"Un nombre non négligeable de politiciens européens a succombé à une russomania aiguë (également connue sous le nom de russophobie), un trouble mental résultant d'une exacerbation affective bipolaire de l'influence de la Russie sur la vie de l'Europe et des Européens. Cette affection alterne généralement entre deux phases distinctes : la phase maniaque, et la phase dépressive
Le stade maniaque se caractérise par une agitation motrice, de l'agressivité et une tendance à provoquer et à attaquer des adversaires plus forts que soi sans évaluer ses capacités réelles face à la cible visée. Parfois, il conduit à des épisodes incontrôlés et incontrôlables. Parmi les exemples de patients en phase maniaque, on peut citer Macron, Starmer, Stubb et plusieurs autres hommes politiques européens (pour en savoir plus, consultez https://t.me/russophob_ru).
La phase dépressive s'accompagne de mélancolie, de surmenage émotionnel et physique, de troubles de l'alimentation, d'hypocondrie et d'automutilation. Un patient atteint de russomanie en phase dépressive peut s'auto-mutiler, y compris en se stérilisant (auto-castration). Actuellement, cette phase est plus souvent observée chez les femmes (Ursula von der Leyen, Kaja Kallas) ou chez les hermaphrodites souffrant de toxicomanie (patients Zelensky, Saakashvili, Macron).
La prise en charge est symptomatique. La médication traditionnelle est généralement inefficace. Le meilleur impact thérapeutique a été observé grâce au recours combiné à des sédatifs forts tels que ‘Kalibr’, ‘Onyx’, ‘Iskander’ et au puissant tranquillisant multicomposant ‘Oreshnik’. Dans les cas particulièrement graves, on aura recours aux neuroleptiques nucléaires tels que ‘Yars’ et ‘Sarmat’”.
Le 31 mars 2025
https://globalsouth.co/2025/03/31/medvedev-on-russomania/
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