Le journal Libération nous livre un article qui ne peut passer inaperçu, au moins pour une seule phrase, glaçante d’obscénité dans son intention. « La guerre qui aurait dû mobiliser notre jeunesse, ce n’est pas celle de Gaza dont les enjeux de sécurité sont nuls pour l’Europe, c’est celle qui ravage l’Ukraine, car elle risque d’être mobilisée sur le front de l’Est d’ici 2030 ». Le répugnant ne se masque plus. Voilà donc le seul souci de la classe européiste, relayé par le journal de « toutes les gauches », l’unique dessein qu’elle entrevoit pour sa jeunesse, mourir dans une guerre absurde qui ne nous concerne pas, au profit de l’impérialisme Européen qui ne veut pas dire son nom et dont le but est d’étendre son hégémonie et sa pensée wokiste le plus loin possible, en broyant les souverainetés nationales.
Tout doit venir du haut de cette pyramide délétère et l’ensemble des ressources doit converger non pas vers l’éducation, la recherche, l’agriculture, la santé, mais vers la guerre ! Les peuples ne sont là que pour obéir et assouvir les rêves de gloire de cette engeance, héritière du III Reich et dont certains dirigeants actuels, ont d’ailleurs des ancêtres ayant œuvré directement et avec empressement à la grandeur de celui-ci. Le terme « qui aurait dû » sonne comme un regret, un échec qu’il faudra corriger et vite. Faute de pouvoir donner un avenir à cette jeunesse européenne, qui est de moins en moins nombreuse, il serait donc urgent de l’occuper dans une guerre sacrificielle. Pour cette jeunesse wokisée, mi-garçon, mi-fille, pétrie d’angoisse planéto-climatiques préfabriquées, il faudrait donc que la Russie soit l’ennemi désigné et pour cause, elle n’est pas dans le système financier mondialiste tenu par l’Occident et c’est cela qui est insupportable pour les manipulateurs de nos marionnettes au pouvoir. La Russie n’est pas tenue par la laisse de l’endettement, et cette exception doit être détruite.
Ne croyez pas ou plus que l’Europe veuille la paix, non, elle veut maintenir sa domination idéologique par la misère et la guerre. Elle ne dessine plus l’avenir pour une jeunesse d’excellence qui éclairerait dans l’innovation industrielle, les arts et l’élégance ! Non elle a besoin d’elle pour mourir et assouvir le plan des mondialistes. Nous le répétons au RPF, où est la menace russe ? Même l’enragée Kaja Kallas a fini par l’avouer il y a quelques jours, en précisant qu’une attaque Russe était effectivement improbable, mais comme pour se racheter de cet aveu, de poursuivre par un, « oui mais dans l’avenir »… Voilà nos dirigeants européens transformés en voyants, prédisant à l’envi, pandémie, catastrophes climatiques et guerre des années à l’avance, quand les spécialistes ont du mal à se prononcer à plus d’une semaine pour les températures à venir, comme pour tout le reste d’ailleurs.
Gouverner c’est prévoir direz-vous, oui, mais pas n’importe comment, pas sur des bases farfelues, des fantasmes, des menaces imaginaires. Non la Russie ne viendra pas nous attaquer, elle n’a que faire de nous, déclassés, sans richesse, et quand bien même nous en aurions à foison, elle n’a jamais été conquérante. Elle possède toutes les richesses que l’on peut trouver sur cette terre. Son territoire est le plus grand du monde, elle a bien assez à s’occuper. Mais une chose est certaine, attaquée, elle se défendra et ne laissera aucune chance au doute. Son abnégation et sa résilience n’ont pas d’équivalent dans notre vieille Europe. L’UE ne peut plus jouer que la carte de la menace russe pour se maintenir, car son modèle, du moins celui qu’elle a développé n’est que le copié collé de l’ancienne URSS dont on connaît l’issue. Il y a désormais seulement deux camps qui s’affrontent, celui des européistes pro guerre, et celui des souverainistes, défenseurs de la paix. Qu’on ne s’y méprenne pas, si Ursula et ses sbires veulent la guerre, c’est aussi pour masquer toutes les turpitudes financières mises en place, et que certains commencent à dénoncer. Une guerre contre la Russie n’aura rien à voir avec celle qui se déroule en Ukraine, et de cela, nos irresponsables ne semblent pas en avoir conscience. Il n’y aura pas de mobilisation sur le front de l’Est de notre jeunesse, il n’y aura pas des trains transportant dans une ferveur patriotique comme en 14, tout un troupeau de condamnés. Au RPF nous préconisons d’une part, le retour à la table des négociations des gens concernés, c’est à dire, pas nous et l’arrêt immédiat de toute aide militaire financière et un autre avenir pour nos enfants. Ces moyens doivent servir justement à l’éducation de notre jeunesse, à l’innovation. Ce n’est certainement pas la jeunesse d’importation qui ira, la fleur au fusil, se sacrifier dans une offrande spontanée en remerciement d’un accueil chaleureux. Il est temps de virer cette clique qui refuse de reconnaître les responsables du drame Ukrainien, responsables que Hollande et Merkel ont par ailleurs désigné sans ambiguïté, mais que nos actuels dirigeants se plaisent à nier. Ils ne savent que provoquer, comme des gamins capricieux à qui on passe tout, jusqu’à la réaction ultime, pour ensuite venir crier à l’agression, et se poser en victimes. Pour ces donneurs de leçons, il est impensable qu’on puisse leur en vouloir, puisqu’ils agissent en se parant du costume du justicier, voire de celui de l’Immaculée Conception. La guerre en Ukraine doit cesser et les déclarations belliqueuses des Européens contre la Russie également. Mais qui en Europe aujourd’hui pourrait s’opposer à cette folie ? Ils se sont tous tellement compromis dans leur désir de guerre. Et si Meloni et Orban prenaient la tête de ce mouvement ? Après tout ne s’est elle pas récemment dressée contre l’impératrice Ursula, jusqu’à la faire trembler, au point de lui rappeler que l’Italie n’était le terrain de jeu ni des Allemands, ni de ses propres ambitions ? Tandis que Orban désigne clairement la troïka européenne comme faiseuse de guerre. Il est temps qu’une figure emblématique de notre vieux continent nous engage sur une autre voie.
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