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  • Entretien avec le groupe musical « FTP »

    On peut visionner en fin de cet entretien deux clips de ce dynamique groupe musical patriote.
    Leurs deux premiers disques sont disponibles ici.

    C-I : Bonjour et merci d’avoir répondu à nos questions ! Le label Patriote Productions a récemment annoncé officiellement que vous avez débuté l’enregistrement de votre troisième album, peux-tu nous en dire plus ?

    Philippe (FTP) : En effet, nous avons commencé les enregistrements cet été après un boulot acharné pour composer les titres de ce nouvel album. Moins de deux ans sépareront Rupture de ban de son futur petit frère, ce qui est très satisfaisant !

    C-I : Où en êtes-vous précisément ?
    Ph : Etant donné les difficultés que nous éprouvons à nous retrouver tous ensemble, nous avons opté pour plusieurs séances d’enregistrements séparés. A l’heure actuelle sont intégralement enregistrés les pistes de guitare et de basse, quelques morceaux de flûte traversière, et la batterie est en cours. Il reste principalement le chant et quelques instruments tels que du saxophone ou du violon. Vous l’avez compris, il y a encore du boulot à abattre car nous voulons faire de cet album un produit riche et achevé.

    C-I : Avec le recul, quelles sont vos impressions concernant votre précédent disque, Rupture de ban ?


    Ph : Le ressenti du public est clairement positif, et largement au-delà de nos espérances. Cet album a touché beaucoup de monde, et parfois bien au-delà de la sphère militante. Les CD se vendent encore régulièrement, les écoutes sur Internet cartonnent aussi, et les échos que nous obtenons de nos chansons sont très élogieux. Cela étant dit, de notre point de vue d’artistes nous éprouvons parfois un certain sentiment de déception du type « ç’aurait pu être encore mieux ! » Sur certaines chansons, je donnerais cher pour pouvoir ajouter quelques harmonies et les enrichir davantage. Mais je pense que c’est une réaction logique, et très positivement constructive pour l’album que nous préparons !

    C-I : Justement, parle-nous de cet opus. Quel sera son esprit, tant au plan musical que des thèmes abordés ?
    Ph : « On ne change pas une recette qui marche, mais on l’améliore ! » En d’autres termes, on reste globalement sur l’équilibre trouvé avec Rupture de ban, mais en enrichissant les styles que nous explorons. Vous trouverez dans ce disque du pop-rock, du punk, du métal confinant au symphonique, de la variété française et j’en passe… La seule règle que nous nous fixons est de ne pas nous limiter à un seul style. Il y a bien sûr une dominante dans la composition, mais les digressions sont indissociables de l’identité du groupe. La progression majeure par rapport à Rupture de ban consiste dans le souci du détail, en recherchant en permanence des enrichissements harmoniques et instrumentaux ne laissant pas de place à la monotonie un peu simpliste qu’on peut déplorer parfois ici et là dans le RIF. Les thèmes abordés seront assez variés, la lutte contre les lois immorales, le combat personnel contre les idées du monde, l’exaltation de certaines vertus, un week-end d’amis en province, une balade sur notre belle ville de Paris, une satire du citoyen moyen, etc… Onze titres au total pour ne rien vous cacher !

    C-I : Le très fameux groupe « In Memoriam » vous a cités dans une émission de radio comme le groupe qui a repris le flambeau du RIF, partagez-vous cette analyse ?
    Ph : Nous sommes très honorés de recevoir ce commentaire de la part du groupe qui a vraiment été le fer de lance de cette musique alternative de droite. Nous avons toujours revendiqué notre appartenance au courant du RIF, pour la bonne et simple raison que nos jeunes années militantes ont été bercées par des groupes tels qu’In Memo bien sûr mais aussi IDF ou Vae Victis (qui est d’ailleurs le groupe dont nous nous sentons musicalement les plus proches), et que notre style de composition y est tout naturellement lié ! FTP s’est en effet créé durant une période de disette musicale et avait donc un boulevard à occuper. Je pense que nous avons bien creusé notre trou, et le retour d’In Memoriam est plus qu’un encouragement pour le petit frère que nous sommes ! Maintenant, notre ambition est aussi de toucher un public extérieur au milieu nationaliste : notre démarche n’a de sens que si elle convainc d’autres gens de rejoindre notre combat, on ne peut pas se contenter de l’aspect communautaire de nos chansons. Il y a un public que j’appellerai catho-droitard à conquérir, dont l’importance en termes de nombre comme de désir d’engagement s’est révélée lors des manifs pour tous : notre objectif est de leur visser nos paroles aux oreilles.

    C-I : peux-tu nous parler de la composition du groupe ?
    Ph : Il est inchangé depuis un an : Tanguy au chant avec moi-même, Max notre guitare lead (autre belle plus-value pour notre futur album), Julien à la basse et Fasc aux baguettes !

    C-I : Question pour les artistes qui nous lisent ou qui hésitent à se lancer, comment compose-t-on une chanson de RIF ?
    Ph : Plus facile de poser la question que d’y répondre ! Cela dépend un peu des compositeurs, certains préfèrent écrire un texte d’abord et ensuite trouver une musique qui lui correspond. A titre personnel je commence quasi systématiquement par composer une musique avec ma guitare. Une fois que j’ai la mélodie, l’harmonie et le rythme, je sais déjà dans quel esprit je dois écrire le texte et donc chercher le thème: plutôt militant, plutôt solennel, drôle ou portant à la réflexion… Après c’est un travail sur la durée, on écoute, on corrige, on aménage ! Julien et Max on écrit chacun une compo pour l’album, leur méthode est sans doute différente de la mienne et c’est ce qui enrichit les styles du groupe !

    C-I : Peux-tu nous dire quand sortira cet album tant attendu ?
    Ph : Pas encore, il reste du travail à abattre et nous ne voulons avoir aucun regret, ce qui suppose un bon délai d’écoute une fois les enregistrements terminés.

    C-I : Un petit scoop pour nos lecteurs alors ?
    Ph : Allez, je vais vous lâcher le nom de l’album ! Il s’appellera « Grandeur et servitude », résumant le paradoxe entre la beauté des idéaux que nous défendons et la bassesse du monde qui est aussi un peu la nôtre…

     

  • Irak : premières frappes françaises contre Daesh

    Le tempo des opérations militaires est désormais dicté par l’agenda politique de François Holland

    C’était cousu de fil blanc, tant le tempo des opérations militaires est désormais dicté par l’agenda politique de François Hollande. Les premières frappes de l’armée de l’air contre des cibles de Daesh (Etat islamique) en Irak viennent d’avoir lieu au lendemain de la conférence de presse du chef de l’Etat. Un communiqué de l’Elysée précise que les Rafale ont détruit ce matin à 9h40 un "dépôt logistique des terroristes", (véhicules, carburant, armement) dans le nord-est de l’Irak. Cette localisation, vers Mossoul, signifie que le bombardement a eu lieu non loin des lignes de front avec les Kurdes et non sur les arrières de Daesh.

    Deux Rafale, un ravitailleur C-135 FR et un Atlantique 2 ont participé à ce raid, qui sera suivi d’autres. Quatre frappes ont eu lieu avec des bombes GBU-12.

    Lundi, déjà, les premiers vols de reconnaissance avaient été annoncés au moment même de l’ouverture de la conférence internationale sur l’Irak à Paris.

    La suite sur Secret Défense

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Irak-premieres-frappes-francaises

  • La loi Taubira sera l’un des enjeux des prochaines échéances électorales

    Communiqué de La Manif Pour Tous suite à l'entretien de Nicolas Sarkozy sur France 2 :

    "L’interview de Nicolas Sarkozy ce soir sur France 2 a une fois de plus montré que la question du mariage et de l’adoption pour les couples de même sexe continue de faire débat. La loi Taubira sera à l’évidence l’un des enjeux des prochaines échéances électorales. Le mouvement d’opposition à la loi Taubira n’a pas changé depuis l’origine : a défaut d’être radicalisé, il est tout simplement déterminé à faire entendre que deux personnes de même sexe ne peuvent fonder ensemble une famille sans avoir recours à des personnes extérieures à leur couple et qu’il n’est pas acceptable de bricoler la filiation et de léser les enfants en les privant délibérément de leur père ou de leur mère.

    La Manif Pour Tous a bien noté que M. Nicolas Sarkozy a insisté, à ce sujet, sur son courage, mais sans s'engager davantage pour le moment. Le mouvement compte aussi sur sa cohérence : l’ancien Président s’était déclaré hostile au projet de loi Taubira. La Manif Pour Tous attend donc qu’il s’engage en faveur de l’abrogation."

    Michel Janva

  • Gender : Question de Jacques Bompard à Christiane Taubira

    Le député du Vaucluse a interroge le Garde des Sceaux :

    "M. Jacques Bompard attire l'attention de Mme la garde des sceaux, ministre de la justice, sur la confusion malsaine opérée par le gouvernement entre la mixité des sexes et l'identité de genre. En effet, la lettre n°30 de la Direction de la protection judiciaire de la jeunesse développe largement le rôle positif de la mixité dans la protection judiciaire de la jeunesse : l'impact de la mixité fille/garçon serait très positif en termes de socialisation et de dynamique de groupe ; la présence de filles permettrait notamment d'apaiser le climat et d'ouvrir la discussion. Toutefois, il apparait simultanément dans ce document de la Direction de la protection judiciaire de la jeunesse que la déconstruction des « stéréotypes de genre » est une mission attribuée aux équipes éducatives chargées de l'insertion des mineurs. Alors que le gouvernement n'a de cesse de mettre en œuvre la théorie du genre dans les écoles de la République, on ne peut que se féliciter de la reconnaissance par les spécialistes de l'insertion des mineurs en difficulté des bénéfices de la mixité fille/garçon. Il est évident que l'expérience de cette altérité est primordiale pour une organisation sociale apaisée et qu'elle doit être privilégiée tant elle permet les repères nécessaires à l'épanouissement des individus, notamment des enfants. A l'inverse, la théorie du genre, largement promue par le gouvernement auprès des enseignants et des éducateurs, consiste en la négation de cette altérité, de la complémentarité naturelle fondant les rapports entre homme et femme. Vouloir ainsi déconstruire les « stéréotypes de genre », mission de déstructuration confiée aux acteurs de l'insertion des mineurs en difficulté, c'est demander à des éducateurs d'appliquer les thèses des féministes les plus radicales, en confondant égalité et indifférenciation des sexes. C'est bouleverser l'équilibre et les repères recherchés par ceux dont le métier est d'aider des mineurs en difficulté à se réinsérer dans la société. C'est pourquoi, si la mixité est une valeur essentielle, fondée sur l'enrichissement par les différences, il est indispensable de ne pas l'identifier à la lutte contre de soi-disant stéréotypes de genre. Monsieur le Député Jacques Bompard se demande quand le gouvernement mettra fin à la schizophrénie qui l'amène, d'un côté à valoriser la complémentarité issue de la mixité fille/garçon, et de l'autre, à nier toute spécificité et identité propre à chacun des deux sexes."

    Michel Janva

  • 200 000 chibanis

    La France souffre bien assez du chômage et de la misère qui gagne du terrain chaque jour devant l’incompétence de nos dirigeants, le PS propose de faciliter l’acquisition de la nationalité française à 200 000 chibanis ("anciens" en arabe).

    Toujours aussi généreux, le PS cherche évidemment des réservoirs de voix pour 2017. Puisque les Français rejettent en masse la politique de la gauche, autant chercher des électeurs là où le vote se fait plus docile. Les immigrés étant convoités par l’ensemble de la gauche, autant profiter de cette manne inestimable.

    Tout est bon pour battre la France réelle. Cette nouvelle mesure anti-nationale ne sera-t-elle pas la mort du PS lui-même ? A force de brader la nationalité française, la nation s’auto-détruit, puisque tout se vaut, et qu’une carte d’identité n’est vue que comme un droit et non un honneur. Répétons-le : être Français se vit, cela ne se brade pas. Cela s’hérite ou se mérite. Vivre sur le sol français depuis 20 ans ne signifie aucunement mériter la nationalité française ou avoir le droit de voter dans notre pays.

    Encore une fois, rapporter la question de la nationalité à un objet de pure consommation matérielle consiste à rejeter l’âme de la France. Il ne suffit pas de claquer des doigts pour créer de nouveaux Français. On voit le résultat dans les banlieues, où "être français" ne signifie pas grand-chose, entre boutiques hallal et mosquées. Cela n’endiguera pas le communautarisme. Cela ne fera que renforcer la présence d’étrangers dans notre pays, qui apportent avec eux leur mode de vie, sans le plus souvent s’intégrer à la société française, qui croule littéralement sous le poids de cette immigration de masse dite "de remplacement". A quoi ressemblera la France dans 20 ans ?

    Philippe Perrin

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?200-000-chibanis