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  • Qui a dit « Si une crise profonde se produisait, nous quitterions la présidence » ?

    François Hollande a-t-il seulement réalisé - ne serait-ce qu’un instant - qu’il avait été investi de la fonction suprême ?
    « Moi, triste président »… Tel est apparu François Hollande lors de son allocution télévisuelle post-élections municipales. Mine de chien battu, ton désabusé et gigotant d’un pied sur l’autre comme souffrant d’une envie pressante, faute d’avoir pris ses précautions… On attendait un mea culpa, une fuite en avant ou un indice d’espoir : on a eu droit à un peu tout cela à la fois, mais ânonné sans grande conviction. Lui-même n’y croyant plus tellement, à l’évidence.
    Lui qui se targuait de vouloir être un président normal, au moins aura-t-il pleinement réussi, reconnaissons-le : il est bien un président dans la lignée de ses prédécesseurs, et même beaucoup plus – aussi incompétent, aussi bonimenteur, seulement un peu plus rapidement décevant !
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  • La tombe du chef des Huns Attila découverte à Budapest

    La tombe du chef des Huns Attila découverte à Budapest

    Des ouvriers du chantier de construction d’un pont dans la capitale hongroise ont découvert une sépulture datant du Vie siècle. Les archéologues considèrent qu’il s’agirait de la sépulture du grand chef des Huns Attila.

    « Nous avons découvert de nombreuses squelettes de chevaux, des armes et d'autres objets qui appartiendraient aux Huns. Notamment une grande épée en fer météorique, qui pourrait appartenir à Attila », a indiqué l’historien de l’Université de Budapest Albrecht Rümschtein.

    Selon les chroniques, Attila serait mort en Pannonie, sur le territoire de la Hongrie moderne, en 453. L’empire des Huns s’est désintégré peu après sa mort.
    Lire la suite: http://french.ruvr.ru/news/2014_03_28/La-tombe-du-chef-des-Huns-Attila-decouvert-a-Budapest-7608/

  • La France devient un pays pauvre

    La Tribune le constate en observant le marché automobile :

    "la France prend des allures de pays pauvre. Les petites voitures d'entrée de gamme ont représenté 55% des immatriculations totales de voitures neuves au premier trimestre, selon les données du CCFA (Comité des constructeurs français d'automobiles). Et ce, contre 52% il y a un an et 51% en 2012. Un poids énorme et démesuré. La France s'éloigne de la moyenne ouest-européenne, où les "petites" (type Renault Twingo, Peugeot 208) représentent à peine 43% des ventes.

    Toutes les autres catégories de voitures chutent en France (proportionnellement) dans l'Hexagone. Les "compactes" (genre Renault Mégane, Peugeot 308) ne sont plus qu'à 30% du total, contre 31% un an auparavant. [...] Les familiales (gamme "moyenne supérieure" type Peugeot 508) pèsent  seulement 12% du marché total en France, contre 13% en 2013 et... 16% en Europe occidentale. Enfin, le "haut de gamme", spécialité des constructeurs allemands que les français ne concurrencent plus, il est réduit à presque rien: 4% à peine du marché français, contre 5% il y a deux ans et 11% en moyenne pour l'Europe occidentale [...]

    Favorisés par les pouvoirs publics à coup de bonus-malus et de discours et mesures anti-automobiles, ces petits modèles à zéro marge - sauf les Dacia à bas coûts - sont en grande partie produits... hors de France! L'orientation vers le bas du marché hexagonal est donc une mauvaise nouvelle pour le "made in France". [...]"

    Michel Janva

  • Sur Franz Xaver von Baader

    27 mars 1765 : Naissance à Munich de Franz Xaver von Baader. Ingénieur des mines de formation, il se révèle comme philosophe en 1814, quand il soumet un mémoire aux Empereurs d’Autriche et de Russie et au Roi de Prusse, afin de pérenniser l’idéal de “Sainte-Alliance” continentale. Pour forger définitivement ce bloc véritablement eurasien (avant la lettre!), Baader étudie la théologie et plaide pour un rapprochement entre le catholicisme occidental et l’orthodoxie russe, que Rome refusera. Baader deviendra ainsi un adversaire résolu de la Papauté romaine, ennemie de l’unification européenne et eurasiatique. La théologie de Baader puise ses sources chez les Pères de l’Eglise et chez les mystiques allemands du moyen-âge. Hostile au cartésianisme et au rationalisme des Lumières, Baader croit à la révélation divine et pense que l’homme participe du divin, comme le pensaient aussi les mystiques médiévaux. L’homme est donc un être intermédiaire entre la sphère du divin et celle de la nature. L’homme est une part d’un donné préexistant, dont il s’agit de maintenir l’harmonie. L’Etat doit tenir compte de ce donné et ne jamais succomber aux sirènes des idéologies mécaniques qui se revendiquent fallacieusement d’un “état de nature” et d’un “droit naturel”. Les Etats doivent se donner des constitutions particulières, fruits organiques de leur propre histoire, et non pas viser à adopter tous un modèle préétabli, unique, de constitution, qui serait considéré comme une panacée valable en tous temps et tous lieux. Baader s’insurgera très vite contre les misères générées par la société industrielle et réclamera l’avènement d’un Etat qui ait une politique sociale bien définie, afin d’éviter la prolétarisation des masses. Franz Xaver von Baader meurt à Munich le 23 mai 1841.

  • Le Kosovo, c'est la Serbie

  • Plante verte mondialiste ou écologiste, il faut choisir !

    « La véritable passation de pouvoir elle s’est faite depuis longtemps de Paris vers Bruxelles » notait avec raison hier soir Florian Philippot sur I-télé . Dans les faits, au nombre des changements opérés dans le cadre du remaniement, c’est Ségolène Royal qui a été  nommée ministre de  l’Écologie, du Développement durable et de l’Énergie, tandis que  Benoît Hamon  remplace Vincent Peillon à  l’Éducation « nationale ».   Arnaud Montebourg se retrouve   à la tête du ministère (élargi)  de l’Économie, des  Finances ,  du redressement productif et numérique, flanqué de son ennemi  Michel Sapin qui quitte le ministère de l’Emploi et succède à Pierre Moscovici comme ministre des Finances et des Comptes publics.  François Rebsamen  fait  son entrée au gouvernement comme ministre du  Travail,  de l’emploi et du  dialogue social, Benoit Cazeneuve est nommé à l’Intérieur.  Telle est la réponse  de  François Hollande  à la  raclée subie dans les urnes ces deux derniers dimanche. Un écran de fumée, une  pièce de théâtre, à l’heure ou 80% des lois qui s’appliquent en France émanent  des diktats  de la Commission européenne.

      Une réalité confortée par l’arrivée de Manuel Valls à  Matignon,  simple changement  dans la  continuité. Une décision qui souligne l’inféodation dramatique de notre pays à l’idéologie européiste ultra libre-échangiste qui ne s’embarrasse même plus de faux semblant. Invité  de BFMTV et RMC, le journaliste le co-fondateur de Médiapart,  Edwy Plenel, affirmait vendredi comme l’avait fait Jean-Marie Le Pen,  qu’ «il  n’y aura pas de Manuel Valls Premier ministre, c’est impossible. La ligne Manuel Valls a été sanctionnée (par les électeurs) ». Ce choix suicidaire -voir notre article publié hier- en dit long sur l’impasse dans laquelle les partis euromondialistes, et M.  Hollande depuis 2012, ont plongé notre pays.

     Premier  échec pour Manuel Vals, le Bureau exécutif  d’EELV, sous l’impulsion de sa nouvelle dirigeante Emmanuelle Cosse, des ministres démissionnaires Cécile Duflot et Pascal Canfin ,  ont refusé l’offre qui leur était faite d’accueillir des membres de leur formation  dans le nouveau gouvernement -7 voix contre, 3 voix pour et 5 abstentions.  Ceux qui passeront outre seront exclus du parti  était-il précisé. Un choix tactique qui s’explique par le pari de certains dirigeants écolo-gauchistes ne pas être a assimilés à ce gouvernement démonétisé lors des élections européennes, afin de tenter de sauver les meubles le 25 mai…pas certain que cela suffise

     Une décision qui a suscité la colère très ambitieux président du groupe EELV au SénatJean-Vincent Placé, qui se voyait déjà fumant  le cigare sous les lambris d’un ministère , de la grande majorité des  16 députés écolo-gauchistes.  François de Rugy, coprésident du groupe écologiste à l’Assemblée nationale, a parlé  d’une  «décision incompréhensible», d’un   «mauvais coup pour l’écologie et les écologistes», position partagée par l’autre co-présidente, Barbara Pompili . «Je suis abasourdi par l’immaturité de mon propre parti» a renchéri son collègue François-Michel Lambert.

     Ce matin dans sa chronique sur Europe 1, juste avant que les premiers nouveaux nommés au gouvernement soient annoncés,  le député européen Vert Daniel Cohn-Bendit a également jugé que ce refus de participation était   une faute majeure…qui n’empêchera pas M. Valls de trouver une plante verte, un(e)  écologiste (hors EELV)  à faire figurer dans son gouvernement…

     M. Cohn-Bendit a souligné que  le nouveau Premier ministre n’avait pas lésiné sur  l’importance des cadeaux   proposés à EELV  : 25% des députés élus à la proportionnelle, « condition de la survie des Verts »,  enterrement de première classe du projet d’aéroport de Notre-Dame des Landes,  un(e)  écolo-gauchiste nommé à la tête d’un super ministère de l’Environnement élargi avec l’Energie et la possibilité de conduire la « transition énergétique ».

     Nous l’avons souvent rappelé sur ce blog, il n’est d’écologie véritable que nationale.  L’écologie fut ainsi le thème de la première publication du Front National en 1974. Il existe une   cohérence complète  entre la vision du monde qui est celle du FN et les questions écologiques, un  lien évident entre la  défense de l’identité nationale et celle de notre environnement. Le patrimoine de la France s’incarne dans un peuple et dans une civilisation, mais aussi dans un terroir, avec ses paysages, sa faune et sa flore. Il est ainsi totalement antinomique de se dire  défenseur de l’environnement et d’être partisan de cette Europe bruxelloise soumise aux oukases mondialistes et aux dogmes ultra libre-échangistes.

     A contrario, explique Bruno Gollnisch,  le programme défendu par le FN pour protéger nos compatriotes des ravages de la mondialisation, la mise en place d’un protectionnisme intelligent,  s’insère dans une logique de préservation de l’environnement, notamment en abaissant considérablement le coût énergétique et la pollution générés par les transports de produits que nous pouvons fabriquer ou cultiver sur nos territoires et donc au plus près de nos concitoyens. Un argument de plus constate le député FN, rarement évoqué par les écolo-mondialistes, en faveur du «produisons et achetons français», de la relocalisation, de la  « préférence nationale et communautaire »

     Dans la même optique écologiste, le FN est  aussi favorable au rétablissement de nos frontières en ce qu’elles  permettent aussi   d’imposer des droits de douane spécifiques sur les marchandises produites dans les pays ne respectant pas les normes environnementales.

     A cette aune, l’idéologie mondialiste dont est porteuse la mouvance écolo-gauchiste dans notre pays suffit à la disqualifier et à la faire apparaître pour ce quelle est : une escroquerie politique et intellectuelle de plus.

    http://gollnisch.com/2014/04/02/plante-verte-mondialiste-ecologiste-il-faut-choisir/

  • Valls à Matignon : «C'est un homme dangereux», assure Marine Le Pen

    François Hollande l'a annoncé lundi soir lors d'une allocution télévisée : Manuel Valls va prendre la place de Jean-Marc Ayrault à Matignon, à la tête d'un «gouvernement de combat».
    Ce qui n'est visiblement pas du goût de Marine Le Pen qui s'est fendue, avant même le discours élyséen, d'une intervention en direct. «Manuel Valls est un homme dangereux», a-t-elle expliqué sur BFM TV.
    Manuel Valls «n'a aucun respect pour les libertés publiques», a-t-elle renchéri, ayant encore en tête la tournée «anti-FN» du premier flic de France avant les municipales. Selon la présidente du Front national, changer de Premier ministre «ne changera rien car (...) c'est un changement de politique que les Français attendent et pas tant un mercato gouvernemental. (...) D'après ce que nous entendons, François Hollande n'entend pas changer de politique et continuer à mener une politique d'austérité», a-t-elle insisté.
    Valls «plus compatible avec l'UMP que les écolos»
    Immigré catalan tenant d'un socialisme français à la Tony Blair, Manuel Valls a souvent choqué la gauche à son poste de premier «flic» de France au ministère de l'Intérieur. Parfois plus populaire à droite qu'à gauche, cet homme à l'ambition assumée, au ton parfois cassant, a tracé pendant près de deux ans à cette fonction son sillon vers Matignon, le siège du gouvernement, au rythme des polémiques suscitées par sa fermeté. Manuel Valls n'est «peut-être pas compatible avec les écolos mais il est compatible avec l'UMP», a ainsi taclé Marine Le Pen qui ne comprend pas que François Hollande puisse vouloir mettre un homme à Matignon qui «a totalement échoué dans sa mission de ministre de l'Intérieur».
    La ministre du Logement, Cécile Duflot (EELV), a plusieurs fois été en conflit avec son collègue de l'Intérieur. Elle ne devrait ainsi ne pas rester au gouvernement. Les dissensions entre les deux ministres avaient éclaté au grand jour lors de l'affaire Leonarda autour notamment de la condition des Roms lorsque Cécile Duflot avait critiqué l'action de la police et donc du ministère de l'Intérieur.

    ICI videos : Marine Le Pen et F. Philippot

    Source : Le Parisien : http://www.leparisien.fr/politique/valls-a-matignon-c-est-un-homme-dangereux-assure-marine-le-pen-31-03-2014-3728559.php

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EFAyFpuAVkKuuEIIEs.shtml