Donald Trump a été élu par une forte majorité d’Américains, le 5 novembre 2024, avec un programme fort précis. Il a été investi président des Etats-Unis depuis le 20 janvier 2025. Et depuis, il suscite les cris d’orfraie de toute la gauche américaine, et de tous les mondialistes de la planète, parce qu’il fait à leurs yeux une chose abominable : il met en place le programme pour lequel il a été élu ! Certes, c’est brutal pour les petits bobos.
-Fini l’invasion migratoire, c’est le remigration de masse. Mais il avait annoncé la couleur.
-Fini le wokisme, on revient aux fondamentaux, mais il avait annoncé la couleur.
-Fini les planques à gauchistes pour saper les fondamentaux de l’Etat, Trump a demandé à Musk de faire le grand nettoyage. Mais il avait annoncé la couleur.
-Fini les stupidités du Pacte Vert, les ressources souterraines américaines vont être exploitées au maximum. Mais il avait annoncé la couleur.
-Fini les magouilles de Big Pharma, et la vaccination obligatoire pour remplir les caisses des grands laboratoires pharmaceutiques. Mais avec Robert Kennedy, il avait annoncé la couleur.
-Fini l’impuissance de l’Etat américain, ceux qui veulent jouer aux petits malins se voient immédiatement sanctionnés. Mais il avait annoncé la couleur.
On pourrait citer des dizaines d’autres décisions fortes, prises par le président américain, depuis sa prise de fonction. Elles vont toutes dans le même sens. Il a été élu sur un programme clair, « America First » et il met en place ce programme.
Certes, il y a une Chambre des députés et un Sénat, et aussi une Cour Suprême, mais ils ne sont pas là pour remettre en cause le vote des citoyens, appliqué par le Président élu, ils sont là pour légiférer ce qui va suivre, durant les quatre années du mandat de Donald Trump.
En France, pays des Droits de l’Homme et de la Démocratie, c’est tout le contraire. Un président de la République peut être élu sur un programme proche de celui de Donald Trump, l’appareil d’Etat, au nom des prétendues valeurs de la République, censurerait son programme. Les députés, au nom du parlementarisme, passeraient des semaines à décider si l’accueil des migrants ne fait pas partie des fondamentaux de notre pays, et si leur expulsion est bien compatible avec nos lois et nos valeurs.
Voilà ce que se permettait de dire le président de la Conférence des Bâtonniers, un nommé Jean-Raphaël Fernandez, à la veille d’un possible victoire du Rassemblement national lors des dernières législatives, quand on envisageait la victoire du RN et l’arrivée de Jordan Bardella. Rappelons que cette officine vient de se distinguer en poursuivant le journal « Frontières », qui a osé donné le nom d’avocats véreux qui vivent, et fort bien, de l’immigration et de la défense des migrants.
« Ainsi, toute loi allant à l’encontre des Droits de l’Homme et du Citoyen doit être combattue, et le fait qu’une majorité de français soutienne ces lois n’a aucune importance : dans le combat pour la sauvegarde de la Liberté, les voix des citoyens n’ont aucune importance.
Je vous rappelle par exemple la décision d’abolition de la peine de mort alors que la majorité de l’opinion publique y était, et y est encore, opposée. Les citoyens sont souvent incapables de prendre conscience de la gravité du sujet et les avocats sont justement là pour, passant outre la volonté erronée du Peuple, faire adopter les mesures que la Morale impose.
Dans l’affaire actuelle une majorité de citoyens votant pour des candidats du Rassemblement National mettrait en danger la vocation de terre d’accueil et de Pays des Droits de l’Homme de la France. Il est du devoir des avocats et de l’ensemble du Corps judiciaire de ne pas tenir compte de l’opinion de ces citoyens dans l’erreur et d’agir pour tenir la barre d’une main ferme.
La Conférence des Bâtonniers affirme avec la plus grande fermeté que l’ensemble du corps des avocats se positionnera contre toute mesure prise par un éventuel gouvernement du Rassemblement National, l’avis des citoyens français devant être ignoré, et sera ignoré, pour la défense des Valeurs de la France. Nous avocats sommes les Garants de la Défense des Libertés et n’avons ni à nous justifier ni à répondre aux désidératas de simples citoyens représentant un danger pour la démocratie. »
On ne peut mieux mépriser la décision du peuple, en expliquant que les Droits de l’Homme supposés seraient supérieurs au vote des électeurs. Donald Trump et son équipe donnent l’exemple au monde entier, quand les mondialistes menacent d’interdire X-Twitter en Europe, jettent en prison Tommy Robinson en Grande-Bretagne, annulent les élections en Roumanie, et envisagent la dissolution de l’AfD en Allemagne, coupable de progresser trop rapidement.
La situation américaine, et la détermination de l’équipe de Donald Trump, renvoie les pays occidentaux à l’imposture d’un parlementarisme gangrené par la dictature du politiquement correct, et des officines mises en place pour l’imposer au peuple.
Bien évidemment, les gauchistes hurlent à la dictature, et se réclament des valeurs de la démocratie. Mais les peuples préfèrent un « dictateur » comme Trump, qui applique le programme pour lequel il a été élu, que de minables politiciens comme Bayrou et tout l’UMPS, qui multiplient les promesses, et qui, ensuite, au nom de la démocratie, font tout le contraire de ce pour quoi ils ont été élus.