3,4 % du PIB, cela représente 100 milliards de perte de richesses par an. Faites le compte sur les 20 dernières années, durant lesquelles l’immigration a explosé… Notre faillite, c’est en grande partie l’arrivée en masse de déshérités sans diplômes. Tout est soigneusement occulté par un lavage de cerveau ininterrompu.
Par conséquent, en parfait petit soldat mondialiste, Bayrou évacue lâchement le fardeau écrasant de l’immigration sous-qualifiée. Or, prétendre redresser nos finances sans traiter le mal à la racine, c’est enfoncer le pays toujours plus.
Pour bien comprendre le mal français qui nous ronge depuis quarante ans et qui a entraîné notre gigantesque déclassement économique, il suffit de voir d’où provient l’essentiel de notre immigration extra-européenne : elle vient des pays les moins alphabétisés du monde. Nous avons une bonne part de nos immigrés qui ne savent ni lire ni écrire à leur arrivée, souvent issus de nos anciennes colonies africaines.
« 20 pays ont le triste honneur de compter plus de 50 % d’analphabètes dans leur population : l’Afghanistan, le Bénin, le Burkina Faso, la Centrafrique, le Tchad, les Comores, la Côte d’Ivoire, l’Éthiopie, la Gambie, la Guinée Bissau, Haïti, l’Irak, le Liberia, le Mali, la Mauritanie, le Niger, le Sénégal, la Sierra Leone et le Sud Soudan. »
Et avec une immigration du travail qui ne pèse que 10 % des flux annuels, on voit mal comment celle-ci pourrait nous enrichir. Le pouvoir ment et cache cette sinistre réalité, mais quand la France sera en passe de rejoindre le Zimbabwe, il faudra bien se rendre à l’évidence : un continent africain de 1,5 milliard d’habitants qui produit chaque année moins de richesses que la France ne peut en aucun cas être la source de notre redressement économique.
Bayrou a peur de toucher à l’immigration de masse, largement sous qualifiée puisque majoritairement non diplômée. Par conséquent, il trompe les Français avec un plan d’économie totalement illusoire qui ne résout rien.
C’est un illusionniste comme Macron qui prétend mettre son expérience au service de la France, alors qu’il la laisse s’enfoncer comme tous ses prédécesseurs mondialistes.
Voici les chiffres implacables et incontestables qui montrent que la réalité est à 180° du discours bien-pensant. Non seulement l’immigration nous ruine, mais la France est lanterne rouge des pays européens quant à l’impact de l’immigration sur les comptes publics.
Selon l’Observatoire de l’immigration :
« Le moindre taux d’emploi des immigrés et descendants d’immigrés représente une perte de PIB de 3,4 % et une perte de recettes fiscales et sociales de 1,5 points de PIB. »
Cela représente une perte de PIB de 102 milliards par an et une moindre recette fiscale de 45 milliards. À l’heure où Bayrou recherche 40 milliards d’économies, on sait où les trouver.
Notre immigration de très basse qualité, hormis quelques diplômés, est la cause essentielle de notre ruine économique et de notre endettement. Les 2/3 de la dette proviennent d’une immigration insuffisamment productive.
Pendant des décennies, nous avons financé le coût social de l’immigration par l’emprunt. Car la perte de PIB de 3,4 % par an, nous l’avons compensée par l’emprunt perpétuel.
Mais aujourd’hui, avec une charge de 60 milliards d’intérêts par an, notre maigre croissance ne suffit plus. Nous empruntons toujours plus pour rembourser nos dettes.
Le ratio recettes/dépenses publiques de l’immigration est de 86 %, donc déficitaire de 14 %.
Il est clair que la contribution des immigrés au PIB ne finance pas leurs besoins, qui restent à la charge de l’État, donc du contribuable. Dans de nombreux pays, ce ratio est supérieur à 100 %. Mais leur immigration est de meilleure qualité et l’assistanat y est moindre.
Notre social démesuré, le plus généreux de l’OCDE, explique cet écart. La France ne travaille pas assez pour financer ses 900 milliards de social et nos immigrés travaillent encore moins que la moyenne nationale car peu diplômés. L’assistanat a un prix et emprunter pour le financer ne dure qu’un temps.
Taux de pauvreté
Le taux de pauvreté des étrangers extra-européens est de 48 %. Il est de 11,5 % pour les citoyens français.
Selon l’INSEE : 51 % des bénéficiaires de l’aide alimentaire sont des immigrés, soit une part 5 fois supérieure à celle des immigrés dans la population générale.
Les immigrés perçoivent un montant moyen annuel de prestations sociales deux fois supérieur à celui des personnes sans ascendance migratoire (2 380 euros contre 1 200 euros en 2019), voire près de trois fois supérieur pour les immigrés originaires d’Afrique (3 130 euros).
« Par ailleurs, 35 % des immigrés âgés de 18 à 59 ans occupaient un logement social en 2019-2020, contre 11 % des individus sans ascendance migratoire, cette moyenne recouvrant de fortes disparités selon l’origine (57 % des immigrés originaires d’Afrique sahélienne, 52 % des immigrés originaires de pays d’Afrique guinéenne ou centrale, 49 % des immigrés algériens) »
Conclusion
« En France, l’immigration dégrade les comptes publics et réduit le pouvoir d’achat des natifs, ces derniers devant être davantage imposés pour compenser ce déficit contributif. »
Et Bayrou va donc saigner un peu plus les contribuables et les retraités, mais sans même évoquer la moindre économie sur le coût de cette immigration subie, qui n’enrichit que certains patrons mais plombe inexorablement la compétitivité du pays. Si rien ne bouge, la dette va continuer d’augmenter au rythme de 150 milliards par an.
Mais tant que le FMI ne déclarera pas la France en faillite, nos élus nieront le coût réel de l’immigration.
Jacques Guillemain