Le professeur de lycée (photo) a été décapité pour avoir montré des caricatures de Mahomet à ses élèves, lors dans d’un débat sur la liberté d’expression. Si le professeur d’histoire avait permis aux élèves gênés de quitter la pièce, son débat sur la liberté d’expression a provoqué la colère des plusieurs parents d’élèves de familles musulmanes.
Après des jours de crispations entre l’établissement et la famille, une note précisait lundi que la tension semblait être retombée mais insistait sur le profil d’un homme – qui n’avait pas d’enfant scolarisé dans l’établissement – particulièrement énervé. Le professeur se savait menacé de mort sur les réseaux sociaux. Accusé d’islamophobie par des parents en colère, il a été assassiné comme si une fatwa avait réclamé son exécution. Victime de pressions de la part de certains parents d’élèves, il était en effet devenu une cible. La responsabilité morale et juridique de ces parents musulmans doit être engagée. Le terrorisme n’est que la partie émergée de l’iceberg.