Le 10 septembre 2025, sur un campus de l’Utah, une balle a mis fin à la vie de Charlie Kirk, 31 ans, patriote américain, fondateur de Turning Point USA, voix de la jeunesse conservatrice. On ignore encore qui a tiré. Mais le geste, lui, dit tout : ce n’est pas un « fait divers ». C’est un symptôme. Celui d’une époque où la gauche n’argumente plus – elle élimine. Où le camp du Bien autoproclamé, persuadé d’incarner l’histoire et la morale, considère que tout ce qui s’oppose à lui doit disparaître.
L’assassin n’a pas seulement visé un homme. Il a visé une idée : celle qu’on peut encore débattre, que la vérité peut se dire face au wokisme, à l’égalitarisme et au mensonge progressiste. Charlie Kirk en faisait la démonstration chaque jour : sur les campus, dans les médias, dans ses podcasts, il affrontait la gauche non pas avec des cocktails Molotov, mais avec des arguments, de l’humour et un sourire. Cela suffisait à signer son arrêt de mort.
La gauche : de la Terreur à la censure, une constante historique
L’histoire est limpide : la gauche vit de la violence. La Révolution française et sa guillotine, Lénine et son goulag, Mao et ses purges, les milices antifas et leurs coups de poing, les activistes pro-palestiniens qui menacent dans nos rues : toujours la même logique. Quand elle se croit investie d’une mission sacrée, la gauche se donne le droit de violenter, de tuer, d’intimider, de réduire au silence.
C’est sa nature profonde. Le gauchisme n’est tolérant sur le papier que lorsqu’il domine. Dès qu’il est contesté, il sort les griffes. Il hurle au « fascisme » pour mieux légitimer la violence. Il arrache les drapeaux, insulte les patriotes, agresse les journalistes non-alignés, menace les familles. Charlie Kirk en a payé le prix. Demain, ce pourrait être n’importe lequel d’entre nous.
Cesser d’être des victimes consentantes
La droite, en Europe comme en Amérique, doit cesser de jouer les vierges effarouchées, de se draper dans une posture de victimes pleurnichardes. Nous sommes attaqués, ciblés, haïs. Le comprendre est la première étape. La seconde est d’agir. La gauche ne débat pas, elle combat. Alors pourquoi feindre de croire encore à un dialogue ? Le temps des « conversations civilisées » est révolu.
À chaque coup porté, il faut répondre par une mobilisation accrue, une détermination sans faille. Pas de soumission, pas d’excuses, pas de concessions. Les prochaines années seront rudes : elles opposeront un camp enraciné dans l’identité, la liberté, la vérité, à une gauche hystérique, droguée au ressentiment et au goût du sang.
Charlie Kirk est tombé parce qu’il incarnait ce que la gauche ne supporte pas : la jeunesse de droite, belle, joyeuse, confiante, prête à s’opposer au rouleau compresseur idéologique. Sa mort ne doit pas nous abattre, mais nous réveiller. Comme les attentats qui ont visé Trump, elle rappelle une évidence : la guerre politique n’est plus seulement symbolique, elle est physique.
Alors, cessons de nous bercer d’illusions. L’ennemi est devant nous, et il nous considère comme des ennemis à abattre. À nous d’intégrer cette réalité, de cesser de tendre la joue, et de nous préparer aux luttes qui viennent. Charlie Kirk n’est pas seulement une victime : il est un signal, un martyre. L’histoire retiendra son nom, non comme celui d’un mort parmi d’autres, mais comme celui d’un homme tombé parce qu’il refusait de se taire.
Julien DIR
Photo : DR
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