Bernard Plouvier
Curieuse fin d’hiver que celle de l’An 2020. Grand Président Macron découvre les menus inconvénients de l’implantation de l’islam en France – bien élevé comme il l’est, il n’ose parler d’invasion !
En Italie, un courageux homme politique, le seul qui ait tenté de s’opposer à l’immigration-invasion, est sous le coup d’une procédure judiciaire déclenchée par cette activité de Protecteur de la Nation italienne contre les envahisseurs indésirables et probablement indésirés... mais, chi lo sa ?
Puisqu’aussi bien, en Italie comme en France, en Belgique, aux Pays-Bas ou partout ailleurs en Europe occidentale, aucun des « Démocrates » aux apparences du pouvoir n’a demandé son avis à la Nation quant à l’utilité d’importer massivement des non-Européens, majoritairement illettrés et sans la moindre qualification professionnelle, en une période de chômage massif !
Dans l’un ou l’autre cas, le français et l’italien (et l’on n’a même pas évoqué la succession de l’Oie grasse d’Outre-Rhin qui devrait prendre sa retraite après avoir importé massivement de l’inutilisable), tout est fait pour empêcher le triomphe électoral d’un chef populiste.
On comprend bien que les vrais puissants qui tirent les ficelles de nos pantins ne tiennent pas à voir se multiplier les Trump et Poutine, mais à trop ouvertement se moquer du Bon Peuple, les financiers, négociants, esclavagistes d’Asie et manipulateurs des media risquent fort de se retrouver avec quelques révolutions bien sanglantes et très destructrices.
Depuis deux ans, les Gilets Jaunes de France se sont manifestés pour des raisons fiscales absurdes. Le seul problème français n’est nullement l’excès (réel) d’impôts et de taxes, mais la mauvaise utilisation qui en est faite. Utiliser le Bien Commun pour stimuler une immigration inutile et parasitaire est pure ignominie. Elle ne sert que les intérêts de la distribution de masse, grâce à de multiples subventions aux ZZ (les Z’honorables Z’immigrés, que pourtant nul Français n’a demandé à recevoir), qui leur permettent de consommer sans travailler.
On comprend que, terrorisé par des élections de mi-mandat, Grand Président Macron change de discours en un virage que seul jusqu’à présent dans l’histoire contemporaine un « Staline » avait osé prendre : un virage politique à 180 degrés. Voilà, d’un coup, GPM décidé à « comprendre le petit peuple de France ». Au moins, pour une fois, au lieu de faire grincer des dents, Jeunot Ier fait rire.
On sait bien que les Français sont majoritairement des « veaux » (appellation gaullienne certifiée d’origine), mais la ficelle électorale est un peu grosse. Après cette couleuvre, GPM voudra nous faire croire – pour assurer sa réélection au Palais – qu’il n’est pas le Président des riches !
Il est temps d’arrêter les sottises. Il faut rétablir l’harmonie entre la réalité des faits et les institutions. Il est nécessaire d’en revenir à la Démocratie : Égalité de tous les citoyens devant la Loi, totale Liberté d’expression (sauf calomnie et pornographie), Referendum obligatoire sur tous les grands sujets de société – immigration extra-européenne, stricte séparation des cultes et de l’État (et non plus un financement occulte de l’islam), lutte forcenée contre la corruption politique et administrative, interdiction des sectes maçonniques qui gangrènent l’État, interdiction du financement étranger des partis politiques et des syndicats, peine de mort, avortement de complaisance, durée légale du travail (un « âge de retraite » est en soi une absurdité... qui témoigne de l’amateurisme de Macron and Co), protection de l’agriculture, de l’industrie et du commerce français et, si besoin, le droit de dire... bien des choses aux clowns de Bruxelles.
De tout cela, c’est à la Nation de décider et non aux pitres, politiciens professionnels au casier judiciaire pas toujours vierge, mais à l’expérience professionnelle nulle ou fort mince.
Au total, il faut rendre l’État à la Nation... sinon, l’on risque une véritable explosion et non des manifestations de rues, qui peuvent paraître effrayantes à de gentils cadres dynamiques qui ne sont jamais sortis de leurs beaux quartiers, mais qui ne sont rien à côté des excès de toute Révolution.