Chaque jour qui passe est une humiliation supplémentaire pour la France, parce que cela signifie que notre compatriote Boualem Sansal est toujours dans les cachots algériens, et ce depuis le 16 novembre 2024. Non seulement la France n’a pas été capable, ou n’a pas eu la volonté, de faire libérer l’écrivain libre-penseur. Pourtant, les moyens ne manquent pas, et Sarah Knafo comme Éric Zemmour multiplient les exemples pour montrer ce que des dirigeants déterminés pourraient faire pour faire respecter la France.
Mais cela va encore plus loin. Le 8 mai prochain, il va y avoir en Algérie des cérémonies réécrivant l’histoire, et bien sûr victimisant les Algériens, qui auraient été victimes d’un massacre de masse il y a 80 ans à Sétif. Tous nos lecteurs qui connaissent à présent Manuel Gomez et ses précieux témoignages savent que c’est un mensonge historique, et que ce sont les Algériens qui ont tiré les premiers coups de feu et procédé aux premiers massacres.
Mais cela va encore plus loin, puisque des élus de la République, de la France (même si nombre d’entre eux n’ont pas la seule nationalité française) seront également présents à des cérémonies qui seront celles d’ennemis de la France, qui mentent sur notre histoire pour faire haïr notre pays par les Algériens. Voici le nom de ces traîtres.
Laurent Lhardit (PS), président du groupe d’amitié France-Algérie ; Fatiha Keloua Hachi (PS), présidente de la commission des affaires culturelles ; Danielle Simonnet (ex-LFI, aujourd’hui chez les écologistes) ; Stéphane Peu (PCF), président du groupe communiste à l’Assemblée ; Belkhir Belhaddad (ex-Renaissance, non-inscrit) ; Raphaël Daubet (centriste, Lot) ; Sophie Briante Guillemont (centristes, Français de l’étranger) ; Ahmed Laouedj (radical, Seine-Saint-Denis) ; Adel Ziane (PS, Seine-Saint-Denis) ; Akli Mellouli (divers gauche, binational) ; Sabrina Sebaihi et Karim Ben Cheikh (écologistes).
Des députés de la France, dont beaucoup sont originaires d’Afrique du Nord, se rendent donc dans un pays ennemi qui retient en otage un de nos compatriotes, et vont soutenir un gouvernement qui multiplie les provocations et les actes d’hostilité contre notre pays. L’objectif est clair, imposer toujours davantage de repentance à notre pays, et pour cela réécrire encore et toujours l’Histoire avec la version du FLN.
La preuve, que va-t-il se passer le 25 mai ? La diaspora algérienne, au service d’Alger – alors que le pouvoir de Tebboune nous humilie un peu plus chaque jour, refusant de reprendre les clandestins qu’il nous envoie – va donc faire une grand-messe sur notre territoire, dans notre capitale, en expliquant que l’identité franco-algérienne, autrement dit la dilution de l’identité française, pourrait être une chance pour notre pays.
Autrement dit, Boualem Sansal est en prison, l’Algérie refuse de reprendre ses ressortissants, elle refuse de payer ses dettes à nos hôpitaux, elle insulte notre pays quotidiennement, alimentant la haine de la France et des Français, elle ajoute des refrains haineux à son hymne national, elle va utiliser les 80 ans du 8 mai 1945 pour parler encore de génocide français, et il se trouve des élus français pour aller lécher les babouches de Tebboune ! Et dans quelques semaines, ces mêmes Algériens vont nous narguer, avec la complicité du recteur de la Grande Mosquée et de toute la gauche collabo.
Cette soumission à un pays qui nous hait est déjà insupportable, mais comme si cela ne suffisait pas, Macron va encore davantage humilier et déshonorer la France en recevant l’islamiste, à présent président de la Syrie, al-Joulani, dont Albert Nollet, Henri Dubost et Lucette Jeanpierre vous expliqueront qu’il est celui qui massacre, depuis qu’il est au pouvoir, les Druzes et les Chrétiens.
Nous avons donc dans ce pays un président de la République soumis aux soldats d’Allah, nous avons une opposition de gauche qui vante le Grand Remplacement et instrumentalise de manière sordide la mort d’un clandestin musulman malien dans une mosquée pour souffler sur les braises de la guerre civile.
Ce sont ces gens-là qui sont prêts à tout pour empêcher les Roumains d’élire un président de la République patriote, et qui soufflent sur les braises pour faire la guerre à la Russie, espérant ainsi sauver leur pouvoir et priver les Français d’une alternative patriote.
Face à de tels traîtres, la France et les Français sont en état de légitime défense.