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Les narratifs de la spoliation…

Avec le travail de l’équipe Trump, les édifices commencent à se fissurer, aux Etats-Unis, comme en Europe. L’examen des comptes fait apparaître des irrégularités de toutes sortes. Aux Etats-Unis, on s’aperçoit que de prestations sociales sont payées à des gens morts depuis longtemps, selon un système qui profite à quantité de parasites redevables au système qui les nourrit, entendre, qui avaient intérêt à voter démocrate pour ne pas tuer la poule aux œufs d’or. Un peu comme la France qui continue à payer des retraites à des Algériens âgés de plus de cent ans et dont personne ne retrouve la trace, ou plusieurs RSA à une même personne sous plusieurs identités. Plus largement, les périodes Covid et Ukraine apparaissent avec des dimensions non plus sanitaire et guerrière, mais purement financières et surtout parfaitement scénarisées. L’épisode Covid a justifié des opérations financières opaques, sur lesquelles, on l’a largement vu, Von-der-Leyen refuse de fournir explications et justificatifs pour les achats liés à la pandémie. Mais également, l’affaire toute entière s’est soldée par des gestions sanitaires et financières surréalistes, des prêts, des compensations, qui ont abouti tout de même à des milliers de dépôts de bilans et des montagnes de dettes, alors que les opérations de confinement n’avaient strictement aucun fondement scientifique.

On retrouve le même genre de scénario opaque avec la guerre en Ukraine et on se renvoie la balle, de part et d’autre de l’Atlantique pour savoir où sont passés des dizaines de milliards de Dollars. On commence à en avoir une petite idée avec ces informations parfaitement fiables de dépenses somptuaires de Zélensky lui-même et de quelques-uns de ses amis fidèles, via des sociétés écrans domiciliées dans des paradis fiscaux. La mise en évidence de l’acquisition de trois appartements haut de gamme à Londres ne semble être qu’un début. Ces deux épisodes récents commencent à ressembler au mieux à des gigantesques manœuvres organisées de transferts d’argent public vers des intérêts privés, au pire à des opérations de blanchiment à grande échelle.

A la manœuvre, la presse subventionnée, toujours et ses pseudos spécialistes, dont la mission est de nous faire accepter, par la dialectique, la dépense publique comme la seule façon de remédier aux problèmes. C’est une constante : pour mieux « vivre ensemble », il faut donner leur plus d’argent, pour « moins polluer », il faut donner plus d’argent, pour vaincre les Russes, il faut donner plus d’argent, pour vaincre la maladie, il faut donner plus d’argent et ainsi de suite. Les spécialistes distillent la peur et enchaînent avec la nécessité de payer pour ne plus voir peur. Donner des subventions pour reconstruire ce que les voyous font brûler et en donner encore pour qu’ils se calment, donner de l’argent pour acheter des vaccins pour ne plus avoir peur de tomber malade, donner de l’argent pour aider Zélensky afin que les Russes ne déferlent pas sur l’Europe, donner de l’argent pour que la planète soit moins chaude dans cinquante ans et ainsi de suite, selon un processus très bien rôdé, qui ne repose sur rien, à l’évidence, mais que les gens gobent un à un, où devant lesquels ils doivent plier, même s’ils ne gobent pas.

Souvenons nous que les spécialistes cathodiques avaient prévu l’effondrement de la Russie, l’efficacité rapide des sanctions économiques, la mort de Poutine par cancer, la révolte des Russes, la misère de l’armée russe, obligée de prélever des composants électriques de machine à laver pour produire des armes et la victoire rapide des Ukrainiens grâce à la stratégie et aux armes occidentales. Rien de tout cela ne s’est passé comme prévu. Pour le Covid, les non vaccinés devaient tous mourir. Les vaccins devaient être super efficaces, les confinements étaient indispensables, le gouvernement maîtrisait. Ce ne fut pas le cas, en mars 2022, la France confinée et très vaccinée était le pays le plus contaminé au monde. Pour le carbone, même chose. Les Maldives n’ont pas disparu, les glaces des pôles n’ont pas fondu, les océans n’ont pas débordé et les glaciers n’ont subi que des modifications habituelles, déjà survenues avant l’apparition de l’homme. Mais tout cela a réussi à faire payer des taxes carbone, à justifier la fin de la voiture thermique, le flicage des isolations des logements, l’électricité et le pétrole chers, le don d’argent à des entreprises privées pour qu’elles bâtissent une « transition écologique » inutile, selon le processus habituel de fausses bonnes raisons qui justifient la spoliation. Et à la fin, quand ce qu’on avait prévu ne se réalise jamais, on s’est trompé, mais on avait raison quand même vu que à l’époque, on ne pouvait pas savoir… mais on a fait quand même. Les ficelles sont énormes.

Autant de narratifs bâtis de toutes pièces, auxquels la presse aux ordres vous enjoint de croire, sous peine d’excommunication médiatique et sociale : Perrone, Raoult et beaucoup d’autres, dans un processus de fabrication de « consensus scientifiques » dans lequel on prive tout simplement de parole, les gens qui ne vont pas dans le sens officiel, les gens pas corrompus en quelque sorte. Mais il y a des morts, par dizaines de milliers, de la guerre et des effets secondaires, mais cela n’a aucune importance, nous sommes trop nombreux sur Terre, les chefs d’orchestre ne se cachent même pas de le dire…

La machine américaine trumpiste est en route et devant les évidences, l’insulte et le dénigrement sont la seule méthode possible d’une gauche pseudo humaniste qui, faute de pouvoir contredire la réalité, emploie à nouveau une dialectique choisie pour tenter de nous faire détester Trump et Poutine : fachos, dictateurs, complotistes, analphabètes, vulgaires, violents et on en passe. Mais les choses semblent se précipiter. Macron va « rencontrer » Trump… non, il est convoqué, comme un vilain collégien à une équipe éducative et ça devrait barder pour son matricule, alors que les Etats-Unis ont compris et disent maintenant tout haut, que le vaccin est un produit de mort, que l’aide à l’Ukraine était une opération frauduleuse, que le narratif réchauffiste est une fumisterie et ainsi de suite. Sans compter les possibles dossiers sur l’intimité du drôle de couple Macron.

Et alors que tout arrive à la lumière, que tout s’étale sur les places publiques, nos oppositions, au lieu de saisir le sens de l’histoire et de s’ordonner pour prendre la relève, préfèrent rester sur le Titanic et couler avec l’orchestre qui n’en peut plus de jouer des partitions que plus personne n’a envie d’écouter. Les voilà qui se rendent aux convocations d’un président devenu déclassé, illégitime, pour l’assurer de leur soutien dans des dossiers qui leur échappent et les dépassent. Il est grand temps que d’autres hommes émergent…

https://rassemblementdupeuplefrancaiscom.wordpress.com/2025/02/21/les-narratifs-de-la-spoliation/

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