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  • Un journaliste fait retirer une crèche au CHU de Nancy

    Lu sur l'Est Républicain :

    "Service de neurologie à l’hôpital central de Nancy. Au 3e étage entre l’aile A et la partie « épilepsilogie », un petit hall par où arrivent les visiteurs, les patients et le personnel. Sur une table, un sapin décoré et juste en-dessous, à droite, une crèche de Noël en papier rocher de dimension modeste : une vingtaine de centimètres de large, une douzaine en hauteur et un peu moins en profondeur. À l’intérieur, quelques personnages dont Jésus, Marie et Joseph.

    Informé de ce tableau, un journaliste de L’Est Républicain constate, de visu, la réalité de la chose, alors que la polémique sur les crèches dans des bâtiments publics bat son plein.

    Vendredi 15 h 50. Ce même journaliste contacte la directrice de la communication du CHU et demande quelle est la position officielle de l’établissement. Gwendaline Henry lui suggère d’envoyer un mail. « Vous aurez la réponse avant ce soir », lui indique-t-elle.

    À 16 h 27, le mail est expédié. Dans une première partie figure un rappel des affaires de la crèche du Conseil général de Vendée, interdite par le tribunal administratif de Nantes, pour atteinte à la laïcité, de celle de Béziers autorisée par les juges de Montpellier, de celle de Melun enfin avec une décision qui tombera lundi.

    Puis, le journaliste pose deux questions : «Pourquoi une crèche dans un service d’un hôpital public qui accueille des malades de toutes confessions ou sans confession et emploie des personnels de toutes confessions ou sans confession ? Quelle est la position de la direction du CHU à ce sujet sachant que si les hôpitaux peuvent disposer d’aumôneries, conformément à la loi de séparation des Églises et de l’État de 1905, celles-ci ne peuvent en aucun cas faire de prosélytisme ?»

    Sans doute un vent de panique a-t-il soufflé sur l’hôpital central. Plainte ? Procès ? Que n’a-ton probablement pas imaginé !Vendredi à 17 h 30, le journaliste se rend à nouveau au 3e étage du bâtiment neurologie. À sa grande surprise, il constate que la crèche, comme par miracle, a disparu. Selon nos informations, elle a été enlevée entre 16 h 45 et 17 h 15."

    Michel Janva

  • Institut Iliade: lancement du site internet!

    L'Institut Iliade a été fondé le 21 juin, jour du Solstice d’été.
    Son site internet est lancé aujourd'hui même, date du Solstice d'hiver.


    http://cerclenonconforme.hautetfort.com/

  • Un superbe trésor Viking vieux de plus de 1000 ans découvert en Ecosse par un détectoriste

    Un spectaculaire trésor Viking a été trouvé dans un champ, dans le sud-ouest de l’Écosse, par un détectoriste amateur. Derek McLennan a fait la découverte en septembre dernier dans le Dumfriesshire. Au total, ce sont plus de 100 objets qui ont été trouvés, dont des bracelets, une croix et des broches. Les experts estiment que cette découverte est l'un des plus importants trésors Viking jamais trouvé en Écosse.

     

     

     

     

     

     



  • 8 janvier 2015, conférence et dédicace de Zemmour à Bordeaux

    Une info "Livres en famille" :

    Zemmour A Bordeaux le jeudi 8 janvier 2015

    20 h, Athénée Municipal, Place Saint Christoly

    Conférence et dédicace du "Suicide Français".

    Librairie Saint-Jacmes 

    55 rue Saint-Jacmes 33000 Bordeaux -05 56 52 07 37

    Marie Bethanie

  • Bygmalion : les auditions de la trésorière de l'UMP dévoilent d'autres secrets

    Son avocate peut bien nier, les propos tenus devant les enquêteurs par Fabienne Liadzé, l'ex-directrice administrative et financière de l'UMP, et révélés par "Marianne" cette semaine, sont clairs. Elle a mis cause un proche de Sarkozy, Eric Cesari, l'ancien directeur général de l'UMP. Elle leur a confié dans le détail le trucage de la comptabilité du meeting de Villepinte. Enfin, elle leur a livré d'intéressantes confidences à découvrir en exclusivité sur Marianne.net.

    "Instrumentalisation ". Le grand mot est lâché par Me Solange Doumic dans une interview que l’avocate a donné ce vendredi au Parisien pour réagir à l’enquête que nous publions cette semaine sur l'affaire Bygmalion et qui évoque les auditions de sa cliente, Fabienne Liadzé, l’ancienne directrice administrative et financière de l'UMP. D'après Me Doumic, sa cliente n'aurait pas « chargé le clan Sarkozy » comme nous l’affirmons. Elle n'aurait même fait que rappeler que c'était « Jérôme Lavrilleux [le directeur adjoint de la campagne de Nicolas Sarkozy] qui avait le pouvoir de décision final » quand il était encore à la direction de l'UMP.

    C'est en effet ce qu'a déclaré sa cliente aux enquêteurs. Du moins, au début de ses auditions. Marianne l'a d'ailleurs notifié dans son numéro actuellement en kiosques. Mais si l'on suit le raisonnement de l'avocate de Fabienne Liadzé, Jérôme Lavrilleux serait donc le seul responsable de l'affaire Bygmalion, une thèse largement relayée par le clan sarkozyste à base d'éléments de langage savamment distillés en « off ».

    Une machine au service du candidat

    Or les faits sont têtus. Et confrontée aux éléments matériels présentés par les enquêteurs, l'ancienne directrice financière de l'UMP, mise en examen à l'issue de ses auditions pour « abus de confiance », a fini par aller beaucoup plus loin dans ses déclarations qu’Eric Cesari, l’ex-directeur général de l’UMP, et Pierre Chassat, l’ancien directeur de la communication du parti, tous deux mis en examen également pour « abus de confiance ». Elle a notamment transmis aux enquêteurs de nombreux éléments démentant la fable contée par la Sarkozie. A commencer par la manière dont il a été décidé de truquer les comptes du meeting de Villepinte. Liadzé évoque ainsi une réunion au cours de laquelle sera expliqué le système mis en place. Un rendez-vous auquel assiste en plus d’Eric Cesari, Guillaume Lambert, le directeur de campagne de Nicolas Sarkozy, Franck Louvrier, son inoxydable conseiller en communication et Jean-Michel Goudard, le « G » d’Euro-RSCG et créateur du slogan de « la France forte ».

    Ses déclarations aux enquêteurs démontrent en tout cas clairement que Jérôme Lavrilleux n'était pas le seul décisionnaire, ni même le grand manitou qui décidait de tout dans la campagne de Nicolas Sarkozy comme aiment le présenter certains de ses anciens collègues.

    Fabienne Liadzé délivre ainsi tout au long de ses auditions de nombreux noms, détails et circonstances, au sujet des décisions financières relatives à la campagne de Nicolas Sarkozy de 2012. Parmi ces noms, apparaît donc à de nombreuses reprises celui d’Eric Cesari, l'ancien DG de l'UMP, surnommé « l'œil de Sarko ». Cesari était loin d'être un simple « administratif » au sein de l'UMP comme il le prétendait, en juin dernier, en déclarant qu’il n’avait « aucun pouvoir statutaire ou même fonctionnel s’agissant des règlements de dépense ». Pour rappel, il avait été directeur de cabinet de Nicolas Sarkozy dans les Hauts-de-Seine, quand ce dernier était le président du Conseil général entre 2006 et 2007.

    Les signatures automatiques de Cesari

    Dans leur note de synthèse rédigée le 4 octobre, les policiers de la brigade financière, qui enquêtent sur le scandale Bygmalion, prennent d'ailleurs un malin plaisir à citer Eric Cesari dont la signature apparaît sur de nombreux documents financiers de la folle campagne de Nicolas Sarkozy. « Ma signature est un automatisme, cela ne correspond à rien », leur a-t-il répondu le plus sérieusement du monde. Un culot monstre. Car ses signatures ont tellement été automatiques qu’elles se retrouvent parfois seules sur certains devis de Bygmalion adressés à l'UMP et qui sont désormais aux mains des enquêteurs ! Ainsi, lors de ses interrogatoires, les enquêteurs demandent à Fabienne Liadzé « pour quelle raison Eric Cesari signe ces devis alors que la procédure classique » voulait que ce soit « le directeur technique » ? Visiblement gênée, l'ex directrice administrative et financière de l'UMP, tente de se justifier : « C’est étonnant qu’il les ait signés. Il est possible que je lui ai transmis ces devis ».

    Des devis de Bygmalion au « juste prix » ?

    Me Doumic explique d'ailleurs dans son interview au Parisien que Jérôme Lavrilleux aurait insisté, « en dépit de plusieurs mises en garde de ses collaborateurs, pour que Bygmalion reste prestataire de service de la campagne ». C’est en effet ce que Fabienne Liazdé a expliqué dans un premier temps aux enquêteurs. Elle évoque une réunion au QG de campagne lors de « la première quinzaine de mars » au cours de laquelle « les experts comptables de la campagne attirent l'attention sur le coût des meetings déjà organisés. (…) Guillaume Lambert indique que les devis apparaissent effectivement trop importants ». Le directeur de campagne de Nicolas Sarkozy aurait alors expliqué « à Jérôme Lavrilleux que : soit le prestataire qui organise les meetings baisse ses coûts, soit on change de prestataire ». Selon Fabienne Liadzé, Jérôme Lavrilleux aurait alors répondu « fermement qu'il était hors de question de changer de prestataire ».

    Oui, mais voilà, dans une autre partie de l’interrogatoire, alors que les enquêteurs évoquent à nouveau Guillaume Lambert et Philippe Briand, le trésorier de la campagne, Fabienne Liadzé explique cette fois-ci : « Pour eux, le prix qu’ils avaient obtenu auprès de Franck Attal [le directeur adjoint d’Event & Cie, la filiale événementiel de Bygmalion] était le juste prix ».

    Désaccords parmi les prestataires

    Un détail qui a son importance. Le coût des prestations fournies par Bygmalion et sa filiale Event & Cie fut en effet mis en cause au cours de la campagne par une partie de l’entourage du candidat, et notamment par Franck Louvrier, l’ancien conseiller en communication de Sarkozy à l’Elysée, qui soutenait une autre société, Agence Publics, dirigée par Gérard Askinazi. Cette seconde entreprise a coréalisé avec Bygmalion les trois grands meetings de campagne (à Villepinte, place de la Concorde et au Trocadéro).

    « Ces deux sociétés ne s’entendaient pas, et ne voulaient pas travailler ensemble », dévoile ainsi Fabienne Liadzé, alors qu’elle est interrogée sur des factures d’Agence Publics qui comportent des erreurs selon les enquêteurs. On apprend par exemple qu’au cours du mois d’avril 2012, Franck Attal, le seul interlocuteur de Fabienne Liadzé chez Bygmalion, avec le comptable Mathieu Fay, s’était inquiété auprès de la direction de l’UMP de la multiplication des meetings, et s’était plaint dans le bureau d’Eric Cesari, lui-même, de ses difficultés pour travailler avec Agence Publics. Bureau fréquenté également par Gérard Askinazi selon Fabienne Liadzé. Ce qui montre, là encore, le rôle clé de Cesari entre l’UMP et ses prestataires.

    Les circonstances du prêt de 55 millions

    Enfin, on apprend dans les auditions de Fabienne Liadzé qu’à la fin avril 2012, les banques ont lâché l’UMP et son candidat, Nicolas Sarkozy, entre les deux tours de l’élection présidentielle puisque que la perspective d’une victoire s’éloignait et que l’UMP aurait vraisemblablement moins de députés à l’Assemblée qu’espéré : « Fin avril 2012, la BNP ne renouvelle pas la ligne d’autorisation de découvert pour un montant total de 15 millions d’euros partagés avec la Société générale pour 9 millions d’euros. Cette décision met en difficulté l’UMP dès le mois de mai et la situation devient critique en juin 2012 ».

    Tellement critique que l’UMP est obligé de toute urgence de négocier un prêt de 55 millions d’euros dès début août auprès d’un pool de quatre banques françaises. Ce qui éclaire sous un jour nouveau le fameux SMS envoyé par Jérôme Lavrilleux le 28 avril 2012 à Guillaume Lambert, alors directeur de la campagne de Nicolas Sarkozy, et que ce dernier n’a pas manqué de transmettre à la justice pour charger son ancien collègue : « Jean-François ne vient pas à Clermont, il y est allé la semaine dernière. Louer et équiper la deuxième halle est une question de coût. Nous n'avons plus d'argent. JFC [Jean-François Copé] en a parlé au PR [président de la République]. »

    Dans cette affaire Bygmalion aux multiples rebondissements, on le voit, les protagonistes n’ont de cesse de se renvoyer la responsabilité concernant le système mis en place visant à ventiler les coûts de la campagne entre l’UMP et les comptes officiels du candidat Sarkozy. Un système permettant, il faut le rappeler, de cacher des dépassements comptables faramineux par rapport aux limites fixées par la loi électorale. Et de se jouer donc de règles qui constituent les fondements de notre démocratie. Néanmoins, si les différents protagonistes cherchent à se défiler, il est clair que les enquêteurs possèdent, eux, des certitudes grâce à d’importantes preuves matérielles...

    Marc Endeweld

    Marianne.net :: lien

    http://www.voxnr.com/cc/politique/EuEAEuVuupUAVXAvlE.shtml

  • Ancienne secrétaire nationale de l’UMP, Fatima Allaoui rejoint le FN

    La vice-présidente déléguée de l’UMP, Nathalie Kosciusko-Morizet, avait exclu Fatima Allaoui pour crime de Lepénisme : elle avait osé adhérer au SIEL, micro parti souverainiste fondé par Paul Marie Coûteaux.

    Qu’à cela ne tienne, dès le lendemain, le Front-National ouvrait ses portes à l’exclue : « si la proposition de Florian Philippot est sérieuse, je l’étudierai » avait-elle répondu.

    « Le parti se félicite de l’arrivée dans le groupe FN de la région Languedoc-Roussillon, présidé par France Jamet, de Mme Allaoui sur des positions patriotes et républicaines », a annoncé le parti de Marine le Pen dans un communiqué signé de Louis Aliot.

    Fatima Allaoui est une belle prise de guerre médiatique pour le FN, reste à savoir si cette leçon lui servira, elle qui le 27 mars 2014 était venue manifester contre la candidature de Robert Ménard à Béziers.

    Xavier Celtillos

    http://www.medias-presse.info/ancienne-secretaire-nationale-de-lump-fatima-allaoui-rejoint-le-fn/20824

  • Une découverte macabre dans une loge maçonnique (1941)

    « En prenant possession de la loge de Béziers, sous le gouvernement du Maréchal, en 1941, la police découvrit le cadavre d’une fillette âgée d’environ sept ans.

    Commis par M. le procureur de l’Etat français, M. le docteur Roulaud, médecin légiste, se rendit le 19 décembre 1941, à 16 heures, à la Loge et dressa un rapport.

    « Le cadavre examiné, y lit-on, est celui d’une fillette mesurant cent trois centimètres, et par conséquent, âgée d’environ sept ans. »

    Le médecin légiste décrit ensuite minutieusement ce cadavre qui pesait deux kilos, dont les parties molles étaient « absolument desséchées, ligneuses et légères« . Les viscères avaient été enlevés. Il ne restait que le « squelette, les muscles des membres, avec des morceaux de peau parcheminée« .

     

    Les vaisseaux artériels avaient été « colorés en rouge vif« , et les veines « injectées en bleu« . On avait conservé « la vessie et le rectum béants et parcheminés« .

    Deux trous pratiqués dans le vertax permettaient de suspendre ce cadavre au mur, ajoutant à l’horreur du spectacle.

    On avait, détail horrible, « respecté les paupières qui portaient encore leurs cils longs et blonds » et les lèvres qui bordaient « d’un mince liseré desséché une rangée presque intacte de petites dents jaunies ».

    On pourra trouver deux reproductions photographiques du cadavre de la loge de Béziers dans les Documents maçonniques d’août 1942, p. 23.

    Toutes les loges n’avaient sans doute pas les moyens de pousser l’usage de l’horrible aussi loin que la loge de Béziers, mais dans tous les cabinets de réflexion, on trouve des crânes, des tibias, des tentures de deuil, des transparents lumineux faisant apparaître un corps d’homme, des silhouettes en matières luminescentes, des squelettes en fer forgé peint, etc…

    De toute manière, il s’agit d’inspirer l’horreur.
    La découverte du cadavre de la loge de Béziers indigna, à l’époque, un public qui ignorait tout des cérémonies initiatiques dans la Franc-maçonnerie. « Sans aucune nécessité scientifique, écrivaient les Documents maçonniques, sans aucun droit, contrairement aux lois, la Maçonnerie s’est appropriée le malheureux cadavre d’une petite fille pour le faire figurer dans ses cérémonies macabres afin d’impressionner les Frères. »Le but était, évidemment, de placer ses adeptes dans un « état spécial d’hypnose intellectuelle et d’énervement physique », nécessaires à la préparation à l’initiation.
    Jacques Ploncard d’Assac – Le secret des Francs-maçons (1979) – p. 131

    Source

    http://www.contre-info.com/une-decouverte-macabre-dans-une-loge-maconnique-1941#more-35972