Faut-il rappeler la célèbre phrase de Donald Trump, qu’il n’a sans doute pas évoquée au président de la République française, lors de sa très virile poignée de main, devant l’Elysée, ce samedi : « Tout ce que touche Macron devient de la merde ».
Hélas, plusieurs exemples, qu’ils se situent en France ou dans le monde, ne font que confirmer ce verdict implacable du nouveau président des Etats-Unis.
Faut-il d’abord rappeler que c’est lui qui a rendu la France ingouvernable, suite d’abord à sa dissolution, mais surtout son alliance avec une gauche soumise aux Insoumis pour barrer la route au RN au nom de l’Arc Républicain. Et à présent, il n’est obnubilé que par une chose : rester à la tête de la France par tous les moyens, alors que son départ réglerait tout et mettrait les Français face à leur destin.
C’est toujours lui, qu’on présentait comme le Mozart de la finance, qui a creusé la dette française de plus de mille milliards, soit par incompétence, soit pour soumettre encore davantage notre pays aux marchés internationaux.
Autres faits accablants, l’invasion migratoire organisée, avec 500.000 immigrés de plus chaque année, majoritairement musulmans, et toutes les conséquences que cela entraîne pour les Français, dans leur quotidien.
Et bien évidemment, c’est lui qui nous soumet aux diktats de l’Union européenne, avec leurs conséquences mortifères pour la France et pour les Français. Bien évidemment que le coup de poignard de von der Leyen contre nos agriculteurs, en signant le Mercosur, est un scandale, mais cela n’est possible que parce que les Macronistes et les LR ont réélu l’ancienne présidente de l’UE, tout en connaissant un programme dont ils sont les complices. Donc, quoi qu’il dise, Macron doit être tenu responsable, devant le peuple français, de cette forfaiture et surtout en tirer les conclusions, ce que cet européiste acharné ne fera jamais.
Mais comment ne pas penser à cette phrase de Jacques Chirac, qui suscitait l’hilarité générale dans les grands sommets internationaux, quand il disait à son interlocuteur : « En politique internationale, je regarde toujours ce que font les Ricains. Et comme ils se gourent tout le temps, je fais le contraire ». Regardons les hauts faits de Macron, en politique étrangère :
-C’est encore à cause de lui et de ses complices de l’UE si le conflit entre la Russie et l’Ukraine s’est embourbé, coûtant 500.000 morts européens qu’on aurait pu éviter, ruinant davantage les pays occidentaux, en menant une attitude agressive contre les Russes, pour le plus grand bonheur des Etats-Unis de Biden… et de l’industrie russe, qui se porte bien, quand nos usines ferment les unes après les autres et que notre déficit s’aggrave tous les jours un peu plus.
-Il est le complice et l’allié de ceux qui ont fomenté un coup d’Etat digne des pires républiques bananières contre la Roumanie, parce que l’Otan et l’UE, son camp, ne voulaient pas voir Calin Georgescu, que le peuple roumain voulait élire, à la tête du pays. Comment ne pas voir dans ce coup de force des juges les prémisses de ce qui pourrait se passer en France, en cas de victoire électorale d’un candidat patriote ?
-Il a réussi l’exploit de faire accueillir à la France des millions de faux réfugiés de pays africains, pendant nos armées se faisaient virer de tous les pays subsahariens !
-Enfin, la joie que Macron et l’ensemble de l’UE expriment après la chute de Bachar El Assad confirme la politique criminelle de la France, de l’UE et de l’Otan, qui ont soutenu et armé les djihadistes de l’Etat islamiste, puis tous les prétendus rebelles acharnés à la chute de celui qui a été sauvé par la Russie, quand l’Occident voulait le voir tomber. Au lieu de se réjouir et de qualifier Bachar de tyran, comme le fut hier Khadafi, Macron et les dirigeants occidentaux devraient s’intéresser au sort qui attend les chrétiens d’Orient, prochaines victimes des islamistes, et surtout à ces millions de réfugiés qu’Erdogan, complice des putschistes, va déverser sur l’Europe, avec la complicité de toute la gauche immigrationniste.
-On pourrait également évoquer sa conférence criminelle, prévue avec l’Arabie Saoudite en mai prochain et fomentée lors de son dernier voyage, pour essayer une fois encore d’imposer à Israël un Etat palestinien dont les habitants de l’Etat hébreu ne veulent pas, sauf quelques illuminés de gauche.
Peut-être Macron, qui avait annoncé qu’en quelques heures il remplacerait Barnier, sortira-t-il un lapin de son chapeau, pour nous proposer un nouveau Premier ministre et essayer de nous faire croire qu’il saura éviter le sort qui a frappé le plus éphémère locataire de Matignon de la Ve République ? Cela ne changera rien, et ne fera qu’enfoncer davantage la France devenue ingouvernable dans une impasse.
Finalement, quand on voit le sort qu’a connu Bachar, on rêve qu’il arrive un jour la même chose à Macron, sachant qu’il est méprisé par plein de chefs d’Etat qui ne supportent plus son arrogance, et que ce n’est certainement pas Poutine qui l’accueillerait, et pas davantage Trump ou Netanyahou. On espère simplement que si ce jour arrivait, il n’aurait, lui, pas le temps de fuir à l’étranger, et qu’il devrait répondre de ses nombreux crimes contre la France.
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