
Imagine-t-on, sous prétexte qu’à l’Assemblée nationale le toxicomane LFI Andy Kerbrat aurait pu contaminer tout le troupeau de députés, qu’on décide d’abattre les 577 élus du peuple pour préserver le pays ?
Imagine-t-on, sous prétexte qu’au Sénat le communiste Pierre Ouzalias serait atteint du syndrome de Gilbert, ce qui explique qu’il ait vomi alors qu’il présidait la séance à minuit, qu’on décide d’abattre tout le troupeau de sénateurs pour préserver le pays ? Certes, on n’est pas certain que beaucoup de Français pleureraient, ravis qu’on puisse faire des économies en se débarrassant d’une majorité de nuisibles… Mais cela serait quand même médicalement stupide !
Et bien c’est ce qui se passe avec les troupeaux de vaches. Sous le prétexte d’une maladie qui ne représente que 5 % de risque de transmission aux autres bêtes, et qui ne pas peut être contaminer l’homme, on décide donc de faire abattre tout le troupeau. Il paraît que ce sont les ordres de Bruxelles et qu’il faut obéir !
Il y a une similitude intéressante à faire entre la crise du Covid et les réponses gouvernementales, et la crise de la dermatose et l’attitude du régime. Personne n’a oublié les discours de la peur orchestrée par Macron et son Nous sommes en guerre, ni la communication du fameux docteur Jérôme Salomon, surnommé le croque-mort, qui, tous les soirs nous énumérait d’une voix d’outre-tombe les victimes du jour.
C’était le même matraquage médiatique avec Buzyn puis Véran qui nous expliquaient, soutenus par les médecins de plateau, qu’il fallait d’abord être confiné, puis avoir un masque, puis respecter les gestes barrière, puis accepter le passe sanitaire, puis l’injection obligatoire d’un vaccin qui ne protégeait pas les vaccinés. C’était la même propagande Tous vaccinés, tous protégés, et les mêmes insultes contre ceux qui, tels les professeurs Raoult et Perronne, osaient remettre en cause le discours officiel. On envoyait sur les antennes des roquets comme le docteur Jérôme Marty pour les insulter. On virait les soignants et les pompiers qui refusaient le vaccin, et on obligeait, le pistolet sur la tempe, des millions de Français à se faire piquouzer. Et sur les réseaux sociaux, des agents de Big Pharma comme Nathan Peiffer-Smadja – qui poursuit Riposte Laïque devant les tribunaux parce que nous avons révélé ses conflits d’intérêt – poursuivait le travail en diffamant tout médecin qui sortait du discours médicalement correct.
Aujourd’hui, tout le monde sait que le confinement ne servait à rien, que le masque était inutile et que les effets secondaires du prétendu vaccin produisent des dégâts parfois irrémédiables chez trop de vaccinés.
Cinq ans plus tard, nous entendons le même refrain au sujet d’un autre virus, qui touche essentiellement les bovins, la dermatose nodulaire. C’est la même logique du tout répressif de la période Covid, sauf que cette fois, au lieu des mesures liberticides, le régime a décidé d’abattre des troupeaux entiers, pour un cas détecté. Nous en serions à déjà 3000 bêtes abattues et la folie continue. Main dans la main, la ministre de l’Agriculture, Annie Genevard, une LR, et le chef collabo de la FNSEA, Arnaud Rousseau, conjurent les paysans de laisser des vétérinaires assassins abattre tout le troupeau, parfois dans des conditions barbares.
Mais d’autres, comme notre ami le docteur Alain de Peretti, président de Vigilance Halal, ou le combatif éleveur Pierre-Guillaume Mercadal, ont un tout autre discours et démasquent la propagande officielle avec des arguments scientifiques bien plus valables que ceux des experts du régime. Ce sont les nouveaux Raoult-Perronne !
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Ce qui est important, c’est que les paysans, un premier temps abasourdis par la violence qui leur était imposée, sont en train de redresser la tête, de montrer qu’ils ne veulent pas mourir et qu’ils refusent de voir l’État mobiliser son armée, comme dans l’Ariège, pour abattre deux cents bêtes. La mobilisation progresse, et dans toute la France, derrière la Coordination rurale et la Confédération Paysanne, les paysans sortent les tracteurs, les fourches, le purin, et en font largement profiter tous les symboles d’un État totalitaire qui a décidé de tuer la France et ses paysans pour assouvir son projet mondialiste. Même les étudiants des écoles agricoles sortent dans la rue et participent aux barrages qui se multiplient dans toute la France.
Hier, les collabos qui dirigent ce pays étaient au service de Big Pharma pour écouler des millions de faux vaccins inutiles et imposer, par la terreur, la soumission aux Français, aujourd’hui ils sont au service des grands groupes de l’agro-alimentaire pour exterminer les troupeaux français et écouler la production ukrainienne ou brésilienne, entre autres, mettant fin à la souveraineté alimentaire française et à notre mode de vie, basé sur la qualité exceptionnelle de la viande de nos campagnes.
C’est Marine Le Pen qui a le mieux compris la colère des paysans : « Entre le Mercosur, la baisse annoncée de la PAC, la multiplication des réglementations et des normes, la concurrence déloyale qu’ils subissent, les agressions de la part des talibans écologistes et j’en passe, ils n’en peuvent plus ».
Tous les Français ont vu la différence de moyens mis contre les nôtres, hier les Gilets jaunes, aujourd’hui les éleveurs et agriculteurs, et la complaisance de la clique Macron avec les racailles et les dealers, pour comprendre que leur pire ennemi, c’est Macron et son régime, et qu’il faut les abattre (politiquement, bien sûr) définitivement pour sauver la France et ses paysans.
