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Les écolo-activistes sont des alliés objectifs des islamo-terroristes

Autant la ripoublique sait se montrer cruelle en éborgnant et mutilant des braves gens qui manifestent pacifiquement pour une amélioration de leur cadre de vie… autant la ripoublique sait être intraitable en ruinant et condamnant à de la prison des dissidents qui récusent les diktats de la pensée unique, mondialisme, réchauffisme, faux vaccins, immigration… autant la ripoublique ferme les yeux et oublie les innombrables délits de droit commun commis au nom de l’écologie.

Les médias main stream approuvent et encouragent l’écolo-terrorisme, les juges le tolèrent

Leur argumentaire est que, même si les activistes de l’anti-pollution, du climat ou des énergies dites renouvelables sont des voyous violents, irrationnels et sectaires, c’est pour une bonne cause : sauver la planète.

Tiendraient-ils le même raisonnement si des nationalistes exacerbés tabassaient les néo-Français en kamis et burqa, dévastaient leurs kebabs et incendiaient leurs mosquées, au prétexte d’une juste cause : sauver la France de la domination islamique ?

Le terrorisme écolo qui attire les casseurs est, à la base, une réaction de dépit et de frustration d’énergumènes messianiques, convaincus de détenir une Vérité qu’ils veulent imposer au monde entier. Comme les nazis, les staliniens et les islamistes, les écolos sont des psychorigides. Qui ne supportent pas d’affronter une situation d’échec face aux réalités.

Une voyoucratie institutionnalisée grâce à la lâcheté de l’État

« Les Soulèvements de la Terre » sont des citadins des beaux quartiers, voulant interdire aux agriculteurs de constituer des réserves d’eau dont ils ont besoin pour leurs cultures. Ces voyous se sont manifestés par des violences semblables à celles des Black blocs : tabassage des adversaires, agressions contre les flics, destruction de produits et matériels divers.

L’écologie est un paravent commode pour des gauchistes qui veulent détruire notre société. En valorisant la justesse de leur cause pour gagner la sympathie des passifs qui regardent trop la télé. Comme Paul Watson avec ses baleines. Ou comme l’ARCOM qui punit les chaînes où l’on donne la parole à ceux qui osent douter du prétendu réchauffement.

Mais quand on creuse un peu, ces écolos se définissent eux-mêmes comme des activistes qui prétendent incarner la « transversalité des luttes ». Comprendre fusionner les derniers utopistes déjantés avec les cossards agressifs et les islamo-gauchistes intrusifs.

Ils se targuent d’ailleurs d’avoir réussi à convaincre des militants associatifs habituellement pacifiques de se radicaliser et de passer à des actions violentes, en commençant par pratiquer la désobéissance civile. Que les juges rouges tolèrent avec une extrême indulgence.

Intrusion réitérée de la dictature des juges dans la politique

Le 28 mars dernier, lors de la séance des questions au gouvernement à l’AN, Darmanin avait annoncé la dissolution  des « Soulèvements de la Terre » pour « attaques contre les forces de l’ordre et appels à l’insurrection. » Ce fut fait le 21 juin. Mais le 9 novembre, le Conseil d’État a annulé cette mesure adoptée en Conseil des ministres.

Ce même jour, où la plus haute juridiction administrative adoubait des activistes écolos violents, elle approuvait la dissolution de groupes de patriotes pacifiques qui avaient le tort de penser mal selon les critères des bobos anti-France… Et ça continue avec Rima Hassan qui aurait, selon le CE, un droit absolu que nul ne peut contester, d’exposer, de justifier et de glorifier les crimes des terroristes islamistes !

En France, l’écologie permet de violer toutes les lois et de conchier la volonté du peuple

Les écolos fascistes tentent de trouver une légitimité de façade en jouant la comédie de l’affect et de l’émotion, où tous les dérapages seraient permis dès lors qu’on croit que la planète est menacée. Ce que réfutent de nombreux scientifiques indépendants, non rémunérés par les États et les institutions internationales. Mais quelle place reste-t-il pour la raison et la réflexion, quand les médias martèlent 24/24 leur propagande ?

Dans les années 1970-80, les écologistes passaient pour de doux rêveurs irrationnels, qui voulaient nous renvoyer au Moyen Âge. En faisant fermer toutes les usines qui polluent, et tant pis pour les millions de chômeurs en plus. En mettant hors service les centrales nucléaires pour un retour en force de la bougie et de la lampe à huile. Et en interdisant les automobiles (c’est en cours, progressivement) au profit des chars à bœufs pour les manants, et des chaises à porteurs pour les aristos.

Les bobos prétendent qu’il serait injuste de criminaliser les terroristes écolos car leurs objectifs seraient louables. Pour noyer le poisson, ils cenSSurent les images où l’on voit trop de pancartes NPA (Nouveau Parti Anticapitaliste = Neuilly Passy Auteuil),  trop de banderoles LFI (La Francouilla Islamisée) et à présent trop de drapeaux « palestiniens » affichant insolemment l’interaction de tous les terrorismes. Quelles que soient leurs motivations spécifiques, leur objectif est le même : détruire ce qui fonctionne encore un peu dans notre société pour hâter l’avènement de la charia.

Hollandouille avait pris une bonne décision, mais ce fut sans lendemain

Le pépère adipeux savait parfois être moins mou que son allure d’ectoplasme. Ainsi en 2015, il avait utilisé l’état d’urgence, déclaré à la suite des attentats contre Charlie Hebdo et des crimes islamiques du 13-novembre, pour déborder du contexte initial et interdire des manifestations écolo-gauchistes, ordonner des perquisitions chez des militants antifas et assigner à résidence les plus virulents. Preuve qu’il avait saisi le lien unissant tous ces malfaisants entre eux.

Son nullissime successeur s’est contenté de mesures administratives symboliques, renforçant la bureaucratie existante. Ainsi ceux qui prétendent défendre l’environnement et le climat, et qui sollicitent de l’argent public, doivent faire une déclaration sur l’honneur qu’ils respecteront l’ordre républicain . Naïveté ? Stupidité ? Complaisance ? Laxisme ? Sans doute un peu de tout ça.

Le seul effet concret observable a été la tentative de sucrer les subventions servies par la ville de Poitiers à Alternatiba, une association extrémiste liée aux terroristes basques, aux Amis de la Terre, à Green peace, à Attac, entre autres groupes factieux pour lesquels ils organisaient des « ateliers de désobéissance civile » (sic). Ceux-ci furent considérés comme incompatibles avec le contrat d’engagement républicain signé entre l’association et les collectivités. Mais finalement, après quelques détours judiciaires, ils ont eu leur pognon.

L’écologie, c’est l’assistanat et la mendicité pour tous ceux qui refusent de travailler et comptent sur les autres pour se remplir la panse.

Ainsi pendant la COP 29 qui vient de s’achever, les pays développés ont été mis en demeure de payer une rançon dite « dette climatique » en allouant des centaines de milliards d’euros ou de dollars supplémentaires à ceux qui se disent « victimes » du prétendu réchauffement climatique. Sans demander leur avis aux populations des nations avancées, taxées indéfiniment pour satisfaire les lubies des lobbys mondialistes.

Or la réalité est implacable. Le charbon, le gaz et le pétrole représentent 85 % de la consommation mondiale d’énergie. Il est irréaliste de demander aux pays en voie de développement qui sortent à peine de la misère de renoncer à la croissance et au bien-être de leurs citoyens en refusant la société de consommation. Il est légitime qu’ils veuillent améliorer leur niveau de vie, mais il est malsain de vouloir en faire des assistés.

La formule de l’assistanat a échoué partout, en Afrique comme en Amérique du Sud et en Orient, créant des pays de mendiants qui croient disposer d’une créance inépuisable sur les sociétés développées. Par contre, des pays émergents qui ont pris leur destin en mains comme l’Inde, la Chine et les « petits dragons asiatiques » ont réussi grâce à la créativité des entrepreneurs et des ingénieurs, au travail des subalternes motivés par l’ascenseur social, à la solidarité nationale et aux coups de pouce des dirigeants.

D’ailleurs, les pays qui s’en sortent le mieux sont ceux qui ont refusé de se soumettre au diktat climatique asséné par des crapules onusiennes. Parmi eux, la Chine, l’Inde, le Brésil, l’Arabie saoudite. Finalement, il n’y a qu’en France, paradis de la chienlit planétaire, qu’on continue à subventionner à tours de bras des parasites qui ont juré de nous détruire.

Christian Navis

https://climatorealist.blogspot.com/

https://ripostelaique.com/les-ecolo-activistes-sont-des-allies-objectifs-des-islamo-terroristes.html

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