J’accuse les ONG prétendues humanitaires, de complicité de trafics d’êtres humains.
1 milliard d’euros pour les associations pro-migrants ; ce n’est plus de l’humanisme mais du business ! Cessons de les entretenir avec nos impôts.
Combien étions-nous parmi les lanceurs d’alertes et autres « complotistes », à avoir un avis « plutôt mitigé » sur le nouveau pantin déniché par Macron pour continuer son processus « d’envie d’emmerder les Français ! » et pas seulement les non-vaccinés annoncés pendant le Covid, mais bien tous ceux qui pensent (et donc votent) mal ?
Pourtant, faisant « contre mauvaise fortune, bon cœur » comme dit l’adage populaire, nous étions prêts à donner quelque crédit d’abord à ses premières paroles se voulant guerrières (bien que si mollassonnes dans le ton !) puis à ses ministres, si laborieusement nommés, dont au moins un semblait avoir les mots qu’il faut pour désigner l’état calamiteux, pour ne pas dire tragique, et bien réel de la France.
Dans cet état d’esprit, je m’appliquais à condamner les annonces de la gauche putride, décidée à « faire barrage » cette fois-ci systématiquement contre toute annonce du Premier ministre, puisque leur candidate chérie n’avait même pas été autorisée à « concourir » malgré tout leur cirque habituel, tant dans la rue qu’à l’Assemblée.
Sauf que devant les toutes récentes (je n’ose écrire « dernières » tant je reste persuadée qu’il y en aura d’autres !) déclarations « musclées » de ces matamores d’opérettes, très vite suivies d’un triste et lamentable « couchage général » devant l’extrême difficulté de « ce qu’il conviendrait urgemment de faire », je ne vois plus qu’une solution pour vraiment « renverser la table » avec tous ceux qui y sont attablés depuis si longtemps : pousser Macron à agiter enfin le chiffon blanc, car devant une énorme vindicte publique générale, dans nos rues et sous les fenêtres, des vrais responsables du chaos… même ses amis européistes et sponsors mondialistes ne pourront (ou ne voudront) plus le soutenir.
Car, pour les agités perpétuels tels les trublions du « Nouveau Front Parasite » allié à « La France Islamisée », ne connaissant que la violence, comme pour les patriotes écœurés de tant de félonie, c’est finalement encore et toujours la même recette amère et indigeste qu’ils veulent nous servir : augmentations tous azimuts [y compris les impôts pour les « nantis » gagnant 2500 euros (*)], nouvelles taxes, report des mini hausses de retraites annoncées… bref, l’habituelle armada des saignées du contribuable lambda, tout en omettant toujours de se pencher sur les véritables tonneaux des Danaïdes, dûment tus aux citoyens-cochons-de-payants, pour le maintien du confort de certains élus.
https://www.lalanguefrancaise.com/expressions/tonneau-des-danaides
(*) se souvenir que si les députés sont imposables sur les trois indemnités qu’ils perçoivent, l’avance de frais de mandat, l’une des cagnottes dont ils disposent, n’est pas soumise à l’impôt. Pour quelle raison ???
Selon l’article 80 du Code général des impôts, les trois volets de l’indemnité touchée par les parlementaires sont imposables à l’impôt sur le revenu, à savoir l’indemnité parlementaire de base (5679,71 euros net), l’indemnité de résidence (168,7 euros), et l’indemnité de fonction (1447,98 euros).
Par ailleurs, les députés bénéficient d’une cagnotte qui n’est pas imposable : l’avance de frais de mandat, anciennement appelée indemnité représentative de frais de mandat des parlementaires (IRFM), qu’Emmanuel Macron avait promis de fiscaliser lorsqu’il a été élu en 2017, un projet ensuite enterré. Cette enveloppe, qui monte à 5373 euros par mois, sert à financer un panel de dépenses, comme “la location de la permanence parlementaire, les frais de formation et de documentation, les frais de réception et de représentation ou les frais de repas dans l’exercice du mandat parlementaire”, liste le site de l’Assemblée.
Convenons-en : les vrais, honnêtes et sincères, véritablement soucieux de l’intérêt du peuple, sont ceux qui malheureusement n’ont pas été élus ou en si petit nombre que très vite noyés dans la masse des impuissants… les autres, incluant le RN (pour qui j’ai voté en second tour) ne tiennent compte que de leurs rentes financières, en s’accrochant à la ligne générale du foutage-de-gueule perpétuel des « boni-menteurs » patentés !
Je suis donc prête à parier que si un Zemmour, un Dupont-Aignan, un Philippot… ou quelque autre vrai patriote avait été élu en 2022 en lieu et place du parasite Macron (et annexes), une des mesures phares, précisée ou non dans leurs programmes respectifs, aurait été de commencer par annuler toutes les subventions versées à des associations prétendues humanitaires… jusqu’ici sans véritable contrôle, puisque appartenant au « camp du bien » (aux autres avant les nôtres).
Car si l’on veut s’intéresser de près au domaine de l’associatif et plus précisément à son financement, il y a des mannes de dilapidations de subventions, absolument scandaleuses parce qu’injustes, et jamais vérifiées ; lesquelles, supprimées pourraient être utilisées pour soulager les contribuables des incessantes ponctions, et d’une manière générale les citoyens honnêtes et travailleurs, jusqu’ici pressurisés par les politicards se substituant à un Etat vertueux, pour spolier le peuple de son rôle et de ses droits, chaque fois que la situation financière du pays s’aggrave, c’est-à-dire perpétuellement.
Penchons-nous quelques instants sur un certain nombre de chiffres, très révélateurs de la gabegie actuelle, réalisée par des crétins déguisés en spécialistes… tel le personnage ciblé ci-après sur les réseaux sociaux, que vous reconnaitrez sans peine :
Si vous avez 50 € de découvert à la banque, vous payez des agios.
Si vous avez 3 000 milliards de découvert sur les marchés…
Vous partez enseigner en Suisse.
Alors, ça vous parle ? Non : réponse en fin de texte !
1,5 million d’associations, dont 60 000 dans l’humanitaire.
2,2 millions d’emplois salariés dont 1,5 million à temps complet.
Question : combien de « bons à rien » (mais souvent prêts à tout », comme disait Coluche) deviennent ainsi des fonctionnaires de l’associatif, payés par nos impôts ?
En attendant, dans un contexte où précisément « on » demande une nouvelle fois au Français lambda de faire des économies, c’est-à-dire de reculer sa ceinture encore d’un ou plusieurs crans… pendant qu’une exceptionnelle ponction sur les salaires, indemnités, avantages en nature… cumulés par les crevards qui nous gouvernent « à vue », n’est jamais envisagée ; il est bon de souligner un texte d’Agnès Verdier-Molinié, directrice de la Fondation IFRAP en septembre 2023 sur le sujet :
23 milliards d’euros de subventions aux associations par an ! Plus de deux fois le budget de la justice. Les associations sont très largement financées en France par l’argent public… mais personne ne s’intéresse à cette dépense, les contrôles sont quasi inexistants…
Exemple probant relevé par l’IFRAP :
Le cas du Forum des images à Paris, association pour laquelle il n’y a pas de comptes disponibles. Seule une enquête de l’Inspection générale estimait le budget de l’association à 8,7 millions d’euros en 2009 et on sait qu’en 2020, la mairie de Paris lui a octroyé 7,3 millions d’euros de subventions. De maigres informations par rapport aux montants en jeu.
Depuis 30 ans, ce lieu hybride, a perçu près de 200 millions d’euros de subventions pour recevoir 300 000 visiteurs par an (principalement des scolaires) avec 80 employés gérant 5 salles de projections et un fond d’archives des films ayant Paris comme fond et/ou sujet (9 000 films numérisés mais uniquement consultables sur place) et une école du numérique.
En 2018, la ville de Paris se serait interrogée sur le bien-fondé du maintien du Forum des images mais sans trancher. Et ce alors qu’à quelques mètres à peine, ce trouve le complexe UGC des Halles qui, en 2022, était le cinéma les plus fréquenté du monde avec 152 millions de visiteurs.
[…] Mais qui se soucie vraiment de contrôler comment sont utilisés ces 23 milliards d’euros de subventions publiques annuelles aux associations ? A part quand un scandale arrive dans l’actualité, personne.
Dans cette « bouteille à l’encre » des subventions publiques, il y a lieu de s’intéresser de très près au volet de celles versées aux associations dites humanitaires, telle par exemple SOS Méditerranée, qui a reçu notamment 100.000 euros du conseil régional d’Aquitaine !
https://www.lalanguefrancaise.com/dictionnaire/definition/bouteille-a-l-encre
Il faut bien savoir que ces ordures qui se planquent derrière une façade humaniste n’ont en réalité absolument rien d’humain puisqu’avec ce fric ils s’organisent pour arracher à leur milieu naturel les miséreux du monde, essentiellement d’Afrique, pour les déverser en Europe, via la France, l’Espagne et l’Italie… leur promettant la lune, via « tout ce auquel ils ont droit » sans se préoccuper de leur préciser les devoirs qu’ils ont en retour, envers les peuples des accueillants.
Peu leur importe que parmi de vrais innocents fuyant réellement leur pays, ils nous déposent de vrais meurtriers, puisque d’une part cela leur rapporte gros et que d’autre part ils se rangent parmi le camp du bien : celui qui crache sans vergogne sur ceux qui les paient, traités en retour de racistes s’ils n’accueillent pas leurs envahisseurs violents, sans éducation et sans la moindre reconnaissance, avec le sourire.
Je veux que non seulement ces saloperies de fausses associations humanitaires, qui se livrent aux trafics d’êtres humains, ne touchent plus un seul euro de subvention… mais tombant sous le coup de la loi, qu’ils soient poursuivis et incarcérés rapidement.
https://www.legifrance.gouv.fr/codes/section_lc/LEGITEXT000006070719/LEGISCTA000006165299/
Josiane Filio, au nom de la Liberté d’expression
Réponse : Bulot Le Maire, l’homme qui après avoir coulé l’économie française (déjà bien entamée à son arrivée) ira enrichir la Suisse de ses bons conseils… Le mien : tous aux abris !
