Dieu se rit des hommes qui déplorent les conséquences dont ils chérissent les causes (Bossuet).
Nous vivons l'époque de la hideuse Sainte Alliance de la Révolution et du Fric (ce que l'Action française appelait "la fortune anonyme et vagabonde"). L'une comme l'autre unies dans la volonté acharnée de noyer la France (et l'Europe) sous le flot incessant de l'immigration invasion :
- les révolutionnaires pour briser les dernières résistances qui s'opposent à leurs chimères universalistes, et qui sont culturelles, nationales, identitaires; celles qu'opposent à une utopie mondialiste révolutionnaire les anciens peuples/nations historiques de l'Europe chrétienne, ancrés dans une Histoire bi-millénaire, et partageant un socle commun de valeurs gréco-romaines et judéo-chrétiennes...
- les serviteurs de l'Argent (devenu Roi par la Révolution française et la république idéologique qui en est issue) afin de se payer une armée d'esclaves - selon le mot de Jean Raspail - et d'augmenter ainsi encore plus, toujours plus, leurs profits immédiats...
Les uns comme les autres ont cru trouver, essentiellement, ce qu'ils cherchaient avec les populations d'Afrique du Nord et subsaharienne, pas toujours mais très souvent musulmanes. Ils manifestent en cela une incompréhension immense du fait religieux - en général - et - en particulier - une tragique inconscience de ce qu'est en réalité l'Islam.
Or l'Islam est une religion conquérante, qui s'impose comme obligation que le monde entier soit musulman.
Si le chef du Système républicain idéologique né de la Révolution française, qui a voulu et mené l'immigration/invasion de la France, prétend s'opposer au séparatisme d'une religion qui induit le Totalitarisme, alors qu'il refuse dans le même temps de dénoncer le danger de cette religion, il est tout simplement en contradiction avec la politique menée par ce Système, qu'il préside !...
Car c'est ce Système, "son" Système, celui dont il est le chef actuel, qui a voulu, organisé, imposé l'arrivée de ces populations nouvelles sur notre sol, qui aujourd'hui veulent se "séparer" car l'Islam - comme le rappelle Gérard Leclerc - "c’est un tout culturel, social, politique tout autant que religieux".
Le Système ne s'en est pas rendu compte avant; ou n'a pas voulu s'en rendre compte; ou a cru naïvement que ce "tout" serait absorbé et digéré par ses "vieilles lumières" (l'expression est du socialiste Hubert Védrine, qui ferait un excellent Ministre des Affaires étrangères... du Roi de France !).
Maintenant, il est trop tard. Le mal est fait, et il est sans remède(s); ou "irrémédiable", comme on voudra.
La seule question est : qui aura, prendra ou gardera le pouvoir sur l'ensemble des terres de ce qui constitue encore, aujourd'hui, notre douce France ?
PS : les prières de rue sont interdites en Algérie, Tunisie et dans de nombreux pays musulmans...
lafautearousseau