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  • Valls prend les mêmes et recommence

    • Laurent Fabius garde le ministère des affaires étrangères et du développement international.
    • Ségolène Royal, ministre de l'écologie, du développement durable et de l'énergie
    • Benoît Hamon ministre de l'Education nationale, enseignement supérieur et recherche.
    • Michel Sapin ministre des finances et des comptes publics.
    • Arnaud Montebourg, ministre de l'économie 
    • Marisol Touraine ministre des affaires sociales.
    • François Rebsamen (ancien de la LCR et franc-maçon), ministre du travail, de l'emploi et du dialogue social.
    • Jean-Yves Le Drian reste ministre de la défense.
    • Bernard Cazeneuve, ministre de l'intérieur
    • Najat Valaud-Belkacem est ministre des droits des femmes, de la ville, de la jeunesse et des sports.
    • Marilyse Lebranchu, ministre de la décentralisation, de la réforme de l'Etat
    • Aurélie Filipetti reste ministre de la culture et de la communication.
    • Sylvia Pinel sera ministre du logement et de l'égalité des territoires.
    • Stéphane Le Foll, ministre de l'agriculure, de l'agroalimentaire et de la forêt. Et porte-parole.
    • Georges Pau-Langevin, ministre des outre-mer
    • et Christiane Taubira reste à la Justice !

    Là on sent combien François Hollande est sourdingue.

    Et après la débacle de la gauche aux élections européennes, il recommence ?

    Seulement deux nouveaux entrants dans le nouveau gouvernement : Ségolène Royal, qui n'est pas née de la dernière pluie, et François Rebsamen, sénateur-maire de Dijon, ancien trotskiste et toujours franc-maçon.

    Ceux que l'on ne verra plus : Vincent Peillon, Pierre Moscovici, Nicole Bricq, Geneviève Fioraso,  Cécile Duflot, Philippe Martin.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2014/04/valls-prend-les-m%C3%AAmes-et-recommence.html

  • Les 5 enseignements de la dernière consultation électorale, municipales 2014.

    1/ L'abstention, tant au premier tour qu'au second, fut massive. S'il en est beaucoup pour l'avoir fait remarquer, ils oublièrent, je cite de mémoire, que 15% des Français ne sont pas ou plus inscrits sur les listes électorales. Par voie de conséquence, pour un taux d'abstention de 35%, c'est 50% du corps électoral qui ne s'exprime pas ou plus. Ainsi, quand bien même un élu atteint la barre des 60%, ce qui n'est pas si fréquent, qu'il n'a le soutien que de 30% de la population en âge de voter, soit moins du tiers. Si le discrédit qui touche la classe politique est une des explications possibles, et on songe notamment aux différents et récents scandales qui éclaboussent aussi bien gauche, droite et centre, il est d'autres raisons. Les Français comprennent de moins en moins que votant pour une autre équipe, la politique menée reste la même. Critiquer simplement François Hollande au motif de l'atlantisme, de la politique d'austérité ou du matraquage fiscal effectué par l'intermédiaire de taxes, ce serait omettre qu'il met ses pas dans ceux de son prédécesseur, Nicolas Sarkozy. Les études en psychologie ont montré que si le Peuple met du temps à assimiler une nouvelle notion, une fois celle-ci mémorisée, il lui est difficile d'en changer, même si la nécessité l'impose. C'est ce qui advient avec le référentiel gauche/droite qui est vieux de maintenant plus de deux siècles. Raison d'espérer, le vote en faveur du Front National nous indique que la mue est en train de s'opérer et que les yeux se dessillent. Rappelons aussi que même les conditions météo ne peuvent expliquer cette si grande abstention …
    2/ Les élections municipales étant quand bien même locales que le climat politique national interfère sur la nature du vote exprimé. On ne me fera pas accroire que tous ces nombres maires estampillés socialistes furent durant les six dernières années mauvais, expliquant ainsi leur échec. Bien sur une explication a été déjà donnée sur Voxnr (1) mais elle n'est pas la seule. L'opposition de plus en plus flagrante a une politique qui se définissait initialement comme celle du changement, ne fut pas telle, et les Français ont donc sanctionné. Cet échec cuisant plaît beaucoup au sein de la mouvance. Si l'on peut comprendre la joie suite à l'énoncé des résultats, il ne faudrait pas oublier l'échéance majeure qui se déroulera lors des élections présidentielles de 2017. Puisque l'actuel gouvernement ne changera pas de politique, la nomination de Manuel Valls ne constituant qu'une enveloppe habillant le même produit, la gauche sera probablement absente du second tour en 2017. François Hollande ou un autre candidat présenté par le parti socialiste, à moins de se prévaloir d'une rupture radicale d'avec la période 2012-2017, ne pourront convaincre les Français. François Hollande est victime de ce que j'ai coutume d'appeler le « syndrome Jospin », homme habillé de gauche, ayant pratiqué une politique de droite, expliquant à l'époque l'important vote au profit du segment situé à gauche du parti socialiste. D'où le score désastreux de l'ancien premier ministre en 2002. Ce n'est donc pas tant Jean-Marie le Pen qui atteint lors de cette échéance un score d'exception (17%), expliquant ainsi sa présence au second tour, que le Caporetto jospinien, qui fut la conséquence de la présence du second tour du candidat du Front National. Par voie de conséquence, c'est dès maintenant qu'il faut se préoccuper de tuer la droite, l'autre forme d'hémiplégie qui touche depuis si longtemps la France. Si à mon avis, nous ne parviendrons pas à l'empêcher en 2017 d'accéder au second tour, il nous faut lui empêcher d'obtenir un bon score, ce de façon à ne pas lui donner une bonne dynamique initiale.
    3/ Fatalement, puisque gauche et droite furent présentes dans la plupart des villes, ce contrairement au Front National, parce que mouvement jeune et peu subventionné, la défaite de la gauche se traduisit par la victoire de la droite. Rappelons que c'est 155 villes de 9000 à 30 000 habitants qui basculèrent. Et au moins 46 de plus 30 000. Si la droite a donc des raisons d'être satisfaite, cela ne masque pas ses difficultés : sa victoire n'est pas vraiment et il faudrait bien mieux évoquer l'échec de la gauche. Copé et Fillon aiguisent leurs couteaux fratricides, avec Nkm en embuscade, et les électeurs de droite considèrent que Sarkozy, quand bien même leur chouchou, se devra de passer par les primaires. Un Sarkozy qui juridiquement apparaît aux yeux des Français comme de moins en moins clair. La victoire de la droite, peu contestable au vu des résultats obtenus, est donc tout à fait relative.
    4/ Le succès du Front National est lui flagrant. C'est une douzaine de villes qui sont acquises. Si ce score flatteur peu sembler peu élevé, il ne faut oublier ni le faible nombre de listes déposées à l'échelle nationale, ni l'avantage que constitue d'être déjà en place. A ce sujet, gageons que les maires Front National seront suivis de très près, à commencer par nos adversaires.
    5/ Il est maintenant temps de conclure par un cinquième paragraphe, les quatre précédents. L'avenir, par définition, se situe devant. Le maillage du territoire effectué par le Front National va crescendo et l'effet boule de neige va jouer de plus en plus. Ceux qui hésitaient à voter tricolore sont de plus en plus à franchir le pas. Ceux qui n'osaient dire leur sympathie, le font de plus en plus. Les Européennes ont toute chance de permettre au Front National de transformer l'essai inscrit lors des municipales. A très bientôt donc. Mieux, pour reprendre une expression en vogue : à très vite !
    Alain Rebours
    http://www.voxnr.com/cc/a_la_une/EFAyFEEZAAFlqMaUHO.shtml

  • Jean-Michel Vernochet sur les dessous géopolitiques de la crise ukrainienne


    Jean-Michel Vernochet sur les dessous... par ERTV

  • Le nombre de musulmans dans les prisons anglaises a doublé en dix ans

    Le ministère de la justice britannique indique que le nombre de musulmans dans les prisons britanniques a plus que doublé en 10 ans.

    Les musulmans représentent 4,7% de la population en Angleterre et au Pays de Galles et 14% des prisonniers. Il sont actuellement 12000 dans les prisons anglaises.

    De l’avis de plusieurs organisations, c’est une conséquence du racisme, de la discrimination et de l’islamophobie qui règneraient en Grande-Bretagne.

    PressTV - The Independent

    http://www.fdesouche.com/439999-le-nombre-de-musulmans-dans-les-prisons-anglaises-a-double-en-dix-ans

  • La mythologie du progrès repose sur l’idolâtrie du nouveau…

    Entretien avec Alain de Benoist, entretien réalisé par Nicolas Gauthier.
    À chaque élection, les hommes de gauche prétendent rassembler les « forces de progrès ». Mais un cancer peut, lui aussi, progresser ! Le progrès serait-il une fin en soi ?
    Les malheureux ne savent même plus de quoi ils parlent ! Historiquement, l’idée de progrès se formule autour de 1680, avant de se préciser au siècle suivant chez des hommes comme Turgot ou Condorcet. Le progrès se définit alors comme un processus accumulant des étapes, dont la plus récente est toujours jugée préférable et meilleure, c’est-à-dire qualitativement supérieure à celle qui l’a précédée. Cette définition comprend un élément descriptif (un changement intervient dans une direction donnée) et un élément axiologique (cette progression est interprétée comme une amélioration). Il s’agit donc d’un changement orienté, et orienté vers le mieux, à la fois nécessaire (on n’arrête pas le progrès) et irréversible (il n’y a pas de retour en arrière possible). L’amélioration étant inéluctable, il s’en déduit que demain sera toujours meilleur.
    Pour les hommes des Lumières, étant donné que l’homme agira à l’avenir de façon toujours plus « éclairée », la raison se perfectionnera et l’humanité deviendra elle-même moralement meilleure. Le progrès, loin de n’affecter que le cadre extérieur de l’existence, transformera donc l’homme lui-même. C’est ce que Condorcet exprime en ces termes : « La masse totale du genre humain marche toujours à une perfection plus grande. »
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  • Philippe Saurel à Montpellier – Le proche de Manuel Valls et le « vénérable » de sa loge maçonnique

    A Montpellier, le nouveau maire (divers gauche) s’appelle Philippe Saurel. Dissident socialiste, il est parvenu à s’imposer avec 37,54% des voix.

    L’homme méritera attention. D’une part, parce qu’il est un proche du nouveau premier ministre Manuel Valls. D’autre part, parce qu’il est un franc-maçon notoire.

    Se présentant volontiers comme « hors système », il en est au contraire un enfant chéri.

    Il doit sa carrière politique à Georges Frêche qui le fait élire en 1995 et le choisit comme adjoint aux affaires sociales, puis comme chargé de l’urbanisme et plus tard de la culture.  Grâce à un entourage qui veille sur lui, Philippe Saurel est élu au conseil général sans discontinuer depuis 1998 et est depuis 2012 député suppléant d’Anne-Yvonne Le Dain.

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  • L'impact de la loi Taubira en Bretagne

    En avril 2013, le démographe Hervé le Bras avait démontré, chiffres à l'appui, que le PS avait fait une erreur électorale énorme avec la loi Taubira, notamment en donnant l'exemple de l'Ouest de la France.

    L'analyse du second tour en Bretagne permet de vérifier la pertinence de cette démonstration. En Bretagne, lors des Municipales :

    • 27 villes ont basculé de la gauche vers la droite
    • 3 villes ont basculé de la droite vers la gauche

    En Bretagne, il y a 9 fois plus de villes ayant basculé à droite que de villes ayant basculé à gauche. Dans cette région ancrée à gauche depuis les années 70, l'impact de la loi sur la dénaturation du mariage est certain.

    Tout cela pour satisfaire un micro-lobby.

    Michel Janva

    http://lesalonbeige.blogs.com/my_weblog/2014/04/limpact-de-la-loi-taubira-en-bretagne.html

  • Les veilleurs place Vendôme

    Les Sentinelles seront ravies d'accueillir le successeur de Christiane Taubira et c'est pourquoi elles sont déjà sur place :

    IMG_3168Michel Janva

  • Avec la nomination de Valls, les rafles d’opposants politiques se trouvent légitimées

    Communiqué du Printemps français :

    S"En nommant Premier ministre Manuel Valls, François Hollande adresse deux messages aux français : le changement de civilisation préfiguré par la loi Taubira est son seul programme, il va donc continuer la même politique. Le Printemps Français dénonce l’ambition qu’exprime cette nomination d’achever la destruction du mariage, de la famille et de la filiation, qui sont le socle fondamental de toute humanité.

    La nomination de Manuel Valls à Matignon signifie que la politique du gouvernement ne s’éloignera pas d’un pas du programme de changement de civilisation engagé depuis 2012. Manuel Valls est au service de la même conception technicienne et idéologique de la personne humaine. Il s’est d’ores et déjà prononcé pour la PMA et l’euthanasie. L’enseignement du genre à l’école fait partie intégrante de sa vision de la République. Et il entend, comme il l’a prouvé lors de son passage au Ministère de l’intérieur, que la force publique s’emploie avec cynisme et brutalité à édifier cette république idéologique. Avec cette nomination, les rafles d’opposants politiques, les arrestations arbitraires, les violences policières, le détournement de la justice à des fins politiques se trouvent légitimés.

    Le Printemps Français est né le 24 mars 2013 sur les Champs Elysées au milieu des gaz lacrymogènes lancés par la police de Manuel Valls contre des manifestants pacifiques. Le Printemps Français n’a pas oublié les menaces de dissolution prononcées contre lui par Manuel Valls, au lendemain de la première manifestation jamais organisée devant le siège du Grand orient de France en avril 2013. Le programme politique qu’annonce cette décision, c’est qu’une chape idéologique se rabat sur la France pour faire de notre pays la république des loges. Il est maintenant prouvé que François Hollande n’a pas eu d’autres choix que d’obéir à la Franc Maçonnerie.

    Pourtant le scrutin municipal de mars 2014 révèle le rejet du clivage droite-gauche et l’impatience des français à changer de marqueur politique. Il est urgent de refonder la politique sur d’autres valeurs, sur une autre conception de l’homme et de la société. C’est pourquoi le programme de résistance du Printemps Français est aujourd’hui plus nécessaire que jamais. Nous promettons à Manuel Valls qu’il aura bientôt à s’en apercevoir… Si vous voulez, vous aussi, entrer en résistance, rejoignez le Printemps Français !"

    Michel Janva