Notre ami Cédric de Valfrancisque, avec son style inimitable, accuse le marquis Morveux de l’Enarque, surnom qu’il donne à Macron, de vouloir SA guerre.
Il y a quelques jours, sur CNews, Philippe de Villiers nous expliquait que d’une part il n’y a aucun danger russe pour la France, et que d’autre part Choupinet (autre surnom de Macron), comme tous les tyrans rejetés par leur peuple, avait besoin d’une guerre contre un ennemi pour ressouder le pays autour de lui.
Des grands idéologues, qui n’avaient pas toujours tort, nous ont expliqué par le passé que les crises du capitalisme se réglaient toujours par la guerre. Par ailleurs, on pourrait leur rétorquer que le capitalisme n’a pas toujours existé, mais que les guerres ont toujours été présentes. Aujourd’hui, il n’est pas besoin d’être un grand stratège pour comprendre que l’Union européenne, et donc von der Leyen en tête, ont besoin d’une guerre pour aller au bout de leur projet, la destruction des États-Nations, et la construction d’une Europe fédérale.
Il n’est pas besoin d’être un grand stratège pour comprendre que Macron a besoin d’une guerre pour se maintenir au pouvoir en France, et occulter les résultats de sa politique criminelle de destruction du pays. Par ailleurs, la possible victoire du RN n’enchante pas les tenants du mondialisme, et ils préfèrent une guerre qu’une victoire patriotique en France qui ferait boule de neige dans l’ensemble de l’Europe et balaierait les européistes.
Il n’est pas besoin d’être un grand stratège pour comprendre que Starmer a besoin d’une guerre pour éviter l’arrivée de Farage au pouvoir, et détourner la colère du peuple anglais contre l’invasion migratoire subie par les classes populaires.
Il n’est pas besoin d’être un grand stratège pour comprendre que Merz, lui aussi en grande difficulté en Allemagne, et sous la menace de l’AfD, a besoin d’une guerre, pour réaffirmer la place dominante de l’Allemagne dans la grande Europe dont il rêve.
Le prétexte pour les européistes est tout trouvé : un accord de paix, quel qu’il soit, ne leur garantirait pas, disent-ils, d’être préservés du danger Poutine. Ils annoncent même ouvertement, comme le minable général Mandon, que cette guerre éclaterait dans trois ans, ce que confirment des chefs militaires allemands. Et comme par hasard, la France comme l’Allemagne envisagent le retour du service militaire dans leurs pays respectifs…
Il n’est pas besoin d’être un grand stratège pour comprendre que Trump joue gagnant dans les deux cas. Si la guerre s’arrête, cela sera sa grande victoire, mais il a fait signer un accord à von der Leyen pour que l’Europe, qui devra se construire son armée, achète pour 750 milliards d’armes américaines !
Il n’est pas besoin d’être un grand stratège non plus pour comprendre que Poutine n’a pas l’ambition d’aller plus loin que les territoires ukrainiens gagnés, tout simplement parce que, même s’il le voulait, il n’a pas les troupes pour occuper tout l’Ouest de l’Europe. Mais par contre, si les va-t-en-guerre de l’Europe de l’Ouest continuaient leurs provocations, il est probable qu’il ne les laisserait pas se réarmer pour lui faire la guerre, et qu’il anticiperait.
Il n’est pas besoin d’être un grand stratège non plus pour comprendre que les peuples européens, principalement les Français, les Allemands et les Anglais, et ceux qui les suivront dans leur folie guerrière, sont en danger de mort, et qu’ils sont en légitime défense pour débarrasser leurs pays respectifs de Macron, de Merz et de Starmer.
Question de vie ou de mort…