Si la France Insoumise et quelques-uns de ses députés de la bande de Mathilde Panot n’existaient pas, il faudrait les inventer. La dernière vedette de la meute s’appelle Pierre-Yves Cadalen, il est né à Brest il y a 33 ans, il a donc pour l’instant l’âge du Christ et on espère pour lui qu’il vivra plus longtemps. Quoique la vie paraisse dangereuse à Brest pour les gauchos, si on en croit ce témoignage du député de la circonscription.
« La France insoumise de Brest organisait, ce samedi, une collecte de fournitures au profit du Secours populaire, en cette période de rentrée scolaire. Deux individus encagoulés, appartenant manifestement à un groupuscule fasciste, ont violemment agressé un groupe de quatre militants. Deux d‘entre eux, mis à terre, ont été, à de multiples reprises, frappés, notamment au visage. Pour l’un d’eux, cela fait suite à des « menaces de mort » notamment par des tags en ville. Ils ne nous feront pas reculer. Ces individus doivent être retrouvés et condamnés, et les groupes auxquels ils appartiennent fermement combattus. J‘apporte mon plein et entier soutien aux militants agressés. Nous ne céderons jamais à leur violence. Nous sommes une force déterminée et joyeuse : ils ne nous feront pas reculer ».
Et bien sûr, les réseaux sociaux frémissent d’indignation contre les milices fascistes, et accusent Bruno Retailleau de ne pas les avoir encore arrêtées. Mais surtout, les médias, sans la moindre vérification, reprennent la thèse du député Cadalen qui, sans la moindre preuve, a donc reconnu deux militants fascistes sous leur cagoule noire. Un vrai médium ! Personne ne se dit que ce sont peut-être des militants d’une organisation juive qui ont réglé quelques comptes avec les LFI, ou tout simplement une rivalité locale de gauchos, voire un coup monté des LFI pour se victimiser.
Mais l’appel de Cadalen, qui a un vague titre d’enseignant vacataire et n’a donc jamais bossé de sa vie, est intéressant. Il y a bien longtemps qu’après une agression politique, un élu LFI avait demandé qu’on retrouve les agresseurs.
Nous nous souvenons, en Bretagne, d’une attaque d’un meeting de Jordan Bardella, avec voitures brûlées, sans la moindre protestation.
De même que l’attaque d’une signature d’Éric Zemmour à Brest même, qui aurait pu mal tourner…
De même qu’une autre attaque contre un meeting d’Éric Zemmour à Nantes…
De même que l’agression de deux militants de droite par vingt antifas à la faculté de Rennes. Regardez bien ce lynchage dégueulasse, qui ne verra aucune condamnation judiciaire, alors que les coupables sont parfaitement connus et identifiés.
De même que l’agression de manifestants hostiles à la venue de dizaines de clandestins africains à Callac ou à Saint-Brevin…
De même que les agressions contre la liberté de réunion lors des projections du film Silenced par Éric Mauvoisin, dans quelques villes bretonnes…
De même récemment que l’agression d’Erik Tegnér dans une fête locale, à Plouha…
Sans parler du flicage organisé par les antifas, avec la complicité de toute la gauche, et de la multiplication d’agressions individuelles contre des militants patriotes, souvent à dix contre un, avec des pratiques dignes de celles des racailles, leurs complices. Des méthodes de salauds.
Alors les gémissements du bien frêle Pierre-Yves Cadalen ne seront crédibles que quand lui et ses militants cesseront d’être les agresseurs de leurs opposants politiques. Tant que cela ne sera pas le cas, nous nous autoriserons à dire que les seuls « fascistes » – pour reprendre les propos de ce rigolo qui utilise des mots dont il ignore la signification – qui existent à Brest et dans toute la Bretagne sont les complices de ce député grotesque quand il essaie d’imiter son idole Mélenchon à la tribune.
Qu’on se le dise, les seuls « fachos », à Brest, en Bretagne et dans toute la France, c’est la bande des LFI, dont Cadalen, et tous leurs complices de gauche…