L’Amérique s’est bien sûr lancée dans le traçage, comme l’Europe. Ceux qui sont testés positifs au COVID-19 sont tenus de partager les noms de toutes les personnes avec lesquelles ils ont récemment été en contact, afin que ces personnes puissent être informées de leur exposition au virus. Ça c’est pour la version officielle.
Cela permet aux organisations chargées du traçage et aux États d’accumuler une énorme base de données sur les personnes, rassemblant des informations privées sur la santé, la famille, les amis, les déplacements et le mode de vie des individus.
Partners in Health, organisme mondialiste chargé du traçage des malades du Covid-19
Partners in Health (PIH), un organisme du Massachusetts cofondé par le mondialiste Paul Farmer, coprésident du conseil d’administration de PIH, tient un rôle important dans le traçage aux Etats-Unis. Notons que cet organisme est présent dans le monde entier.
Paul Farmer et le PIH épousent ouvertement une vision mondialiste du monde.
L’ancienne directrice du Département de la santé de l’Ohio, Amy Acton, qui a démissionné le 3 juin 2020 et le gouverneur de l’Ohio Mike DeWine avaient déjà engagé Partners in Health pour gérer le programme de traçage à l’échelle de leur État.
Le gouverneur de l’Ohio, Mike DeWine, qui entretient des liens étroits avec Haïti, y avait emmené Amy Acton et l’y fit rencontrer Paul Farmer pour la première fois. Notez qu’en Haïti, la Clinton Global Initiative (CGI), un programme de la Fondation Clinton, est étroitement liée à PIH. En fait, les deux organisations partagent un membre du conseil d’administration commun : Chelsea Clinton, fille de Bill et Hillary Clinton. La Clinton Global Initiative est également associée avec Paul Farmer et PIH au Rwanda.
La Fondation Clinton a par ailleurs produit une série de vidéos avec des interviews liées à la pandémie de coronavirus, mettant en vedette l’ancien président Bill Clinton. Lors d’une interview entre Clinton et le gouverneur de Californie Gavin Newsom, réalisée le 23 avril 2020, Clinton mentionne son ami, Paul Farmer, et Partners in Health.
“Le Massachusetts a récemment annoncé qu’il allait essayer de créer un programme de suivi à l’échelle de l’État et ils ont demandé à Partners in Health de l’exécuter pour eux, et ils sont l’un de mes partenaires dans le travail que nous avons fait en Afrique, en Haïti et dans d’autres endroits.”
Cette mention par Bill Clinton de son travail en Haïti, fait en collaboration avec Paul Farmer et Partners in Health – qui a également travaillé avec le gouverneur DeWine en Haïti – n’est pas anecdotique.
En janvier 2010, alors qu’Hillary Clinton était secrétaire d’État sous le président Barack Obama, un violent séisme a frappé Haïti, faisant près de 300 000 morts et de nombreux dégâts. Il a été largement rapporté que la Fondation Clinton a bénéficié à cette occasion d’un système de rémunération très particulier : Hillary Clinton dirigeait des millions d’aide vers les entreprises et les organisations, qui reversaient ensuite une partie de cet argent à la Fondation Clinton.
Derrière le traçage par Partners in Health, Bill Gates et George Soros
Le 13 mai 2020, PIH a lancé une nouvelle «unité» avec le nom à consonance officielle « US Public Health Accompaniment Unit » (USPHAU). Son objectif est de gérer le traçage des contrats aux États-Unis. Il fournit de petites équipes, qui sont intégrées dans les départements de la santé pendant trois mois, pour aider à établir un programme de traçage des contacts à l’échelle de l’État et à mettre en place des systèmes de surveillance informatique à long terme.
PIH a déjà passé des contrats avec plusieurs États pour assurer le suivi des contacts, notamment le Massachusetts, le New Jersey, l’Ohio et la Caroline du Nord . Il agit à titre consultatif dans les États de Californie, du Minnesota, du Maryland, de la nation Navaho et de la ville de Boston.
Partners in Health n’est pourtant pas un organisme neutre mais défend activement l’avortement et critique publiquement Donald Trump. Mais un examen plus attentif de ses contributeurs financiers et organisations «partenaires» est encore plus révélateur de son programme de mortifère.
Partners in Health est financé par une liste de partisans du mondialisme et du dépeuplement, dont la Fondation Bill & Melinda Gates, l’Open Society Foundation de George Soros et la Fondation John D. et Catherine T. MacArthur.
Microsoft, Facebook, Apple, Google, Bank of America et la Banque mondiale figurent sur la longue liste des partenaires financiers mondialistes répertoriés sur le site Web de PIH.
Le PIH est également fortement financé par des multinationales pharmaceutiques.
Que font les traceurs de contact ?
Lorsqu’une personne est testée positive au coronavirus, cette personne est affectée à un traceur contractuel. Si possible, il est souhaitable que la personne infectée soit isolée à la maison tant que cela peut être fait sans aucun contact avec d’autres membres de la famille et les animaux de compagnie. Si cela ne peut être fait, d’autres logements pourraient être nécessaires. Ceci est censé être volontaire, mais Centers for Disease Control précise: “Cependant, les services de santé ont le pouvoir d’émettre des ordonnances de quarantaine légales, si la situation justifie cette mesure.”
Selon cette vidéo, afin de garantir que la maison est capable d’isoler une personne malade, une vidéo de téléphone portable de la maison peut être réclamée par l’organisme de traçage.
Le traceur de contact devra alors connaître toutes les personnes avec lesquelles la personne infectée a récemment été en contact. Des informations supplémentaires seront collectées sur ces personnes et il leur sera demandé de s’auto-mettre en quarantaine pendant 14 jours.
Les traceurs contractuels sont censés connecter les individus aux services sociaux, donc si personne seule avec des enfants doit se mettre en quarantaine, et qu’elle n’a personne pour s’occuper de ses enfants, les services sociaux peuvent retirer les enfants du foyer.
Toutes les informations sur toute personne infectée ou exposée sont conservées dans une base de données, mise en place par PIH ou une autre entité similaire.
Même si la nécessité de protéger la vie privée est soulignée par plusieurs Etats, ce système est mûr pour les abus.