Cette vidéo est une exclusivité de nos amis de Breizh Info, et nous en profitons pour saluer le travail de Yann Vallerie, l’infatigable animateur de ce site. On se souvient du contexte. En pleine occupation de la faculté de Rennes, ce qui devient une grande classique, lors d’un meeting, devant une centaine de participants, l’animateur avait signalé la présence de deux étudiants considérés comme fachos, parce que de droite. Immédiatement, un commando d’une vingtaine d’antifas s’était dirigé vers eux, et les avait massacrés au sol.
Premier scandale, alors que leurs noms étaient connus, ils s’appelaient Simon Buxeraud, Raphaël Gruel, Hoël Dumont, Pierre Le Ménec, Thabara Régnier, Léo Desilles et Félix Mennerun, ils ne passeront pas en comparution immédiate, mais, sous la pression de la député LFI Marie Mesmeur, par ailleurs camarade de jeux de Louis Boyard, alias Loulou la Came, ils seront remis en liberté et leur procès reporté deux mois plus tard.
Deuxième scandale, le 29 avril, il s’est trouvé des juges pour estimer, sous des prétextes fallacieux, qu’il fallait relâcher les sept nazillons déguisés en antifas, qui bénéficiaient donc d’une impunité totale, et, bien sûr, exultaient à l’annonce du verdict, narguant avec indécence les victimes et leurs proches.
Mais dans la vidéo que nous évoquions, on voit très bien, grâce aux drones, le mode opératoire de ces petites frappes. Certes, on avait déjà vu leurs semblables agresser à dix contre un Vincent Lapierre à Toulouse. On les avait également vu massacrer le journaliste indépendant Jimmy Léopold, lors d’une manifestation parisienne.
Mais cette fois, on voit tous les préparatifs, la meute qui avance, qui patrouille telle une milice cherchant sa proie, armée de parapluies et de matraques, et qui fond courageusement sur deux étudiants désarmés, qu’ils jettent au sol et continuent à cogner à coups de poing et à coups de pied. Comment les juges du tribunal de Rennes, connus par ailleurs pour leur laxisme avec la racaille mais leur sévérité avec les militants patriotes, ont-il pu remettre dans la nature de tels psychopathes, dont les pratiques sont totalement semblables à ceux qu’ils prétendent combattre ?
On voit ensuite la meute revenir tranquillement au meeting gauchiste, et se fondre dedans, accueillis comme des héros par des cerveaux lavés, pourtant universitaires, qui ont perdu toute humanité, et à qui cela ne pose aucun problème de fréquenter des salopards capables de massacrer, à vingt contre deux, deux de leurs collègues étudiants, parce que de droite !
On ignore si ce jour-là officiait la présidente de ce tribunal, Béatrice Rivail, qui avait par ailleurs condamné à 4 mois de prison un militant identitaire coupable d’avoir organisé un rassemblement pacifique devant une bibliothèque municipale où des drag-queens apprenaient à lire aux enfants.
À comparer avec la relaxe obtenue par ces nervis, miliciens de Mélenchon, mais aussi du régime de Macron, pour qui ils font le travail contre les patriotes.
Quand on voit de tels images, que l’on sait que ces sept salopards ont pu être relâchés par des magistrats rennais, et qu’on se rappelle que pour un seul coup de poing, certes mortel, Esteban a été condamné à onze ans de prison, et Samuel à 7 ans, pour avoir été présent, plus personne ne peut avoir de doute sur la partialité de la justice, et sa dégénérescence, sans oublier la pourriture de quelques magistrats.
Certes, Bruno Retailleau a enfin décidé de dissoudre la Jeune Garde et une organisation islamiste, « Urgence Palestine », mais ce sont l’ensemble des milices gauchistes qu’il faut dissoudre, et mettre hors d’état de nuire leurs leaders et cogneurs.
Quant au juge, il est temps d’envisager une vraie justice rendue au nom du peuple français, par des jurés populaires qui remplacent ces suppôts gauchistes du Syndicat de la Magistrature qu’il faut révoquer de toute urgence pour faute professionnelles lourdes répétées.