Ce samedi, dans les rues de Londres, plus de 50.000 patriotes anglais, pour la plupart des familles des classes populaires, manifestaient, à l’appel de Tommy Robinson, pour mettre fin à l’invasion migratoire du pays et aux violences et meurtres qui vont avec, comme l’ont montré les meurtre de trois fillettes à Southport. Quelle a été la réponse des travaillistes à ce drame qui a suscité de légitimes émeutes, dans un contexte où pendant des années, l’Etat anglais a abandonné des enfants victimes des gangs pakistanais ? Elle a emprisonné des centaines de manifestants, libérant des voyous et des islamistes pour faire de la place dans les prisons. L’un d’entre eux, Peter Lynch, 61 ans, est mort en prison. Encore mieux, le gouvernement travailliste a fait arrêter Tommy Robinson, l’accusant de terrorisme, rien de moins, à quelques heures de la grande manifestation de Londres, à laquelle participait notre ami Éric Mauvoisin, président du Rassemblement Vendéen, qui fut invité à prendre la parole.
Tommy sera jugé ce lundi, et risque de se retrouver à nouveau en prison, où il a déjà failli laisser sa vie, agressé qu’il fut par des musulmans, avec la complicité de la direction de l’établissement pénitentiaire. Pendant ce temps, ce lundi, la gauche anglaise était elle aussi dans la rue, avec les islamistes, pour manifester contre le peuple. Le petit nazillon Raphaël Arnault, aujourd’hui député LFI, avait fait le déplacement pour insulter les manifestants anglais, la plupart du temps des familles modestes venues dire qu’elles voulaient vivre en sécurité et souhaitaient qu’on arrête l’immigration pour mieux protéger leurs enfants. Dans la bouche du nervi gauchiste, président de la milice lyonnaise « La Jeune Garde », ces milliers de braves gens étaient des hordes fascistes, rien de moins. S’il était au pouvoir, cette racaille n’hésiterait pas à faire tirer sur le peuple et à utiliser ses complices musulmans pour agresser les patriotes.
Pendant ce temps-là, en Israël, un an après le pogrom du 7 octobre 2023, Benjamin Netanyahou et son gouvernement ont décidé d’en finir une bonne fois pour toutes avec les terroristes islamistes qui multiplient les crimes gratuits, les attentats et les roquettes, que cela vienne de Gaza avec le Hamas ou du sud Liban avec le Hezbollah. Tout le monde sait que ces terroristes stockent leurs armes dans les centaines de kilomètres de tunnels qu’ils ont creusés, au lieu de développer leur pays ou leur région. C’est pour l’État hébreu une question de vie ou de mort, et, comme le disent Éric Zemmour ou Benjamin Netanyahou, c’est un conflit civilisationnel qui oppose nos démocraties occidentales aux terroristes islamistes. Or, depuis un an, tous les jours, l’ensemble de la gauche, dont des collabos juifs, insulte le gouvernement israélien, et utilise à son encontre, outre le terme classique d’extrême droite, des termes comme « génocide », « crimes contre l’humanité », « apartheid », affirmant que les soldats de Tsahal seraient des tortionnaires qui s’amusent à tuer des femmes et des enfants. La gauche – mais hélas aussi quelques pans de la famille patriotique – reproche au gouvernement israélien de refuser de se laisser agresser plus longtemps, et de protéger son peuple contre des groupes ou des États qui souhaitent la destruction de l’État d’Israël et l’extermination de tous les juifs. Alors que la jeunesse israélienne, hommes et femmes, est engagée par Tsahal pour défendre leur pays, leurs anciens et leurs familles, il se trouve des Thomas Portes, des David Guiraud, des Ersilia Soudais et toute une cohorte d’antisémites, déguisés en antisionistes, qui les insulte chaque jour, comme s’ils préféraient les juifs soumis et couchés, prêts à devenir des dhimmis de leurs complices musulmans.
En Hongrie, Viktor Orban est la cible de tous les européistes et de toute la gauche qui l’a insulté, sifflé et calomnié au Parlement européen. Que reprochent-ils exactement au Premier ministre hongrois ? D’abord, il refuse l’immigration africaine que l’Union européenne veut imposer à l’ensemble des pays qui la composent, expliquant que son peuple est d’origine chrétienne et blanche, et qu’il entend préserver ses racines et son mode de vie ainsi que sa sécurité. Crime encore plus impardonnable, il est le seul chef d’État européen à avoir organisé un référendum sur cette question, qu’il a bien sûr gagné haut la main. Autre reproche fait à Orban, il n’est pas ennemi de Poutine, mais a une attitude gaullienne, consistant à garder le contact avec lui et à ne pas souffler sur les braises. Encore plus grave, chez Viktor, les wokistes ne font pas la loi, et les LGBT ne peuvent pas aller faire leur propagande dans les écoles. Et enfin, il ne laisse pas Soros pourrir les universités hongroises, et les mondialistes manipuler les masses en ayant l’ensemble des moyens d’information à leur disposition. La gauche ne pardonne donc pas à Orban de défendre la souveraineté de son pays, et encore moins aux Hongrois de l’avoir déjà élu à quatre reprises. Elle réclame toujours plus de sanctions contre ce pays afin de mettre le peuple à genou et de pouvoir imposer un autre dirigeant.
Bien évidemment, cette gauche est l’ennemie déclarée de la Russie de Poutine – hélas avec beaucoup trop de partis patriotes – et reproche à Vladimir d’en avoir eu assez de voir les habitants du Donbass se faire bombarder par le régime ukrainien, et les bases de l’Otan se rapprocher de plus en plus de la frontière russe. Selon leur logique, les États-Unis avaient raison de refuser les missiles russes à Cuba, mais les Américains et leurs alliés auraient le droit de cerner la Russie avec des bases militaires de plus en plus menaçantes. Donc, cette gauche, historiquement dans le camp de la Paix – surtout quand cela profitait aux communistes – se retrouve aujourd’hui à jouer les va-t-en-guerre avec les démocrates américains, leurs alliés, contre un pays, la Russie, qui refuse la décadence occidentale, et veut conserver sa souveraineté et son mode de vie.
Enfin, dans huit jours à présent, on saura si, malgré les fraudes de masse organisées par les démocrates, le formidable Donald Trump, qu’ils ont essayé d’assassiner à deux reprises et contre lequel ils lancent quotidiennement de véritables appels au meurtre, va reconquérir une présidence qui lui a été volée en 2020. Rarement un président n’a été autant calomnié, aux USA, mais aussi dans le monde entier par la presse et les partis politiques de gauche, mais aussi de la droite molle. Et pourtant, le candidat républicain incarne l’Amérique profonde, avec une vision nouvelle, qui refuse d’être le gendarme du monde. Donald refuse l’invasion migratoire, il combat le wokisme et toutes les lubies de la gauche américaine passée sous la domination de l’extrême gauche, comme en France, d’ailleurs. Il veut que son peuple ait du travail, vive en sécurité, refuse la dictature sanitaire des lobbies médicaux, et paraît prêt, cette fois, à en finir avec un État profond qui lui a pourri ses quatre années de mandat, malgré des résultats économiques exceptionnels. La gauche mondialiste combat bien sûr de toutes ses forces celui qui veut maintenir des frontières et qui défend un protectionniste économique, tournant le dos à la vision libre-échangiste voulue par les grands de ce monde.
En France, cette gauche montre toujours plus son visage totalitaire, violent et agressif, voulant interdire à la mouvance patriote toute existence et toute expression. Ils veulent faire interdire l’ensemble du groupe de presse de Vincent Bolloré, s’opposer à toute initiative du Rassemblement national ou de Reconquête, intimider toute municipalité qui aurait l’audace de leur accorder une salle, et n’hésitent pas à agresser physiquement tout opposant qui leur déplait. Bien évidemment, ils imposent l’islamisation de la France et l’invasion migratoire à nos compatriotes, même si la majorité du peuple y est hostile, et sont les miliciens du Nouvel Ordre Mondial alors qu’ils jouent les révolutionnaires – de salon – avec de beaux discours anticapitalistes.
Par un spectaculaire retour de manivelle, la gauche qualifiait hier les fascistes d’ennemis du peuple et d’armée de réserve du grand capital.
Si on suit cette définition, la gauche est devenue l’ennemie du peuple et la milice des mondialistes.
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