18/06/2023
Prochainement renvoyé devant une cour d’Assises pour répondre de 17 viols et agressions sexuelles – qu’il conteste – Salim B. a été repéré par des lanceurs d’alerte à Marseille où il a donné plusieurs rendez-vous via l’application de rencontres qui aurait été utilisée pour piéger ses premières victimes…
Sur les réseaux sociaux où ses photos de profil sont sous-titrées de messages d’avertissements, assorties de récits glaçants de ses crimes supposés, il a été tagué d’une expression qui semble tout droit sortie d’une série Netflix : “Le violeur de Tinder”, du nom de l’application de rencontres la plus populaire au monde. C’est l’un des réseaux sociaux sur lesquels Salim B., 37 ans, est accusé d’avoir tissé sa toile pendant des années afin de piéger dix-sept jeunes femmes qu’il aurait ensuite violées ou agressées sexuellement, parfois après leur avoir administré des substances chimiques. “Et encore, c’est un chiffre minimal.”