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Quel est le salaud qui a donné l’ordre de perquisitionner Sylvie, 70 ans, à 6 h du matin ?

Décidément, le meurtre de Thomas à Crépol il y a deux ans aura montré toute la pourriture de l’État profond français. Nous avons d’abord vu la police et la justice s’acharner contre des jeunes patriotes qui étaient spontanément venus à Romans exprimer leur émotion devant le nouveau crime raciste qui avait coûté la vie à un jeune homme qui leur ressemblait.

Un dispositif policier énorme les attendait, une véritable souricière et plusieurs furent arrêtés, mis en garde à vue et passèrent en comparution immédiate où six d’entre eux furent condamnés à 10 mois de prison ferme et emprisonnés sur-le-champ ! Ils étaient jeunes salariés, étudiants, et l’État français a voulu d’abord montrer sa solidarité avec les jeunes du quartier de la Monnaie où se cachaient les assassins de Thomas avec la complicité de tout l’environnement islamisé de la cité.

Ensuite, nous avons eu droit au traitement médiatique à la Patrick Cohen, où les assassins musulmans sont devenus des sympathiques jeunes garçons inoffensifs, victimes du racisme des jeunes de Crépol, alors qu’ils voulaient s’amuser, et rien d’autre. Puis trois journaleux, Jean-Michel Décugis, grand reporter police-justice au Parisien, Pauline Guéna, scénariste et romancière et Marc Leplongeon, journaliste à L’Équipe publient Une nuit en France, un livre qui reprend les saloperies du service audiovisuel public et noie le poisson de manière scandaleuse.

On croyait avoir tout vu, et voilà que nous apprenons le harcèlement judiciaire dont a été victime une Française de 70 ans, Sylvie, qui, bouleversée, avait qualifié sur les réseaux sociaux les tueurs de Romans de « soldats d’Allah ». Il s’est trouvé un salaud, dont nous ignorons le nom et la fonction, pour donner l’ordre aux policiers d’aller perquisitionner la malheureuse dès le lendemain à 6 heures du matin et de la traiter comme une délinquante, avec garde à vue, mise en cellule, prise d’empreintes et différentes humiliations traumatisantes pour une dame peu habituée à faire face à de telles circonstances. Il s’est trouvé un procureur, et sans doute des associations dites antiracistes, pour déposer plainte contre elle. Il s’est trouvé des juges de la 17e chambre, que nous ne qualifierons pas, par prudence judiciaire, pour la condamner à 1000 euros d’amende et à indemniser, on ne sait à quelle hauteur, les salopards inculpés dans le meurtre de Thomas.

Heureusement, son avocat l’a encouragée à faire appel, ce qu’elle a fait. Et exactement comme lors du procès de notre fondateur Pierre Cassen, lui aussi lourdement condamné par la 17e chambre pour sa vidéo « Stop Covid Stop islam », il s’est trouvé des juges de la cour d’appel qui ont fait simplement du droit, et pas de la politique, et qui ont considéré, pour Sylvie, que ses propos n’incitaient pas à la haine, mais restaient conformes à la liberté d’expression. La sexagénaire a donc été relaxée, ce qui ne signifie pas pour autant que l’affaire est classée, car le parquet, comme il l’a fait pour Pierre, peut aller en Cour de cassation.

À travers ces trois événements, différents mais complémentaires, on se rend compte de toute la pourriture de l’État profond français, dont la haine pour les Français est égale à la complaisance complice qu’ils manifestent vis-à-vis de ceux qui tuent nos enfants.

Dernier détail, en forme de bouquet final, un des membres du commando des assassins, en prison depuis deux ans, vient d’être libéré, en plein respect de la loi, puisqu’un mineur ne peut rester plus de deux ans en garde à vue avant son procès.

https://www.fdesouche.com/2025/11/26/meurtre-de-thomas-a-crepol-un-des-mis-en-examen-remis-en-liberte/

On préfère ne pas imaginer ce qui peut se passer dans la tête des parents de Thomas Perroto…

Cyrano

https://ripostelaique.com/quel-est-le-salaud-qui-a-donne-lordre-de-perquisitionner-sylvie-70-ans-a-6-h-du-matin.html

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