Nous les avions surnommés « La Gauche Pol Pot » ces militants de l’Allier qui, derrière le syndicaliste racaille Laurent Indrusiak et l’enseignant dégénéré Vincent Présumey, se démenaient pour faire interdire le spectacle « Murmures de la Cité », à Moulins, sous le prétexte que le concepteur de la soirée ne véhiculerait pas une conception de l’Histoire conforme à la vision du monde des deux guignols.
Certes, Indrusiak et Présumey ont subi un cuisant échec, mais le problème, c’est que pendant les vacances, ils ont fait des petits, et qu’on les retrouve dans toute la France.
Ainsi, sous leur pression, le président de Frontières, Erik Tegnér, subit un véritable procès en sorcellerie de la part des gauchistes, mais aussi des juifs de gauche macronistes comme Yaël Braun-Pivet et Raphaël Enthoven, pour avoir affirmé tout simplement que Macron était l’enfant d’Alain Minc et de Jacques Attali, reprenant, sur l’argent roi et l’homme nomade, les propos antisémites les plus éculés, selon eux. Bien sûr, avec sa combativité habituelle, Erik a démasqué l’imposture, mais il est contraint de se défendre contre ces infamies véhiculées par de véritables antisémites déguisés en antisionistes.
Ne s’arrêtant pas là, ils ont trouvé une autre cible, le magazine Furia, animé par Laurent Obertone, le dessinateur Marsault et Papacito, qui ont osé prendre au mot la gauche, sur la liberté des crayons, et ont fait un journal proche de l’esprit Hara Kiri, mais de droite. Naturellement, SOS Racisme a tout fait pour faire interdire cet ouvrage, notamment en multipliant les démarches pour le couler.
Ceux-ci ont décidé de se battre, de ne pas mourir, et d’appeler leurs lecteurs à les aider à gagner cette bataille pour leur survie, mais aussi pour la liberté de la presse, de l’humour et de la caricature.
Voici les couvertures qu’ils étaient capable de nous proposer et les moyens de leur venir en soutien.
https://abo.lafuria.fr/nos-revues.html
Et comme si cela ne leur suffisait pas, ils ont décidé, ces petits Pol Pot qui rêvent de rééduquer les dissidents à la mode cambodgienne, que les Français n’avaient plus le droit de s’amuser, de chanter, de manger, de boire, de rire, autour de produits locaux et de bons vins, comme le leur permet « Le Canon Français ». Ils avaient donc intimidé le propriétaire d’un château, qui, en Bretagne, devait accueillir l’événement. Ils pensaient avoir gagné, vu que, peu courageux, les hôtes avaient décidé d’annuler l’événement. Mais c’était sans compter sur l’amour de la liberté de nombreux Bretons, qui, déjà excédés par l’interdiction d’une fête du Cochon, à Treffendel, à la demande de la député LFI Mathilde Hignet, n’avaient pas l’intention de plier l’échine devant les petits flics gauchistes.
Et finalement, l’événement se produira au château de Blossac, près de Rennes, où, devant le succès de l’événement, il a fallu faire un troisième repas, le dimanche 9 novembre, pour compléter ceux du vendredi et du samedi.
Moralité de ces trois événements : à chaque fois, la gauche veut salir et interdire d’expression ses adversaires politiques, et à chaque fois, loin de se coucher, ceux-ci se battent et sont en passe de gagner, contre la dictature des petits Pol Pot de gauche.