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Les narcotrafiquants, c’est l’immigration, l’islam, Macron, la gauche, Kerbrat…

Andy Kerbrat, député toxico de La France Insoumise, pris en flagrant délit d’achat de drogue à un mineur, toujours en fonction…

Une mobilisation a eu lieu dans de nombreuses villes de France, suite à l’assassinat de Mehdi Kessaci, frère d’un militant écologiste de Marseille. Et bien sûr, comme toutes les manifestations de rue, c’est la gauche qui essaie de récupérer la mise.

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Disons-le clairement, la plupart des manifestants sont des faux-culs qui gémissent sur des conséquences dont ils chérissent les causes. Ils sont descendus dans la rue parce que le frère de la victime est un militant écolo de Marseille. Mais ce sont les mêmes qui refusent toute perspective de remigration, qui soutiennent, comme David Belliard, autre écolo, les salles de shoot et qui protègent le député toxico de LFI Andy Kerbrat – qui a déposé une plainte contre Riposte Laïque – pourtant surpris en flagrant délit d’achat de drogue à un mineur, en plein Paris. Sans oublier Louis Boyard, dit Loulou la Came, qui se vantait d’avoir été dealer pendant ses études et qui a quand même été élu député, à défaut d’être devenu maire de Villeneuve-Saint-Georges.

Il suffit d’écouter Philippe de Villiers, à partir de la 23e minute, pour comprendre que les points de deal qui se multiplient partout en France, générant un chiffre d’affaires de 6 milliards d’euros dans tout le pays, ne sont pas le fruit du hasard.

Il faut se rappeler d’abord, ce que ne dit pas Philippe de Villiers, faute de temps, le sale boulot des médias de gauche, Libération en tête, pour encourager notre jeunesse à goûter à la drogue, d’abord douce, en faisant le parallèle avec l’alcool. C’est dans ce contexte que tous ceux qui s’opposaient à ce fléau étaient des ringards franchouillards qui refusaient à la jeunesse les plaisirs des planantes.

Voilà le résumé de tous les discours de gauche, et pas seulement, hélas, qui ont permis de ne pas combattre la drogue à la racine, mais d’accompagner les toxicomanes, les enfermant dans leur dépendance criminelle pour la société.

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Dans cette logique, nous avons vu, toujours sous la pression de la gauche, l’installation de salles de shoot, au cœur des grandes villes françaises, Paris en tête, y compris près des écoles.

Bien évidemment, comment ne pas faire le lien entre l’explosion du narcotrafic et l’invasion migratoire que subit notre pays ? Bien évidemment que la majorité des dealers, pour ne pas dire la totalité, provient d’immigrés africains, qu’ils soient issus de l’Afrique du Nord ou de l’Afrique subsaharienne.

Philippe de Villiers dit que le narcotrafic est aujourd’hui un État dans l’État, et parle de narco-villes. À cet État dans l’État s’ajoute celui des islamistes qui de plus en plus imposent leurs lois à la nation française dans les zones qu’ils contrôlent.

Cela fait donc deux États dans l’État en France, les deux liés par l’appartenance à la religion musulmane. On ne pourra donc pas faire la guerre aux narcotrafiquants si on ne fait pas parallèlement la guerre aux soldats d’Allah, souvent les mêmes.

Or, cette double cinquième colonne a le soutien des traîtres à la France, Macron et l’ensemble de la gauche qui, en favorisant l’immigration, ne font que renforcer le poids des soldats d’Allah et des narcotrafiquants.

Devant les images des marches blanches et les tweets faussement indignés de l’ensemble de la gauche, il est bon de se souvenir de ces quelques évidences, avant de comprendre que la sauvegarde de la France ne pourra se faire qu’avec des hommes à la tête de l’État prêts à utiliser tous les moyens d’exception pour gagner l’indispensable guerre que devra mener notre pays contre ceux qui veulent le détruire, que cela soit les conquérants ou leurs complices.