On se demande bien pourquoi. Tout simplement parce que la très grande majorité des meurtres d’enfants sont commis par des femmes...
Selon une étude de l’Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales (ONDRP), (…) 70 % des condamnations pour homicide sur mineur de moins de 15 ans sont des femmes…
En moyenne, au cours des dix dernières années, 57 mineurs âgés de moins de 15 ans ont été victimes d’homicides volontaires tous les ans. En 2015, 64 enfants dont l’âge est connu ont été victimes d’un meurtre, révèle une étude de l’ONDRP (Observatoire national de la délinquance et des réponses pénales), publiée ce mercredi (…)
L’étude souligne notamment que « les personnes condamnées pour homicide sur mineurs de moins de 15 ans sont majoritairement des femmes ». Sur les 325 condamnations prononcées entre 1996 et 2015, 227 l’ont été à l’encontre de femmes, soit dans environ 70 % des affaires. « Souvent, ce sont des mères qui tuent leur enfant », explique à 20 Minutes Christophe Soullez, directeur de l’ONDRP.
Les féministes tirent des conclusions erronées des meurtres entre conjoints (80% d’hommes responsables) en voulant imposer le terme “féminicide” et accusent les hommes (blancs et occidentaux de préférence) d’être des criminels en puissance par nature ce qui n’a aucun sens. Dans le cas des meurtres d’enfants, aucune raison sexiste mais des explications rationnelles comme souvent :
Comment expliquer que les mères soient davantage impliquées dans le meurtre de leur enfant que les pères ? « Les interactions entre la mère et son enfant, qu’elles soient bienveillantes ou malveillantes, sont traditionnellement plus importantes sur le plan quantitatif que celles qui existent entre lui et son père. C’est donc normal que cela se ressente sur le plan statistique », analyse Mickael Morlet-Rivelli, psychologue à Reims.
« Les mères sont plus souvent auteures de la mort volontaire de leur enfant de moins de un an, que les pères ou beaux-pères », précise la psycho-criminologue Michèle Agrapart-Delmas, dans son livre Femmes fatales*. (…)
Selon Michèle Agrapart-Delmas, « tous les milieux sont touchés mais l’isolement social et affectif jouerait un rôle ». Elle ajoute que « c’est parfois l’enfant “en trop”, celui qui a du retard, est un peu handicapé, celui qui est né d’une liaison adultère, qui va être le bouc émissaire d’une famille pathologique qui aura ainsi trouvé un mauvais objet, source de toutes les difficultés. C’est cet enfant qui sera tué par la mère».
Concernant les meurtres entre conjoints, la dernière étude date de 2016 et conclue :