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  • La police face aux débordements

    Intéressant d'observer la nature des débordements et l'action des forces de police :

    Hommage à Rémi Fraisse
    1er novembre à Nantes
    21 interpellations

    En marge de LMPT
    24 mars sur les Champs Elysées
    96 interpellations


     

    Les deux vidéos ont été filmées par les équipes de Line Press.

    Michel Janva

  • Henri VII : "Nous devons redonner sa place à la Nature avant qu’elle ne la reprenne de force"

    Il y a quelques années, j’avais lu un rapport du “Club de Rome”, précurseur des rencontres de Davos. Il préconisait d’instaurer la “rareté” dans les marchés afin de créer un fossé entre des élites de plus en plus riches et les restes de la société de plus en plus pauvre.

    Le mondialisme est en mesure d’accomplir ce vœu monstrueux. La loi, voulue et acceptée, du profit le plus élevé résultant du moindre effort et du moindre travail pousse une grande partie des gens à se lancer dans la spéculation pour basculer bien vite dans le vol, voire le pillage. Ainsi, avons-nous assisté, impuissants, au super “casse” du siècle lorsque les armées d’une partie de l’Occident ont fait main basse sur le pétrole irakien comme sur les œuvres d’art des musées de Bagdad. Mais ce dynamisme de l’économie mondialiste n’est en fait que la dynamique de la consommation souvent traduite par l’image du Kleenex jetable. Nous nous trouvons, en réalité, dans une économie virtuelle qui préfigure le déclin industriel de l’Occident. Et les délocalisations générées par le système donnent un avant-goût de la désertification industrielle. En attendant, le déficit commercial américain ajouté à celui des Européens devient un monstre ingérable.

    Notre civilisation du luxe et du gâchis devra inéluctablement laisser place à une nouvelle société au comportement raisonnable et pondéré dans ses appétits. Cette nouvelle société doit d’ores et déjà être inventée. Les mots de solidarité et d’amour devront reprendre leur véritable sens et être remis aux pratiques. Souhaitons-le. Il est vital pour la survie de notre globe terrestre de mettre de l’ordre dans la nature non pas selon un planning commercial mais bien selon les lois de la Nature. Commençons par réduire les émissions de gaz à effets de serre et en particulier le gaz carbonique. Après le réchauffement de notre climat viendra une nouvelle ère de glaciation. c’est scientifiquement annoncé. Afin de retarder cette échéance et peut-être d’en réduire la portée, tentons de redonner sa place à la Nature avant qu’elle ne la reprenne de force avec tous les dégâts que cela suppose, comme ce fut le cas en Thaïlande, au Portugal et dernièrement en Louisiane. Ce qui se passe actuellement au Portugal est exemplaire. Ce pays reçoit de Bruxelles des aides financières. Cette manne réveille chez les paysans Lusitaniens leurs qualités de maçon. Ils pensent gagner vite et plus en bétonnant la côte atlantique pour y attirer le touriste. Les champs abandonnés seront plantés d’eucalyptus, espèce croissant rapidement et très rentable. Alors, la sécheresse aidant, le Portugal flambe et s’appauvrit. La Nature reprend toujours ses droits. [....]

    La suite sur La Couronne

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?Henri-VII-Nous-devons-redonner-sa

  • Non, le Grand Remplacement n’est pas une « vision complotiste » !

    Entretien avec Renaud Camus

    Marine Le Pen, dans une interview au JDD parue ce dimanche, estime que « le concept de grand remplacement suppose un plan établi. Je ne participe pas de cette vision complotiste ». Fait-elle, selon vous, une interprétation erronée de votre analyse ?

    Totalement erronée, en l’occurrence ; et ce n’est pas « selon moi », parce que mon analyse, je la connais, et il n’y est nulle part question du moindre complot. J’ai beaucoup de respect pour Marine Le Pen, j’admire son courage, sa détermination, son patriotisme et son sens politique mais, sur ce point particulier, c’est son sens politique qui lui joue des tours. Elle aura voulu, j’imagine, par prudence, ne pas paraître assumer un syntagme, Grand Remplacement, dont elle a craint qu’il ne parût trop radical. Hélas, ce n’est pas l’expression Grand Remplacement qui est radicale, c’est la sinistre réalité de ce qu’elle désigne. Le Grand Remplacement n’est pas une théorie, ce n’est pas un concept, à peine une notion, moins encore un fantasme, comme dit la presse remplaciste, ou une « vision complotiste ». Plût au ciel que ce fût tout cela, et rien d’autre ! C’est ce que nos yeux constatent tous les jours et que les sociologues de cour s’acharnent à nier : le simple fait que dans nos rues, nos rames de métro, nos écoles, nos écoles maternelles et nos maternités surtout, sur des pans entiers du territoire, il y avait un peuple et que, à sa place, il y en a un ou plusieurs autres.

    Accuser tel ou tel d’entretenir une « théorie du complot » ou une « vision complotiste », c’est un vieux procédé rhétorique de journalistes qui ne connaissent pas leur dossier pour déconsidérer des thèses qu’ils veulent étouffer. Je regrette de voir Marine Le Pen y avoir recours, comme si elle voulait se concilier les remplacistes : une tâche impossible. Je n’ai jamais parlé de complot. On me reproche au contraire, en général, d’être flou sur les causes du Grand Remplacement. Et là c’est moi qui suis prudent, car j’essaie d’unir, pas de diviser. En fait je crois à un faisceau convergent d’intérêts et d’interdits qui, tous, tendent à la fabrique de l’homme remplaçable, interchangeable à merci. Mais si je ne devais nommer qu’une seule cause elle me vaudrait un point Godwin, car je dirais : Hitler. À force d’opérer et de réopérer l’Europe du cancer hitlérien, on lui a enlevé la plupart des organes indispensables à sa survie.

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  • La quinzaine de la propagande à Bordeaux

    Lu ici :

    "La création de « l’Observatoire bordelais de l’Egalité » ne suffisait pas à Alain Juppé. Il faut désormais tenter d’éveiller la conscience des bordelais à cette thématique. Le maire de Bordeaux a donc décidé d’organiser, du mercredi 12 au jeudi 27 novembre 2014, « la quinzaine de l’égalité, la diversité et la citoyenneté ».

    Dans cette première édition qui « mêlera tables rondes, expositions, manifestations culturelles et sportives », les bordelais pourront assister à de nombreux évènements : La traditionnelle exposition sur les « arrestations, internements et déportations » (conçue pour le Consistoire de la Gironde), des conférences de la Licra (Ligue internationale contre le racisme et l’antisémitisme) dont un film sur son ancien président (Jean Pierre-Bloch) projeté au sein de la mairie et un débat sur l’esclavage conduit par Louis-Georges Tin, du Conseil représentatif des associations noires de France (CRAN) ainsi que bien d’autres « œuvres de culpabilisation » comme le décrivait récemment l’écrivain Eric Zemmour.

    Mais les électeurs de droite n’ont pas fini d’être surpris par un programme que l’on croirait concocté par Bertrand Delanoë. Une conférence sur la « Transphobie » sera organisée dans les salons de la mairie par l’enseignant Stéphanie Nicot, homme qui a transformé son état civil (né Stéphane). Une autre sur le thème « Homosexualités et spiritualités », avec pour intervenant Jean-Christophe Testu, président du centre LGBT « le Girofard », et un concert d’un collectif de Roms (Chakaraka). Les bordelais pourront également se rendre à l’exposition « Moving beyond borders » organisée par un collectif d’associations proches de l’extrême-gauche et dénonçant le contrôle de l’immigration, ou encore venir écouter « des artistes du Jamel Comedy Club ».

    Au début du mois d’octobre, Alain Juppé déclarait sur son site internet qu’il fallait « éviter les controverses ou les clivages inutiles qui ne répondent à aucune préoccupation prioritaire des Français »…"

    Michel Janva

  • Kobané, objet de tous les mensonges

    Le 1er novembre 2014, les télévisions atlantistes et du Golfe montraient un convoi de 155 pehsmergas (pro-Israéliens) —c’est-à-dire des policiers du Gouvernement régional du Kurdistan d’Irak— traversant la Turquie sous les applaudissements des Kurdes turcs. Ces médias affirmaient que le convoi était arrivé à Kobané (Syrie).
    Il n’en est rien.

    Les peshmergas sont actuellement stationnés au camp de réfugiés de Suruç (Turquie). Seule une délégation de dix d’entre eux est entrée dans la ville de Kobané, puis est repartie en Turquie.

    De même, les médias turcs annoncent que 700 combattants de l’Armée syrienne libre (pro-Français et anti-Syriens) —sur les 1 300 annoncés— sont arrivés à Kobané, mais cette information n’est pas confirmée par les Kurdes syriens et il est peu probable que l’ASL dispose encore d’une telle force.

    De son côté, le gouvernement syrien a dénoncé le projet d’entrée des peshmergas irakiens comme une violation de sa souveraineté.

    Sur place, les forces de la Coalition états-unienne anti-Daesh poursuivent quelques bombardements (3 hier, contre 15 les jours précédents), toujours sans aucun résultat visible. Tandis que, à une cinquantaine de kilomètres de là, l’Armée arabe syrienne tente d’ouvrir un passage dans la ligne de front en la bombardant massivement (en moyenne 150 bombardements par jour). On ignore le nombre de jihadistes de Daesh présents, on sait juste que les États-Unis leur ont largué des armes « par erreur ».

     

    Au moins 2 000 combattants du PYG défendent la ville syrienne de Kobané. La plupart sont d’anciens membres du PKK turc qui ont fui leur pays d’origine en raison de la répression et ont obtenu la citoyenneté syrienne au début de la guerre.

    À Paris, le président turc Recep Tayyip Erdoğan a dénoncé l’acharnement de la Coalition anti-Daesh à sauver Kobané qui, selon lui, n’abrite plus de civils mais uniquement des « terroristes » du PYG. Son hôte, le président français, François Hollande, a proposé de bombarder Alep, qui n’est pas occupée par Daesh ; la ville elle-même étant contrôlée par le gouvernement de Damas, sauf sa banlieue nord.

    Source

    http://www.contre-info.com/kobane-objet-de-tous-les-mensonges#more-35294

  • La Hongrie menace de quitter l’UE

     

    Un nouveau scandale a éclaté cette semaine dans la noble famille européenne. La Hongrie a menacé de se retirer de l’UE. Le président du parlement hongrois Laszlo Kövér a fait comprendre que si Bruxelles dictait à la Hongrie la façon de gouverner le pays, elle pourrait quitter l’UE.

     

    La question des sanctions antirusses et la demande de réformes intérieures adressée par l’UE à la Hongrie, poussent de plus en plus souvent les politiques de Budapest à réagir très vivement. Si auparavant, ces réactions ne concernaient que des politiques bruxellois concrets, il s’agit cette fois de l’ensemble de l’UE. Les conflits opposant Bruxelles à Budapest éclatent de plus en plus souvent depuis quelques années et portent la plupart du temps sur la politique intérieure appliquée par la Hongrie qui refuse de réduire son programme social et n’est pas prête à adapter son système politique aux normes de l’UE.

    Iouri Bondarenko, directeur du Centre russo-polonais « Dialogue et Concorde », estime que le « divorce » que la Hongrie est en train de consommer avec l’UE et l’OTAN, coule de source :

    « Je crois que la Hongrie finira par se retirer de l’UE de son plein gré ou y sera contrainte. Je ne peux rien dire au sujet de sa participation à l’OTAN parce que cela dépend de l’évolution de la situation en Ukraine mais son retrait de l’Alliance n’est pas à exclure non plus. C’est que la classe politique hongroise est déterminée à défendre les intérêts nationaux qui vont à l’encontre de ceux de Bruxelles. »

    Ces derniers temps, Bruxelles critique de plus en plus vivement Budapest au sujet de sa position concertant les sanctions antirusses. La politique menée par l’UE est qualifiée de contreproductive en Hongrie qui refuse de s’y joindre. Selon Laszlo Kövér, « si Bruxelles nous dicte comment gouverner le pays, il s’assimilera à Moscou avant la chute du régime en 1989 ». Fait paradoxal, Budapest estime actuellement que les relations avec Moscou sont plus prometteuses que celles qu’il entretient avec Bruxelles. Kövér avait également souligné que le fait même d’être membre de l’UE et de l’OTAN n’était pas un problème pour la Hongrie mais que par contre « l’attitude spéciale » de Bruxelles envers ses affaires intérieures devenait de plus en plus importune au fil des ans. [....]

    La suite sur La Voix de la Russie

    http://www.actionfrancaise.net/craf/?La-Hongrie-menace-de-quitter-l-UE