
    77. Vincenzo Romanello, Ingegnere nucleare, Centro Ricerca, Rez, Repubblica Ceca.
    78. Alberto Rota, Ingegnere, Ricercatore presso Cise e Enel.
    79. Massimo Sepielli, Direttore di Ricerca, Enea, Roma.
    80. Ugo Spezia, Ingegnere, Responsabile Sicurezza Industriale, Sogin; Movimento Galileo 2001.
    81. Emilio Stefani, Professore di Patologia vegetale, Università di Modena.
    82. Umberto Tirelli, Visiting Senior Scientist, Istituto Tumori d’Aviano; Movimento Galileo 2001.
    83. Roberto Vacca, Ingegnere e scrittore scientifico.

    La Lettre Patriote

    http://by-jipp.blogspot.com/2019/07/climat-de-grands-scientifiques-italiens.html

  • Sylvain Tesson contre la "starbuckisation" du monde

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    Le quotidien Le Monde, qui n'est pas notre tasse de thé comme chacun sait, a parfois des moments de lucidité quand il ne cherche à nous imposer sa "moraline" droit de l'hommesque. Entreprenant une série sur l'état écologique du monde (physique et intellectuel), il a donné la parole - ô stupeur ! - à ce merveilleux écrivain-voyageur et fort peu progressiste  qu'est Sylvain Tesson (dernier ouvrage, Un été avec Homère).

    Pour télécharger l'entretien, cliquez ICI

    http://synthesenationale.hautetfort.com/

     
  • Impôts : 1,7 million de foyers vont devoir rendre de l’argent

    Les contribuables ont jusqu’au 15 septembre pour rembourser le fisc.

    Ce n’est pas parce que Gérald Darmanin avait prévenu les Français en janvier que la pilule passera plus facilement. Au début de l’année, en même temps que le prélèvement de l’impôt sur le revenu à la source entrait en vigueur, l’État avait fait une avance de 60% des crédits et réductions d’impôts. Plusieurs millions de foyers avaient alors reçu un virement conséquent sur leur compte en banque; l’avance moyenne était de 627 euros.

    Le ministre de l’Action et des Comptes publics mettait alors en garde ceux qui auraient eu l’idée de dépenser totalement cet argent. Car il affirmait alors que certains devraient rendre l’argent, ou au moins une partie.

    Et ce moment est arrivé pour 1,7 million de foyers fiscaux. L’avis d’imposition que Bercy envoie ce mercredi 24 juillet (ou jeudi 25) contient en effet pour eux une demande de remboursement.

    Une bonne nouvelle pour 3,5 millions de foyers

    Il s’agit des personnes qui avaient un crédit d’impôt récurrent en 2017 (frais de garde d’enfants, investissement locatif, dons à des associations, emploi à domicile…), mais qui ne l’ont plus (ou n’ont pas donné autant) en 2018. En janvier, le fisc avait fait comme s’ils avaient continué d’avoir ce crédit, mais la déclaration de revenus remplie en avril a marqué l’arrêt de cette ristourne fiscale. Conséquence, l’avance versée en janvier doit être remboursée.

    En moyenne, cela fait 400 euros à rendre par foyer. Une somme à rembourser d’ici au 15 septembre, soit environ 600 millions d’euros dans les caisses de l’État.

    “Mais il y a plus de personnes qui vont toucher de l’argent que de foyers qui vont devoir en rendre”, assure-t-on à Bercy. Plus de 3,5 millions vont recevoir les 40% restant; ce sont 2,5 milliards d’euros qui vont ainsi être versés au milieu de l’été. Le versement devrait avoir lieu ce mercredi.

    Source : Huffingtonpost

    https://www.patriote.info/actualite/economie/impots-17-million-de-foyers-vont-devoir-rendre-de-largent/

  • NOTRE FEUILLETON ESTIVAL : UN ETE AVEC JACQUES BAINVILLE... ( 5)

    Aujourd'hui : 5. Réformer l'orthographe ?...

    Journal, Tome I (années 1901 à 1918), Plon, pages 37/38. Note du 20 juillet 1906. Somme toute, que reproche-t-on à l'orthographe usuelle ? D'être difficile à apprendre ? Que propose-t-on de lui substituer ? Une orthographe simplifiée et mise à la portée des instructions les plus négligées ? 
    C'est ici que réside ce qui n'est pas seulement une erreur mais une sottise. Qui ne voit aussitôt que, si l'on raisonne pour les paresseux ou pour les pauvres d'esprit, il n'y aura jamais de simplification suffisante ? 
    Il faut aller tout de suite à l'extrémité, et l'extrémité c'est l'orthographe phonétique, le droit donné à chacun d'écrire comme son oreille entend. Du moment qu'il y a une orthographe, elle sera toujours trop compliquée, il faudra toujours l'apprendre. 
    On voit mal où est l'avantage. Pour le voir, pour soutenir qu'il existe et que les simplifications proposées abrégeraient des études inutiles, il faut admettre que les enfants ont un mal considérable à retenir la figure de chaque mot. Les réformateurs proposent, par exemple, de terminer uniformément par les lettre èle tous les mots qui contiennent ce son. On écrira hirondèle, èle, quèle, èle, je me rappèle comme stèle et fidèle. 
    Vous souvenez-vous d'avoir eu la moindre peine à retenir qu'on devait mettre : hirondelle, aile, quelle, elle, rappelle ? Tel n'est pas mon cas. Et j'imagine qu'on apprendrait fort vite à ne pas confondre l'èle de l'oiseau avec èle, pronom personnel. Mais il faudrait l'apprendre encore, et je ne vois donc pas trop où est l'avantage, sinon de rendre obscure et lointaine l'origine du second mot et difficilement compréhensibles les dérivés (je ne sais en ce moment s'il en existe de très usuels, mais il y en a à coup sûr) où se retrouve la forme originale du latin ala.
    S'il s'agit d'apprendre pour apprendre, mieux vaut continuer d'enseigner ce qui est conforme à la fois aux habitudes et à l'étymologie. Aile, c'est ala, comme ellle c'est illa. S'il y a difficulté, au moins est-elle logique et permet-elle de se débrouiller, tant bien que mal, dans la forêt des mots savants. L'orthographe actuelle est, à y bien regarder, plus utile que nuisible aux personnes médiocrement instruites : son accord, même quelquefois un peu lâche, avec l'étymologie, ce sont les humanités du pauvre, c'est le latin des études primaires. L'orthographe compliquée est par là plus "démocratique" que l'orthographe simplifiée. 
    Il est surprenant que les réformateurs n'aient pas pensé à cela.

    Journal, Tome I (années 1901 à 1918), Plon, pages 37/38. Note du 20 juillet 1906.

    Tiré de notre Album "Maîtres et témoins"... (II) : Jacques Bainville" (186 photos)

    http://lafautearousseau.hautetfort.com/archive/2019/07/23/notre-feuilleton-estival-un-ete-avec-jacques-bainville-6165977.html

  • Immigration. Le groupe de Visegrád s’organise face au pacte « le plus dangereux du monde »

    bateau migrants.jpgDes États du groupe de Visegrád dont la Hongrie et la Pologne mais aussi l’Estonie ont uni leurs forces pour mettre en place un mécanisme d’alerte contre le Pacte mondial des Nations Unies sur la migration.
    Souvenez-vous l’été dernier. Le 13 juillet 2018, le Pacte sur la migration était entériné par 192 pays membres de l’ONU (Organisation des Nations unies) et devait ensuite être signé au mois de décembre à Marrakech.
    En désaccord, les États-Unis avaient alors refusé de se joindre au concert international. Dans la foulée, la Hongrie de Viktor Orbán s’était retirée de ce pacte le 18 juillet et faisait ainsi entendre une voix opposée à l’immigration extra-européenne sur le Vieux Continent.
    Si le texte ne contenait pas, à proprement parler, de contraintes juridiques pour les États le ratifiant, il alignait toutefois 23 objectifs conformes à l’idéologie immigrationniste. Comme le projet de faciliter une migration par des voies sûres et légales ainsi que l’accès à des documents d’identité pour tous les migrants.
    Pour rappel, 118 pays ont voté en faveur du document, cinq contre, avec 13 abstentions et 57 pays ne votant pas.
    La France à l'ONU
    @franceonu

    Le :

    ▶️ représente un instrument non-contraignant
    ▶️ encourage les Etats à gérer de manière coordonnée ce défi
    ▶️ ne crée pas nvelle politique migratoire, qui reste une prérogative de souveraineté nationale

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    Marrakech : le groupe de Visegrád s’organise
    Revenant sur le sujet, le ministre des Affaires étrangères Péter Szijjártó a déclaré à MTI (NDLR : Hungarian Telegraphic Office, une agence de presse hongroise) que les pro-migrants veulent faire du Pacte mondial des Nations Unies sur les migrations un instrument obligatoire.
    Il a également précisé que la Hongrie, les États-Unis, la Pologne et Israël avaient rejeté le document en décembre dernier et que l’Estonie s’était jointe à eux lors du vote le plus récent. Péter Szijjártó a aussi souligné l’unité et la force du groupe de Visegrád en rappelant qu’aucun des pays du V4 n’a soutenu la mise en œuvre du pacte, la République tchèque s’étant abstenue et la Slovaquie s’étant abstenue lors du vote le plus récent.
    « Le document le plus dangereux du monde en matière d’immigration »
    Le ministre hongrois des Affaires étrangères a affirmé que tout ce qui est approuvé par l’ONU devient partie intégrante du droit international et de la jurisprudence, soulignant la nécessité de lutter contre les « propositions pro-immigration ».
    Par ailleurs, Péter Szijjártó a déclaré qu’il était parvenu à un accord avec le ministre polonais des affaires étrangères et son homologue estonien sur la mise en place d’un mécanisme d’alerte permettant à leurs pays de « s’opposer à de telles propositions immigrationnistes dans leurs premières phases, que celles-ci soient élaborées à l’ONU ou à Bruxelles ».
    Une initiative qui se justifie par le fait qu’il considère le Pacte de Marrakech comme « le document le plus dangereux du monde en matière d’immigration », car il encourage l’immigration extra-européenne. Une lucidité qui n’est pas à l’ordre du jour en Europe de l’Ouest.
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  • Pourquoi ce silence médiatique sur le scandale sexuel en Italie ? Parce que cela touche le Parti Démocrate et des activistes LGBT ?

    Pourquoi ce silence médiatique sur le scandale sexuel en Italie ? Parce que cela touche le Parti Démocrate et des activistes LGBT ?

    De Xavier Eman dans Présent :

    Vous n’en avez entendu parler ni à la radio ni à la télévision, pourtant l’Italie est actuellement secouée par un scandale particulièrement grave et sordide. En effet, une trentaine de personnes, dont des médecins, des travailleurs sociaux et des politiciens du Parti démocrate (équivalent transalpin du Parti socialiste), ont été interpellées, soupçonnées d’avoir manipulé des enfants pour les soustraire à leurs parents et les vendre à des foyers d’accueil où certains auraient été abusés sexuellement.

    Ce sont les carabiniers de Reggio Emilia, dans le nord de l’Italie, qui ont mis au jour ces agissements criminels. Un véritable système de « traite d’enfants » mis en place notamment par certains services sociaux en lien avec des associations dites de « protection de l’enfance ». Les différents protagonistes utilisaient des prétextes mensongers ou fallacieux pour retirer des enfants à leur famille biologique et les « plaçaient » ensuite – moyennant rétribution bien sûr – auprès de certains de leurs « amis » et autres « connaissances ».

    C’est une augmentation anormale du nombre d’enfants « retirés » – souvent au prétexte d’agressions sexuelles inventées de toutes pièces – qui a alerté les autorités policières qui ont décidé d’ouvrir une enquête en août 2018. Celle-ci vient donc d’aboutir avec la mise au jour de ce véritable réseau criminel qui n’hésitait pas à falsifier des rapports d’assistantes sociales, à insérer des allusions sexuelles dans des dessins d’enfants, et même à fabriquer de faux souvenirs de maltraitance et d’abus divers au cours de véritables séances de « lavage de cerveau ».

    Les enfants manipulés, ainsi conduits à s’éloigner voir à détester leurs parents, étaient ensuite confiés à des « foyers d’accueil » (par exemple : un propriétaire de sex-shop ou encore l’ex-partenaire homosexuelle d’une des psychologues mises en cause…) où un certain nombre d’entre eux ont subi des agressions sexuelles, bien réelles cette fois. Deux cas de viol au moins ont déjà été établis. Cet ignoble système aurait rapporté des centaines de milliers d’euros à ses instigateurs.

    Au-delà des faits particulièrement atroces, c’est aussi le traitement médiatique de l’affaire qui choque de nombreux Italiens, ou plus exactement l’absence de traitement médiatique car c’est une véritable omerta qui entoure encore aujourd’hui ces faits. Ce silence gêné des « gros » médias s’explique par le profil des personnes impliquées : des élus du Parti démocrate – dont le maire de Bibbiano, Andrea Carletti –, des activistes LGBT, des thérapeutes et des membres du « monde associatif »… […]

    https://www.lesalonbeige.fr/pourquoi-ce-silence-mediatique-sur-le-scandale-sexuel-en-italie-parce-que-cela-touche-le-parti-democrate-et-des-activistes-lgbt/

  • Avec Bojo les affaires européennes reprennent

    6a00d8341c715453ef0240a471061c200c-320wi.jpgOn apprenait ce 26 juillet que le chef de l'État a invité Boris Johnson à une visite en France "dans les toutes prochaines semaines". Il s'est entretenu avec lui, en effet, pour la première fois au téléphone, depuis le fort de Brégançon, dans la soirée du 25 juillet.

    Il a, nous assure-t-on, "félicité Monsieur Johnson pour sa nomination" et il "s'est réjoui de leur coopération sur les sujets bilatéraux, européens et internationaux."

    On doit espérer que leurs entretiens à propos du Brexit demeureront, selon la formule utilisée par les services de la présidence de la république "dans le respect des exigences de l'Union européenne".

    Les deux hommes se rencontreront en France, de toute manière, dans le cadre du sommet du G7, qui se tiendra du 24 au 26 août à Biarritz. Or, on nous apprend aussi que les deux dirigeants sont convenus de s'entretenir à propos de la sortie de la Grande-Bretagne de l'Union Européenne.

    À cet égard, Amélie de Monchalin, secrétaire d'État aux Affaires européennes, a apporté une précision indispensable : "Nous avons envie de travailler avec Boris Johnson sur le Brexit", a-t-elle déclaré sur France 2[1]. En revanche, "nous ne renégocierons pas l'accord sur le Brexit", a-t-elle confirmé.

    Et cela me semble le point essentiel. Ni le gouvernement de Paris, ni aucun des 27 autres États-Membres, ne doivent insulter l'avenir des relations avec l'Angleterre. Or, revenir sur le résultat des 17 mois de travail sur l'accord, et plus encore négocier en ordre dispersé, risquerait de rouvrir une plaie redoutable : il ne faut surtout pas laisser penser à de possibles négociations bilatérales, cherchant à sauver, séparément, les exportations de vins de Bordeaux ou celles des voitures allemandes.

    L'erreur serait de prendre Boris Johnson pour un clown[2], ce qui fait partie de son jeu. Toute sa carrière a démontré un talent certain, notamment comme maire de Londres, et une redoutable habileté démagogique. Issu de l'oligarchie britannique conservatrice la plus représentative et la plus mondiale[3], sorti de Eton et d'Oxford, il exprime le monde de Coningsby et celui de Downton Abbey.

    Jeune collaborateur du Daily Telegraph il a travaillé comme correspondant à Bruxelles entre 1989 et 1994. Il n'y a probablement pas acquis la certitude d'une trop grande solidité des dirigeants européens… Quoi qu'il en soit, bluff ou pas, il a rapidement constitué un gouvernement de Brexiteurs durs.

    Avec ou sans un accord immédiat Bojo-UE, il faudra bien définir s'il quitte l'Union le 31 octobre, des relations futures en empêchant une vraie dérive.

    Et sa marche quasi triomphale de nouveau chef tory sur le 10 Downing Street, cette semaine, ne doit pas nous faire oublier les vrais dossiers auxquels l'Europe institutionnelle va se trouver confrontée, probablement sans lui à partir du 31 octobre.

    À terme nécessairement, l'Angleterre, comme l'ont fait d'autres pays européens extra-communautaires tels que la Norvège, la Suisse ou l'Islande, établir une relation, la plus étroite possible avec le Vieux Continent.

    On doit donc apprécier, dans cette optique, que la présidence de la république annonce une rencontre avec son Premier ministre.

    Mais on ne doit pas perdre de vue que depuis 3 ans, la majorité des Anglais ayant décidé de bâtir de nouvelles relations, il est temps d'aboutir.

    Les confins de l'Europe doivent aujourd'hui nous préoccuper autant que son indispensable axe central franco-allemand et ils appellent une protection : celle de l’Estonie face à la cybermenace des réseaux criminels de l'est ; l'Italie et toute l'Europe du sud face à la pression migratoire ; Chypre et la Grèce face aux pressions turques en mer Égée et en Méditerranée orientale ; la république d'Irlande aussi ; la Hongrie face aux routes balkaniques de l'immigration, etc.

    Et lorsqu'un navire britannique est en danger dans le détroit d'Ormuz, ce seront aussi tous les Européens qui devront toujours faire front.

    JG Malliarakis  
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    Apostilles

    [1] cf. son intervention à 9 h 08 le 26.7 dans l'émission Télématin.
    [2] cf. dans ce registre trompeur l'article publié dans Libération du le 22 juillet : "Boris Johnson, futur bouffon de la reine" par Sonia Delesalle-Stolper.
    [3] il compte même parmis ses ancêtres un des derniers représentants du libéralisme ottoman, liquidé par le kémalisme.

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