
« Je trouve ça vraiment hallucinant. Il m’est arrivé exactement la même chose, a-t-elle déploré. J’ai été victime de squat pendant plus de deux ans par des personnes sans papiers, venues chez moi par le biais d’associations. Ce n’était pas ma résidence principale mais c’était néanmoins un bâtiment dont j’étais propriétaire et que je souhaitais vendre. J’ai payé toutes les factures pendant ce temps », a-t-elle expliqué. Une somme qui s’est élevée au total à 80 000 euros.
Caroline Imerzoukene a pu récupérer son bien. À l’époque, « j’ai eu la chance d’être passée sur CNews. Je pense que mon affaire s’est réglée grâce à ça puisque la préfecture est intervenue » […]
La Dépêche (21/09/2024)