Lors de cette manifestation, l'avocat Pierre Gentillet a pris la parole, déplorant « des gens qui viennent » et dont « on ne peut pas contrôler le profil ».
À proximité de ce rassemblement, quelques dizaines de militants avaient organisé une contre manifestation avec pour mot d’ordre « contre le racisme et le fascisme, notre arme et la solidarité ». Le maire de la commune, de son côté, dénonce une récupération et se dit « horrifié » de voir des banderoles avec pour slogan « Justice pour Matisse ». Pour l'édile, « de toute façon, le CADA ce n'est plus le sujet. Le bâtiment est vendu, les travaux vont commencer, on est fermes et déterminés »,