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Immigration : Ursula von der Leyen veut encore ouvrir les vannes – un nouveau pas dans la dérive autoritaire de l’Union européenne

von der Leyen

L’Union européenne, sous la direction d’Ursula von der Leyen, poursuit son cap : davantage d’immigration, davantage de décisions centralisées, et toujours moins de considération pour la volonté populaire. À Bruxelles, lors d’une conférence internationale consacrée à la lutte contre le trafic de migrants, la présidente de la Commission européenne — rappelons-le, jamais élue par les citoyens européens — a dévoilé un nouveau projet : faciliter l’arrivée massive de travailleurs indiens en Europe.

La thèse de von der Leyen : davantage d’immigration “légale” pour réduire l’illégale

Selon la présidente de la Commission, la solution aux flux irréguliers serait… d’en ouvrir davantage.
Elle a plaidé pour « plus de passerelles » entre l’Europe et l’Inde, défendant l’idée que les économies européennes du futur manqueraient de main-d’œuvre locale et devraient donc faire appel à des travailleurs venus d’Asie.

L’UE va ainsi mettre en place un système baptisé “Talent Pool”, destiné à mettre en relation entreprises européennes et travailleurs non européens.
Première étape : l’ouverture d’un bureau spécial en Inde, chargé d’organiser l’arrivée de ces travailleurs.

Von der Leyen a présenté ce dispositif comme un modèle : « Cela pourra servir de blueprint pour des partenariats avec d’autres pays. »

En clair : si l’expérience indienne fonctionne, d’autres corridors migratoires pourraient suivre.

Une justification fragile – et un discours déconnecté des réalités

L’argument selon lequel plus d’immigration “légale” réduirait l’illégale est très loin de faire consensus — et von der Leyen ne fournit aucune donnée probante pour le soutenir.
D’autant que les chiffres officiels contredisent largement son discours :

  • 140 500 illégaux détectés en Europe l’an dernier venaient de Syrie ;

  • Seulement 15 080 venaient d’Inde — le pays ciblé par Bruxelles pour davantage d’immigration ;

  • Les Indiens figurent déjà parmi les premiers bénéficiaires de permis de séjour dans l’UE : 192 400 en un an, juste derrière les Ukrainiens.

Autrement dit : la Commission prétend résoudre un problème… que les Indiens ne posent pas.
Et continue d’imposer sa feuille de route migratoire sans consultation démocratique, ni débat public.

Pourquoi l’Inde ? Parce que la main-d’œuvre y est moins chère

Aux États-Unis, un débat brûlant a lieu depuis des années autour du programme H-1B, massivement utilisé pour importer des travailleurs indiens dans la tech.
Des enquêtes ont révélé :

  • des salaires bien inférieurs à ceux des travailleurs américains ;

  • une pression à la baisse sur les rémunérations locales ;

  • et même des situations où des employés américains doivent former leurs propres remplaçants étrangers avant d’être licenciés.

Ce modèle, vivement critiqué outre-Atlantique, est précisément celui que von der Leyen propose d’importer en Europe — au mépris total de la jeunesse européenne déjà confrontée au chômage, à la concurrence internationale et à la précarité salariale.

Une présidente non élue qui engage pourtant l’Europe entière

Ursula von der Leyen continue de piloter l’Union européenne comme une structure technocratique détachée des peuples.
Son mandat a été marqué par :

  • des décisions prises hors de tout contrôle citoyen,

  • une concentration inédite des pouvoirs,

  • des négociations menées dans l’opacité,

  • et une orientation systématique vers l’idéologie mondialiste :

    plus d’ouverture, plus de dépendances extérieures, plus de normes, plus de migrations.

Une ligne politique rejetée massivement par de nombreux peuples européens lors des dernières élections, mais continuellement imposée depuis Bruxelles par un appareil administratif verrouillé.

Une Europe qui importe ses déséquilibres économiques

Le parallèle avec les États-Unis est éclairant.
Là-bas, face à l’explosion de la concurrence déloyale et à la colère des travailleurs américains, Donald Trump a récemment imposé une taxe de 100 000 dollars par employé aux entreprises ayant recours aux visas H-1B.

En Europe, Ursula von der Leyen fait l’inverse :
elle subventionne les mécanismes qui organisent la mise en concurrence des travailleurs européens avec des salariés venus du bout du monde.

C’est une politique assumée, idéologique, et désormais présentée comme inévitable.

Une Europe sous pilotage automatique, contre ses peuples

Ce nouveau dispositif migratoire illustre parfaitement le fonctionnement actuel de l’Union européenne :

  • les peuples n’ont pas demandé plus d’immigration ;
  • les gouvernements n’ont pas été consultés ;
  • le Parlement européen n’a pas été au centre de la décision ;
  • mais la Commission fonce, convaincue d’avoir raison contre tous.

C’est cela, la dérive autoritaire dénoncée depuis des années : une Europe gouvernée par une présidente que personne n’a élue, mais qui se permet de redéfinir la démographie du continent.

Illustration : DR
[cc] Article relu et corrigé (orthographe, syntaxe) par ChatGPT.

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