Les membres de la caste française ont trouvé une solution au problème du manque de places dans les prisons, ils ont décidé de bunkériser façon ghetto de Varsovie les agressés et agressées pour laisser vaquer tranquille comme Job les agresseurs :
« Paris : 64 nouveaux lieux sûrs le long du tramway T3B Porte de Vincennes-Porte Dauphine pour les femmes victimes de harcèlement ».
https://www.fdesouche.com/2024/12/07/paris-64-nouveaux-lieux-surs-le-long-du-tramway-t3b-porte-de-vincennes-porte-dauphine-pour-les-femmes-victimes-de-harcelement/
Comme l’article ne donne aucunement le taux de crépution de la chevelure, ni l’idéologie nauséabonde non plus que le profil mélanisé des harceleurs, tout le monde pourra plausiblement en conclure qu’il s’agit bien possiblement en majorité de Grands remplaçants.
En effet, ce genre de « safe places », comme ils disent, ne s’imposait pas avec tant d’acuité il y a deux décennies, donc on peut, sauf étude à décharge dont on attend les conclusions, établir un corrélat direct entre les 500 000 à 1 000 000 arrivées de pays extra-européens par an et une modification substantielle de sociologie de l’espace public français qui aurait ainsi considérablement changé au cours de ces 20 ans passés.
Le système de « protection ghetto » est déjà en place sur beaucoup de trajets travail-domicile qui se généralise partout en France à l’image du projet londonien de ghettoïsation de certaines lignes de bus pour les juifs, ainsi les salariés parisiens de BNP Paribas qui en jouissent dès maintenant, si l’on ose dire :
« Encore un peu, comme ce qui est proposé désormais aux salariés parisiens de BNP Paribas arrive dans toutes les villes de France, savoir se faire accompagner par des forces de protection privées pour aller prendre le RER le soir, car l’État français et sa police n’assument plus du tout la sécurité pourtant l’un des Droits Fondamentaux de l’Homme et principe de base de la Démocratie sur lequel se fonde la délégation à l’autorité publique par la Nation du monopole de la violence légitime, les Français vont rêver d’un autre monde où ce qu’ils souhaitent serait enfin possible :
« … la firme a élaboré un plan avec des «itinéraires recommandés», en vert, et des «itinéraires déconseillés», en rouge. Dans ce même message, il est préconisé aux employés d’«éviter de sortir des objets de valeur» et «d’effectuer, dans la mesure du possible, vos trajets avec vos collègues». Depuis octobre, BNP Paribas propose même un nouveau service : une «escorte» par un agent de sécurité depuis le hall du Millénaire 4 jusqu’à la station RER «Rosa Parks» toutes les 30 minutes de 17 h 30 à 20 h ».
https://www.lefigaro.fr/faits-divers/si-je-crie-il-y-a-quelqu-un-pas-loin-a-paris-des-salaries-escortes-par-des-vigiles-dans-un-quartier-mine-par-la-toxicomanie-20241103
https://ripostelaique.com/recherchons-facho-de-premiere-bourre-pour-remise-en-ordre-de-la-france.html
Il s’agit là d’une innovation originale de notre classe politique qui n’est pas sans fondement économique.
En effet, alors que les premiers effets du Grand remplacement n’emportaient qu’une petite minorité de délinquants et d’attaques contre les membres du Peuple Premier qui pouvaient être contenus par les institutions justice-police-détention en place, l’afflux de masses entrées en razzias, appropriations forcées de biens et de Blanches ne permet plus auxdites institutions de répondre aux millions d’actes annuels de dégâts causés par des « on ne sait qui » selon la caste journalistique qui répugne toujours à donner les profils des impétrants, ce qui nous autorise à la déduire facilement nous-mêmes.
Il faudrait désormais, pour assurer la sécurité des peuples autochtones, couvrir la France de prisons ou de camps de concentration, embaucher des dizaines de milliers de gardiens avec ordre de tirer, bref ce serait une nouvelle orgie de deniers publics en perspective pour un résultat bien aléatoire puisque la magistrature française a pris globalement le parti de la voyoucratie allogène au détriment des honnêtes victimes autochtones.
C’est ici que les conseils de nos politiques ont fait valoir un aspect psychologique fondamental qui sous-tend l’économie budgétaire de la nouvelle approche pragmatique du problème de la société et de la place du voyou en celle-ci : la racaille est par nature plus indocile et prompte à la rébellion qui nécessite une force supérieure en nombre et en moyens pour la contenir que la force utile pour mater les pacifiques citoyens du Peuple Premier qui n’aspirent qu’à vivre, étudier et travailler en paix, tranquilles.
Du coup créer quelques des secteurs ghettos pour y canaliser lesdits honnêtes putatives victimes en puissance a été considéré comme largement plus soutenable pour le budget national que d’interner sur une partie considérable du territoire plus d’un million d’agresseurs-razzieurs-violeurs-appropriateurs de femmes blanches comme autant de trophées de revanche pris sur l’ancien colonisateur, masses agressives qui au surplus se multiplient à plusieurs dizaines de milliers de membres chaque année en raison du Grand remplacement et des frontières grandes ouvertes.
L’un des principes sous-jacents de la nouvelle politique de sûreté a été emprunté à la politique sécuritaire de la montagne et des stations de ski, c’est tout simplement la signalisation du domaine empruntable par le quidam sans ou avec peu de risques en contrepartie d’un engagement de la responsabilité étatique en cas de faute des pouvoirs publics qui se distingue du domaine non-empruntable constitué du reste des pistes, quartiers et rues déconseillées voire quasi interdites où ledit quidam prendra à sa propre charge les risques qu’il encourra puisqu’il aura été prévenu des dangers.
Ainsi à la partition sociologique du territoire des Fourquet et Guilluy campagnes-banlieues-zones à risques divers-métropoles-quartiers sécurisés des classes aisées/riches/bourgeoises convient-il d’en rajouter une couche qui court au travers de toutes : il y a le domaine public balisé empruntable avec moindre risque, et le reste classé domaine pistes noires à vos risques et périls-vousavezétéalertés.
Sachant qu’à terme le domaine empruntable va nécessairement se réduire pour s’achever en camp de concentration pour victimes désignées au fur et à mesure de l’installation de nouvelles masses de Grands remplaçants.
En effet, il est facilement pronosticable et prévisible, pour qui saisit le phénomène dans sa dynamique, que cette politique va vite trouver ses limites.
Si cent mille policiers suffisent à maintenir ces jours quelques bulles de sécurité limitées dans l’espace et le temps pour les Blancs et Blanches de France qui vont et reviennent de l’étude ou du travail ou même encore des courses face à un ou deux millions de voyous allogéniques, l’augmentation constante de ces derniers par l’afflux de masses haineuses dans notre pays ne peut que conduire à la submersion desdits policiers qui finiront égorgés-lapidés devant les palissades des espaces protégés des Blancs de souche comme on le voit régulièrement dans le monde musulman où les roussins finissent obligés de livrer aux foules les chrétiens, apostats ou homos convaincus de blasphème pour éviter de terminer lapidés eux-mêmes.
Certains iront avancer que tous les migratoires ne sont pas des violeurs ou des razzieurs, certes, n’empêche que certains indices font frémir, outre la hausse corrélée des faits divers avec l’augmentation du nombre de divers dans le pays dont on attend une étude sérieuse sur la correspondance.
Rappelons que certains préfets et procureurs comme dans le 06 attribuent plus de la moitié de faits de délinquance à Cannes ou à Nice aux nouveaux venus, ce qui est considérable alors qu’ils ne sont même pas majoritaires ni à vingt pour cent de la population : vous imaginez les vannes ouvertes de vos habitations, des chambres de vos filles et les portes ouvertes de vos entreprises quand ces masses de fiel dépasseront le taux de 50 % du peuplement local ?
Ici les politiciens, des communistes aux républicains en passant par les centristes grosso-modo ceux qui s’autoproclament seuls de l’arc moral du pays, n’ont pas encore osé reprendre les propositions de leurs conseillers comme l’instauration d‘un couvre-feu pour toute femme blanche de France.
Il s’agit pour l’instant de ménager les Tondelier, Rousseau, Pécresse, Delga, de même que de ne pas acter le conflit racial qui couve, ainsi que leur impuissance devant le retour inéluctable des barbaresques au pays gaulois comme sous régime musulman avant Poitiers et Charles Martel en France ou sous l’Al-Andalus espagnol.
Mais une information qu’il faut faire connaitre peut laisser présager le pire, le sort des migrantes elles-mêmes lors de leur pérégrine de Bamako à Paris par exemple qui n’est pas un long fleuve tranquille :
« Les femmes subissent de leurs côtés les pires exactions. Toujours d’après le rapport, « 90 % des femmes et filles se déplaçant le long de la route centrale méditerranée sont violées ».
Les violences sexuelles sont un passage inévitable pour les femmes migrantes qui, en plus d’être violées ou agressées sexuellement par des bandes criminelles ou des passeurs, «doivent payer des “pots-de-vin” en réalisant des “faveurs sexuelles”, parfois auprès de groupes entiers de migrants», peut-on lire. En échange de ces «faveurs sexuelles», les femmes se voient proposer «une protection et un abri».
https://www.fdesouche.com/2024/12/05/90-des-femmes-et-des-filles-se-deplacant-le-long-de-la-route-centrale-mediterraneenne-sont-violees-le-rapport-choc-de-lonu-sur-les-routes-migratoires-clandestines/
Le parallèle sémantique s’impose, ces migrantes se voient proposées un « abri » en contrepartie d’une petite gâterie lors de leur parcours, et en France 2024/2025, ce sont désormais les pouvoirs publics qui proposent aux salariés et étudiants des « abris » sur leur trajet domicile-lieu professionnel, la petite gâterie en retour se matérialisant sous la forme d’un taux de prélèvement obligatoire ahurissant inconnu du reste du monde.
On pressent avec frayeur, lorsque demain des escouades de polices privées proposeront leur solution car les policiers auront été soit submergés soit exterminés, que des exigences de gâteries d’autres natures naîtront au pays de Voltaire pour aller et revenir du travail ou des courses, les Dames Tondelier, Rousseau, Autain, Précresse ou Delga devront-elles payer de leur personne ?
On ne serait pas effrayé de le savoir compte tenu de leur ardeur à vouloir de l’immigration, de beaux esprits raisonneurs ne peuvent s’empêcher de clamer qu’elles doivent aimer ce genre de règlement : pour en faire venir autant alors que le résultat est connu d’avance lorsque la submersion musulmano-extra européenne sera totale, on est obligé de conclure que leur volonté inavouée est de terminer au sérail et au harem.
Et on pressent avec frayeur que le Français blanc de souche, demain dans son propre pays de naissance, sera ce migrant sans secours ni recours qui devra demander avec soumission la protection de bandes criminelles ou de bandes de passeurs d’origine non contrôlée.
Le jour où le couvre-feu sera imposé aux femmes blanches de France parce que 90 % d’entre elles auront été violées, vous repenserez à ce post, et compris que j’avais vu juste dans la dynamique où tout le vau-l’eau actuel entraîne : le Peuple Premier François est promis aux camps de concentration s’il ne veut pas en prendre conscience et faire ce qu’il faut pour l’éviter.
Jean d’Acre
https://ripostelaique.com/quand-90-des-femmes-blanches-auront-ete-violees-par-des-migrants.html