Dans la nuit du 9 au 10 septembre, Olivier Quenault a croisé le chemin d’une bande de voyous. Son corps nu et sans vie a été retrouvé au petit matin, dans les jardins de l’Hôtel de Ville de Rouen. Le visage mutilé, il aurait, selon le rapport médico-légal, été battu à mort –rampant pour tenter d’échapper à ses meurtriers.
L’un des suspects arrêtés par la Police judiciaire (PJ) a été relâché par le parquet en juin dernier. Or, l’impunité avec la délinquance accroît la fracture entre magistrats et policiers, selon l’avocat Laurent-Franck Liénard.
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