Trump à peine élu et pas encore à la maison Blanche, on peut pourtant déjà entrevoir les conditions de l’arrêt de la guerre en Ukraine, c’était quelque chose qui était inconcevable !
C’est ainsi que commence Thierry Breton ancien mamamouchi européen et camarade commissaire politique à la grosse Commission.
Puis il va encore plus loin en expliquant…
“Et je peux vous le dire dans les couloirs de la Commission Européenne on n’avait absolument aucun droit de parole.”
Voilà la grande démocratie européenne en action.
Lorsqu’une institution décide de la guerre ou de la paix, alors elle prend la réelle souveraineté populaire et démocratique.
Aucun peuple de l’Union Européenne n’a voté ni élu Ursula von der Leyen sur un programme guerrier.
Personne.
Nous avons donc objectivement un immense problème démocratique avec les institutions européennes actuelles, quand bien même vous considérez que faire la guerre à la Russie est l’idée du siècle et qu’aller occuper Moscou est une stratégie brillante. 500 000 morts ukrainiens plus tard, et l’Europe ruinée sur l’autel de la crise énergétique il serait peut-être temps d’avoir le courage de parler des… conditions de la paix.
Charles SANNAT
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